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Recit sexe : Elle suce son cousin

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    Recit sexe : Elle suce son cousin

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Cela fait presque trois semaines que je travaille au Club Aphrodite et ce, à raison de deux soirs par semaine. Situé à proximité de la frontière franco-belge, l’établissement offre des services singuliers à une clientèle disposant d’importantes liquidités. Il s’agit d’un bar à hôtesses réputé qui accueille chaque soir de nombreuses personnes. Celles-ci viennent autant pour étancher leur soif de spiritueux que leurs désirs libidineux.

    J’ai longtemps hésité avant de postuler au Club Aphrodite, mais la suppression injustifiée de ma bourse d’étude a eu raison de mon sens moral. Il parait que les revenus de mes parents ont dépassé les barèmes fiscaux me permettant de continuant à percevoir ma bourse. Grand des classes moyennes trop riches pour être aidées et trop pauvres pour s’en sortir ! Si cet emploi me permet avant tout de poursuivre mes études, il offre également quelques plaisirs non négligeables. Je gagne plus d’argent qu’en travaillant dans un fast-food tout en disposant davantage de temps libre pour réviser mes cours.

    Cela fait maintenant plus d'un mois que je travail et ce soir là c’est simplement vêtue d’un chemisier en satin noir enfoncé dans une jupe de la même couleur que je gravis les marches d’un escalier en colimaçon. Le premier étage de l’établissement est occupé par de nombreuses chambres dédiées aux prestations spéciales. Mon client attend dans la chambre numéro quatorze. Je prends le temps d’ôter deux boutons de mon chemisier avant de frapper à la porte. La dentelle cramoisie de mon soutien-gorge est bien visible lorsque j’entre dans la chambre en annonçant : « Je suis désolée de vous avoir fait attendre. Je m’appelle Magali et… »
    Les mots meurent au seuil de mes lèvres et je me raidis en reconnaissant le jeune homme assis sur le lit. Ma gorge devient affreusement sèche et mes mains se mettent à trembloter. C’est mon cousin qui se tient devant moi ! Une boule d’angoisse se forme dans mon estomac, tandis que je réalise l’horreur de la situation. Je peine à croire que cela puisse être réelle.

    Quelle probabilité peut-il y avoir qu’un membre de ma propre famille se présente au Club Aphrodite ? Je n’ai jamais imaginé qu’une telle chose puisse se produire. C’était jusqu’à présent impensable !
    Mon cousin se lève d’un bond, visiblement aussi embarrassé que moi avant de s’exclamer : « Mag ! Qu’est-ce que tu fais ici ?
    - J’allais précisément te demander la même chose ! Comment sais-tu que je travaille dans ce bar ?
    - Je ne le savais pas, proteste mon cousin. J’ai entendu dire que de jolies filles offraient un service irréprochable au Club Aphrodite. Je voulais juste en profiter sans penser à mal. »

    Je croise les bras devant ma poitrine pour tenter de dissimuler mon décolleté, puis je réplique en avançant d’un pas : « Je sais très bien à quoi tu pensais, mais promets-moi de ne pas en parler à mes parents.
    - Ne t’inquiètes pas pour cela, Mag. S’il y a bien une chose que je n’ai pas envie de partager avec mon oncle et ma tante, c’est mon habitude à fréquenter des bars à hôtesses. Que fais-tu dans un endroit pareil ?
    - Tout le monde ne nait pas fils de médecins comme toi, dis-je d’un ton acerbe ! Les raisons qui me poussent à travailler ici ne te regardent pas. Si tu n’as plus d’autres questions, je vais te demander de partir. »

    Mon cousin pivote sur les talons pour me tourner le dos, puis se dirige vers la fenêtre de la chambre. Il entrouvre les épais rideaux pour jeter un rapide coup d’œil dans la rue, puis se retourne vers moi en demandant : « Pourquoi devrai-je partir ?
    - Que veux-tu dire ? Tu n’as tout de même pas l’intention de coucher avec ta propre cousine, n’est-ce pas ?
    - C’est-à-dire que j’ai déjà payé, Mag. Cela représente beaucoup d’argent et tu sais comme moi que le service n’est jamais remboursé. Dans cette chambre, nous ne sommes pas cousin et cousine, mais client et hôtesse. »

    J'étais scotchée !!!

    Sur ces mots, il déboutonne son pantalon, puis revient vers le lit avec un sourire torve. Sa voix devient brusquement glaciale lorsqu’il ajoute : « Tu m’as toujours plu, Mag. Combien de fois n’ai-je pas rêvé lors des repas de famille de peloter tes gros seins ? » Je demeure paralysé froid, tandis qu’il s’assoit au bord du lit en écartant les jambes. Il y a dans le regard de mon cousin, une forme d’autorité que je ne lui connaissais pas. Mes muscles refusent de me soutenir plus longtemps et je me retrouve bientôt à genoux devant lui.
    Les tremblements de mes mains s’accentuent lorsque je tire sur l’élastique de son boxer et que j’en fais jaillir un pénis à moitié en érection. Mon rythme cardiaque s’accélère et je passe instinctivement le bout de la langue sur mes lèvres pour les humidifier. Mon regard fait la navette entre le phallus palpitant dans ma main et le visage devenu soudainement écarlate de mon cousin.
    J’entrouvre délicatement la bouche et avance le menton de quelques centimètres pour venir poser mes lèvres sur le gland turgescent. J’y dépose un doux baiser avant de le gober. Le sexe de mon cousin se dresse spontanément à ce contact et j’y enroule lentement mes lèvres sur toute la longueur. Mes paupières se ferment, tandis qu’un goût prononcé imprègne mon palais. Je n’arrive pas à croire que je suis en train de sucer mon cousin.


    Ma langue taquine avec frénésie les circonférences du gland. Une sensation de chaleur et de bien-être s’empare de moi. Mes mamelons se dressent dans mon soutien-gorge, tandis que ma bouche devient vorace. De scandaleux bruits de succion se font entendre lorsque mes joues se creusent pour aspirer le sexe de mon improbable amant. Ma tête va d’avant en arrière dans une profusion de salive qui dégouline le long de mon menton.


    Mon cousin est proche de l’extase lorsqu’il me lance : « Oh, Mag ! Tu sais te servir de ta bouche ! C’est trop bon de se faire sucer par une experte comme toi ! » Je m’immobilise aussitôt pour lever les yeux vers lui. Je libère ce sexe luisant de salive, puis me redresse sur les genoux en déboutonnant mon chemisier. Celui-ci ne tarde guère à choir sur la moquette, tandis que j’annonce : « Tu m’as avoué que tu rêvais de peloter mes seins ! Je vais exhausser ton souhait au-delà de toutes tes espérances. » Mon cousin demeure muet lorsque de dégrafe mon soutien-gorge. Ma poitrine ronde et généreuse s’expose à ses yeux écarquillés.


    Je soulève chacun de mes seins, les écarte l’un de l’autre, puis les comprime autour du pénis de mon cousin. Ce dernier se raidit immédiatement sur le lit en lâchant un soupir d’aise. Je crache dans le sillon de mes seins pour lubrifier ce sexe devenu dur comme de la pierre. Tout d’abord lentement, je le masturbe de la manière la plus voluptueuse qu’il soit. Mes mouvements ne tardent guère à s’accélérer. La respiration de mon cousin devient haletante et brusquement, il jouit. De grands jets de sperme maculent ma poitrine. Par gourmandise, je penche la tête en avant pour donner un petit coup de langue sur le gland devenu sensible. Une saveur poivrée assaille mon palais.


    Je recule sur les genoux et ce phallus qui peu de temps auparavant été si conquérant, s’avachit mollement. Les coudes posés sur les cuisses de mon cousin, je le regarde droit dans les yeux en fronçant les sourcils et en demandant sur un ton de reproche : « J’espère que tu en as eu pour ton argent, non ? » Sans demander son reste, mon cousin s’empresse de se lever et de se rhabiller avant de me saluer. A peine a-t-il posé la main sur la poignée de la porte que je lui lance : « N’oublies pas de ne rien dire à mes parents ! » J’éclate de rire, tandis qu’il fuit littéralement la chambre avec le visage rouge d’embarras. Il faut croire que l’excitation passée, la belle assurance de mon cousin s’est ramollie aussi vite que son pénis.

    Je pense en avoir fini avec mon cousin, mais je me trompe. La mois suivant, je le retrouve dans la même chambre du Club Aphrodite. Cette fois-ci, il est bien décidé à obtenir de moi, autre chose qu’une simple fellation et une cravate de notaire. Cependant, ceci est une autre histoire.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
La suite...
Posté le par jean91 :
j'attend avec impatience la suite surtout que tu le raconte bien
Posté le par cochon17 :
La suite merci
Posté le par miliane :
J'ai trouvé ton histoire hyper excitante et j'ai beaucoup aimé ta façon d'écrire.Les mots sont précis et on imagine parfaitement la scène. Bravo
Posté le par chevalier :
vivement la suite alors xD! faut lire pour le croire :p
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