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Histoire de sexe : Étienne et Rachida en soirée libertine

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : Étienne et Rachida en soirée libertine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    partouze club libertin

    Il avait plu, ce jour-là, pendant une partie de l’après-midi, mais le soleil avait daigné darder ses rayons dans le jardin de la maison de Chloé.

    En ce début d’été, elle avait souhaité organiser un pot pour que chaque participant puisse se présenter aux autres, aux nouveaux protagonistes de ces chaudes soirées organisées par la maîtresse des lieux : Chloé. Celle-ci était une belle femme brune d’une trentaine d’année, enjouée et plutôt bien proportionnée. Ses courbes en avaient fait fantasmer plus d’un – et plus d’une car Chloé assumait sans complexe sa bisexualité. Ses caresses, sa langue, les rondeurs de son corps sculptural et la moiteur de ses orifices avaient donné du plaisir à plus d’une personne ! Et elle n’avait pas été en reste pour en donner de son coté !

    En cette chaude fin d’après-midi, sept personnes étaient réunies autour de deux tables en bois, grignotant quelques canapés et sirotant leurs coupes d’un champagne fraichement conservé dans son seau à glace.

    Parmi les présents, Étienne connaissait déjà Chloé, bien sûr, et la joyeuse Clotilde, aux merveilleuses formes arrondies. Parmi les nouveaux présents, il avait repéré un couple de jeunes asiatiques. Amandine et Olivier. Leurs prénoms, bien français, confirmait la parfaite assimilation de leurs familles en France.

    Un autre couple était présent : Agnès, jolie blonde à la taille de guêpe, et son ami Vincent : un musculeux brun doté d’une voix bien grave. Un trait de virilité qui devait séduire les femmes, en plus de son corps sculpté comme une statue grecque ou romaine.

    Et, dernière invitée, encore inconnue d’Étienne, était une petite et mignonne maghrébine répondant au prénom de Rachida. De petite taille, elle était fine mais possédait un superbe fessier ressortant de profil et qu’il avait hâte d’aller caresser. De même, deux jolis petits seins se laissaient deviner sous son T-shirt. En fait, Étienne adorait les petits seins, même s’il aimait en caresser, suçoter et mordiller de toutes tailles. Rachida semblait plutôt intimidée et un léger sourire attendrissant ornait son visage. Étienne commençait à avoir hâte d’aller plus loin avec elle !...

    - Bonjour, se présenta-t-il à la jeune beurette. En fait, elle semblait être la plus jeune du groupe venu joyeusement partager les plaisirs des sens. En clair, et dans un langage plus trivial : partouzer !

    - Je m’appelle Étienne et je ne t’avais pas encore vu aux soirées de Chloé.

    La grande maison de la maitresse des lieux était un endroit où, spontanément, les gens ses tutoyaient dès le départ, car cela survenait, de toute façon, dans le feu de l’action. Le milieu libertin était d’une grande simplicité et permettait d’abolir bien des frontières ! Étienne se prit à penser que si nombre de nos dirigeants s’inspiraient de cette philosophie, la vie sur terre serait peut-être plus simple. Encore que nombre de politiciens étaient connus pour participer à des soirées échangistes, haut de gamme. Les gens de la haute société se retrouvaient entre eux, mais n’assumaient pas l’ouverture de leur sens en public !

    - Première fois chez Chloé ?

    - Oui, répondit Rachida, d’un air rieur. J’ai une amie qui m’en a beaucoup parlé et qui m’a poussé à essayer.

    - Et tu l’as déjà fait avec plusieurs partenaires avant ?

    - Pas plus de deux hommes à la fois, jusqu’à maintenant. Et ce n’était pas dans une partouze, mais j’ai été initiée par un couple d’amis, confia-t-elle.

    - Nul n’est parfait ! plaisanta Étienne. Tu sais que tu es vachement mignonne ?

    - C’est gentil. Merci à toi, Étienne.

    Un adorable sourire dans sa frimousse faisait déjà craquer Étienne, qui sentait aussi des chatouillis caractéristiques dans son bas ventre. Excitation sexuelle envers Rachida ? Effet de sa deuxième coupe de champagne ? Il pensait sans doute un peu aux deux, heureux que l’alcool levât très vite les inhibitions dans ce genre de soirée. Non sans forcer, toutefois, car le but était de donner et de récolter un maximum de plaisir aux partenaires consentants, et non s’écrouler au bout de vingt ou trente minutes…ou de voir pendre mollement son attribut viril !

    - Tu sais, Rachida, j’aimerai beaucoup commencer cette soirée avec toi.

    Il sentait son sexe commencer à durcir sous l’effet du désir. Et, même, il lui semblait craquer sous le sourire ravageur de cet adorable visage. Il devait se garder de tomber amoureux de la jeune beurette. Du moins, pas tout de suite…

    Il vida les dernières gouttes de son champagne et posa sa coupe pour se rapprocher de Rachida. Il posa ses mains autour de sa taille et lui lança : « toi aussi, tu serais d’accord ? »

    - Oui, je suis là pour ça, après tout, et je te trouve mignon.

    Le compliment ne fit que renforcer Étienne dans sa détermination et ses mains descendirent sur ses fesses.

    - Mmmmhhh ! Tu as un très beau fessier, tu sais ? Bien rebondi et musclé. Comme je les aime !

    - J’aime bien tes fesses, également, lui avoua-t-elle en l’imitant.

    Leurs bouches se rapprochèrent et ils échangèrent plusieurs baisers passionnés ; même si le premier était plus un baiser d’exploration avec leurs langues.

    - Eh, les tourtereaux ? Vous semblez bien pressés ! leur fit remarquer la maitresse des lieux, vêtue d’une robe rouge, d’un impressionnant décolleté où ses aréoles se révélaient lorsqu’elle bougeait.

    « Vous pouvez aller dans le séjour, sur les matelas. Si vous faites ça ici, je risque de payer une amende !

    Étienne lui sourit et escorta la ravissante maghrébine vers le séjour car il connaissait les lieux ; contrairement à Rachida.

    - Ouah ! C’est grand avec tous ces matelas étalés par terre !

    - Eh oui ! Comme ça, chacun peut s’isoler un peu ou se rapprocher des autres pour partager les caresses. Au choix ! Libertins et épicuriens nous sommes !

    - Tu me parais savoir beaucoup de choses ! rit-elle, dans un ravissant accent.

    - Damned ! Je suis trahi. Tu vas croire que je suis un intellectuel infiltré dans une partie fine pour rencontrer des filles ? Alors que j’aime le sexe, sous toutes ses formes, et à partager avec des gens avisés.

    - T’inquiète ! Nous sommes des gens très tolérants dans ce milieu, non ?

    Étienne sourit et l’embrassa de nouveau à pleine bouche. Sa langue explorait ses lèvres et sa langue, et aimait le contact que cela lui procurait. Cette fois-ci, il bandait à mort !

    - Oh Rachida ! J’ai tellement envie de te donner du plaisir, dit-il, tout excité, et en enlevant son T-shirt.

    Il fit monter ses mains vers les seins de la jeune beurette qu’il caressa à travers le tissu de son T-shirt blanc et bleu.

    - Enlève-le-moi, supplia-t-elle, dans un souffle rauque.

    Étienne n’attendit pas qu’elle le répète et lui enleva délicatement le vêtement qui l’empêchait d’avoir accès à ces deux petits bijoux, qu’il devinait sous le tissu en coton. Celui-ci enlevé, il laissa apparaitre son soutien-gorge blanc qui lui dissimulait ses petits seins. Il était comme un enfant attendant de défaire l’emballage de ses cadeaux de Noël !

    La matière du soutif étant trop épaisse pour mordiller la pointe de ses seins, il le lui dégrafa et la débarrassa de son sous-vêtement.

    - Oh mon Dieu ! gémit-il en se mettant à genoux. Tes seins sont magnifiques ! Admirablement proportionnés !

    Il ne put résister plus longtemps et posa sa bouche autour du mamelon gauche, avant de passer au suivant quelques secondes après. Il alternait ainsi, environ toutes les trente secondes, non sans caresser l’autre sein en attente de sa bouche. Parfois, il élargissait le passage de sa langue à toute l’aréole ou se recentrait sur les petits bouts bien durs. Et, de temps à autres, il en mordillait un légèrement ; ce que Rachida semblait visiblement apprécier.

    Elle commença à déboutonner son jean ultra-slim, qu’elle fit vite tomber à ses pieds, non sans se tortiller pour le faire descendre. Elle se coucha sur un matelas et entreprit d’enlever ses baskets ; ce qu’elle fit après avoir retiré ses scratchs. Puis, elle retira complètement le jean bien serré ; ce qui ne fut pas une mince affaire, alors qu’Étienne continuait de jouer avec ses adorables seins.

    - A toi maintenant, fit-elle en déboutonnant son jean noir, lequel fut rapidement au bas de ses chevilles. Imperturbablement, il continuait de lui titiller les pointes de ses seins.

    Étienne commença ensuite à caresser le sexe de sa partenaire, à travers le petit slip de coton blanc.

    - Hmmmmh, je sens que c’est bien humide ! Tu permets que j’aille voir ?

    - Oh, oui. Vas-y ! lui lança-t-elle.

    Étienne infiltra alors un doigt par l’un des bords latéraux du slip, sentit les poils de sa toison intime et enfonça un doigt directement vers le creux de son intimité la plus secrète.

    Il ne s’était pas trompé : son doigt entrait comme dans du beurre. Ou plutôt, comme dans une chatte surexcitée et pleine de mouille sous l’effet de la stimulation et de l’excitation ! Un signe évident de désir ! Son con n’attendait plus qu’un doigt pour la chatouiller et un sexe – voire plusieurs ! – pour entrer en elle !

    D’un geste brutal, Étienne lui arracha le slip jusqu’au bas de ses jambes. Rachida se cambra pour l’enlever, puis elle écarta la corolle au centre de ses cuisses.

    Si elle avait bien une petite toison bouclée, celle-ci était bien taillée pour ne pas dépasser du slip. Elle devait aller souvent à la piscine ou pratiquer un sport où elle était régulièrement dans des vestiaires à se changer.

    - Tu aimes mon doigt ?

    - Oh oui. Continue plus loin. C’est bon ! Gémissait-elle sous la branlette du majeur d’Étienne.
    Il entreprit alors d’écarter ses grandes lèvres avec son autre main pour révéler son clitoris. Là, il le frotta quelques instants pour lui permettre de mieux sortir des lèvres de chair qui le protégeaient.

    Puis, il sortit sa langue et caressa la partie la plus sensible de sa jolie personne.

    - Ah ! gémissait Rachida, en se cambrant, sous le double effet de la caresse digitale et linguale.

    - Eh ! Regarde ! Ils ont commencés sans nous !

    Étienne arrêta de lécher le clitoris de sa partenaire pour regarder les nouveaux arrivants. Il s’agissait de Vincent, qui avait choisi la jolie asiatique, Amandine. Étienne se dit que sans la présence de Rachida, c’est sans doute le choix qu’il aurait fait en premier…

    - Prenez place et je vous souhaite bien du plaisir !

    - Merci, Étienne, fit Vincent, en escortant Amandine, une main sur ses fesses, vers un matelas non loin d’eux. Ils se déshabillaient mutuellement tout en s’embrassant avec fougue.

    Ils furent bientôt complètement nus et Étienne put apprécier qu’Amandine possédait aussi deux charmants petits seins qui n’avaient rien à envier à ceux de Rachida. Mais ceux de sa compagne semblaient plus rebondis que ceux de la belle asiatique !

    Il se remit à son œuvre de suçotement et de léchage du clitoris de la jeune beurette, tandis que ses doigts ne cessaient pas leurs va et vient dans l’intimité de la jeune femme. Ses soupirs continuaient et montaient même en puissance, comme l’avait remarqué Étienne.

    A coté d’eux, l’asiatique avait entreprise de prendre à pleine bouche le sexe de son partenaire, à genoux devant lui, tandis qu’il lui caressait les seins.

    Chloé et Agnès venaient d’entrer et, se déshabillant en quelques secondes, elles se mirent tête bêche sur le matelas de l’autre coté d’Étienne et Rachida, et entreprirent de se caresser, non sans échanger quelques plaisanteries et rires.

    Étienne avait accéléré les va et vient de son majeur et venait même d’y rajouter son index pour la branler à deux doigts. Ses gémissements avaient redoublés et elle était la plus avancée dans la montée de son plaisir.

    - Vas-y, Rachida ! Prend ton pied ! l’avait encouragée Chloé.

    Étienne caressait aussi les fesses d’Amandine qui lui tournait le dos, non loin, pour pomper vigoureusement Vincent.

    - Oh, Étienne ! Je vais jouir ! Vas-y ! Prend-moi !

    Sentant le moment bien choisi, il retira ses doigts et sa langue et se leva pour aller chercher un préservatif. Dans les soirées de Chloé, on sortait obligatoirement couvert ou on dégageait !

    Étienne fit coulisser la capote de couleur verte et écarta bien les cuisses de sa compagne.

    Il était bien dur et Rachida toute humide. Il s’enfonça donc naturellement et sans douleur en elle.

    Il fit quelques va et vient tranquilles, puis il accéléra le rythme. Un rythme qu’il cassait de temps en temps et adaptait au sien propre ; ceci afin d’être plus endurant. Même si Rachida était au bord de l’orgasme, il entretenait celui-ci ; repoussant le plus possible le moment fatidique.

    A leurs cotés, Amandine se délectait des couilles de Vincent, parfaitement glabres, et y faisait circuler sa langue jusqu’à l’anus. Parfois, elle prenait une des couilles dans sa bouche pour la suçoter et y faire tourner sa langue. Puis, elle faisait remonter celle-ci à plaisir, de la hampe de son sexe jusqu’à son gland, bien décalotté et rosi par l’afflux de sang.

    - Ah ! J’en peux plus ! J’ai envie de te pénétrer !

    Il fit mettre à quatre pattes la belle asiatique et caressa ses grandes lèvres, avant de risquer un doigt dans son sexe. Ayant jugé le taux d’humidité satisfaisant, il fit descendre une capote orange le long de son membre bien turgescent et la pénétra sauvagement. Il fit quelques va et vient, histoire de se faire à son trou bien serré, puis il lui fit baisser le dos pour mieux caresser ses fesses.

    Entretemps, Étienne s’était allongé sur le dos et c’était Rachida qui, désormais, entretenait le mouvement, tournée vers lui. Là, il pouvait caresser, alternativement, ses petits seins et son fessier bien musclé. Il voyait ses seins ballotter devant ses yeux et, avec son sexe bien raide à l’intérieur de sa chatte chaude et humide, il était vraiment au Paradis…avant d’atteindre bientôt le 7è ciel.

    De l’autre coté, Chloé et Clotilde se bouffaient la chatte en un 69 bien symétrique. Non sans, toutefois, se caresser jambes, fesses, poitrines, de manière lente.

    C’est à ce moment qu’entra le dernier couple constitué d’Agnès et Olivier. Ils se dénudèrent assez vite. Olivier se retrouva nu le premier et guida la tête de sa partenaire vers son sexe de taille plutôt petite mais intégralement épilé.

    Agnès ne portait pas de soutif sous son chemisier. Ce qui faisait que, outre ses formes attirantes, les seins qui pointaient ne cachaient plus rien ; surtout avec quelques boutons ouverts. Elle se débarrassa très vite de son pantalon et lin et ôta aussi vite son string noir, pour révéler qu’elle était, visiblement, une vraie blonde. Enfin, pour les quelques poils restant, taillés en ticket de métro pour ne pas dépasser du string.

    Son compagnon d’un soir entreprit de s’occuper de son minou avec sa bouche, alors qu’elle lui caressait les bourses, en le branlant de temps en temps, pour le faire durcir. Au bout de quelques temps, elle se mit à quatre pattes et le prit dans la bouche, pendant qu’il s’occupait de ses seins en forme de poires.

    Chloé et Clotilde gémissaient toutes les deux tandis qu’Étienne demandait à Rachida de ralentir le rythme de ses va et vient. Il savait ne plus pouvoir se contenir très longtemps…

    La jeune beurette semblait déjà être au 7è ciel car elle n’arrêtait pas de gémir, à califourchon sur Étienne.

    - Laisse-moi me répandre sur tes seins ? supplia ce dernier.

    - Oh oui ! Remplis-moi de ton sperme chaud et crémeux !

    Étienne la prit et la retourna, délicatement sur le matelas. Il ôta son préservatif, tint son sexe d’une main et l’orientât sur les seins de la jeune beurette. Là, une grande giclée de sperme atterrit sur un sein, puis sur l’autre. Quelques gouttes se perdant au milieu.

    Il laissa sortir un grand cri de contentement, presque comme une sorte de rugissement de lion après l’amour. Il branla son sexe encore pendant quelques secondes, lentement, le temps que sortent de ses couilles les dernières gouttes de sperme. Il se sentait tellement bien sous l’effet de l’orgasme.
    Puis, il se rapprocha de Rachida pour l’embrasser sur les lèvres. Sa bouche descendit ensuite sur ses seins où il étala le sperme avec sa langue et avala le tout.

    - Tu veux gouter mon sperme ?

    - Oui, viens !

    Il embrassa à nouveau, à plein bouche, la jeune femme avec qui il venait de partager du plaisir.
    Après quelques instants, elle saisit son membre qui commençait à retomber, et le prit en bouche pour le nettoyer intégralement de la sève d’amour qui restait.

    En plus, celle-ci avait une odeur de pommes vertes. Merci les préservatifs fruités !...

    Étienne et Rachida partirent ensuite vers les sanitaires pour se nettoyer pendant que les autres couples entraient dans le vif du sujet.
    Mais ceci était une autre histoire…

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