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Recit de sexe : Femme mariée se fait sauter par le monireur et sans capote
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64Recit de sexe : Femme mariée se fait sauter par le monireur et sans capote
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 12/02/2013
Publié le 12/02/2013
Bonjour à tous les lecteurs de ce site.
Je n’ai pas l’habitude de raconter ma vie sur internet mais en lisant quelques petites confessions sur ce site j’ai compris que vous aimeriez que je me présente. Alors voilà, je m’appelle Jennifer, j’ai 33 ans. Je suis brune, j’ai les yeux verts, une bouche gourmande, des seins ronds et fermes et des fesses bien rebondis. Je suis mariée depuis deux ans et cela fait deux ans que je suis comblée et c’est pour ça que je n’aurais jamais cru qu’il m’arriverait de…
Enfin voilà comment tout a commencé. Début janvier mon mari et moi sommes partis deux semaines en vacance au ski. Personnellement cela ne m’enchantait pas vraiment. Dans ma vie je n’étais montée qu’une seule fois sur des skis et j’en avais un très mauvais souvenir. Mais bon mon compagnon est un grand fan des sports de glisse alors j’ai fait un effort pour lui faire plaisir.
Dès notre arrivée je me suis inscris à des cours particulier et le deuxième jour pendant que mon mari partait se faire quelques descentes, je suis allez attendre mon moniteur devant l’école. Et là grosse surprise, un jeune homme d’une vingtaine d’année s’est pointé devant moi. Il s’est présenté et a dit qu’il s’appelait Julien. Il était bronzé, musclé, sexy…craquant. J’étais toute intimidée par son physique d’Apollon.
Le premier cour s’est bien déroulé, mon jeune professeur m’a tellement mise à l’aise que j’ai apprécié skier et j’avais hâte de le retrouver le lendemain. Le feeling passait tellement bien entre nous que nous nous sommes dis-tu très rapidement, mais j’éprouvais autre chose, quelque chose que je n’avais pas éprouvé depuis mon mariage. J’étais attirée par Julien, physiquement. Je le désirais. Et puis la nuit de ce deuxième jour, j’ai rêvé de lui et ce n’était pas du tout sage et quand je me suis réveillée ma culotte était plus qu’humide.
J’avais du mal à me concentrer au troisième cour. J’avais encore les images de mon rêve en tête et à chaque fois que Julien me touchait j’avais des frissons. J’essayais de masquer ma gène mais vu les petits sourires en coin que mon professeur me lançaient, j’ai compris que je n’étais pas douée pour cacher mes envies. Nous avons descendu plusieurs pistes jusqu’à arriver dans un coin isolé cacher par les arbres. Je ne l’ai pas du tout vu venir…
Julien a feint d’avoir besoin de faire une petite pose et nous nous sommes assis dans la neige après avoir déchaussé nos skis. Et là il est devenu plus que familier.
- Je t’ai déjà dit que j’adore ta combinaison ? A-t-il dit tout en passant ses mains sur la poche qui se trouvait sur mon sein gauche.
- Euh, non… Ai-je timidement répondu.
- Et ce que je préfère c’est imaginé ce qu’il y a en dessous.
Je n’ai rien répondu et pendant plusieurs minutes il y a eu un long silence. Et puis Julien a fini par se relever et j’ai fait de même. Je m’apprêtais à chausser mes skis lorsque je l’ai senti se coller dans mon dos.
- Ce serait dommage de ne pas profiter de ce cadre magnifique ! A-t-il déclaré tout en baissant la fermeture éclair de ma combinaison.
J’étais comme paralysée. J’avais envie qu’il me baise là tout de suite dans la neige, mais ma conscience hurlait dans ma tête qu’il ne fallait pas, qu’il fallait que je l’arrête toute de suite.
- Mais qu’est-ce que tu fais ? Ai-je réussi à articuler.
- Tu crois que j’ai pas remarqué comment tu me regardes ? T’attends que ça depuis le premier jour.
- Mais…
Je n’ai pas achevé ma phrase car tandis que nous parlions sa main s’était glissée sous ma petite culotte et ses doigts commençaient à explorer ma fente. Sous l’impulsion du désir mes muscles se sont tendus et je me suis cambrée reculant mes fesses sur son entre jambe. Il avait beau avoir une épaisse combinaison, j’ai parfaitement senti la bosse qui se dessinait sous le tissu. Il était trop tard pour faire marche arrière, trop tard pour dire stop et j’en avais trop envie alors je me suis laissée faire. Ses doigts se sont lentement introduis dans ma petite chatte humide. J’ai laissé échapper un gémissement de plaisir et je suis devenue dégoulinante. Julien m’a doigtée vite et fort, m’ouvrant de plus en plus. Il a soudain retiré ses doigts et je l’ai entendu enlever sa combinaison. Je me suis retournée face à lui et j’ai découvert sons énorme tige tendue. La nature l’avait vraiment bien gâté et jamais une queue ne m’avait fait autant envie.
Alors je me suis agenouillée et j’ai enfourné son membre dans ma bouche. Je l’ai sucé avec gourmandise, j’adorais le gout de son sexe sur ma langue et je ne me laçais pas de le faire aller et venir entre mes lèvres. Mais tout à coup il m’a demandé d’arrêter et il m’a aidée à me redresser. Il m’a retournée dos à lui et il a baissé ma combi et ma culotte. Il a empoigné mes hanches et il a enfoncé sa queue pleine de salive d’un coup dans ma petite chatte. J’ai réussi à prendre appui sur un arbre et à me maintenir debout. Il m’a prise vite et fort. J’avais du mal à réaliser que je me faisais prendre dans la neige par mon moniteur de ski de dix ans de moins que moi, la seule chose que je ressentais c’était cette queue qui me défonçait et me faisait jouir. Mes fesses claquaient contre le bas ventre de Julien qui s’acharnait dans mon vagin comme un fou.
Et puis il s’est enfoncé encore plus profond et en poussant un râle il a emplit ma petite chatte de son sperme chaud. Il est resté en moi pendant plusieurs secondes avant de se retirer laissant l’épais liquide coulé le long de mes cuisses.
Nous n’avons pas prolongé le cour et je me suis dépêchée de rentrer à l’hôtel pour prendre une douche. L’eau chaude a peut-être nettoyé le sperme qui inondait l’intérieur de mes cuisses, mais elle n’a rien fait contre les regrets que je commençais à avoir.
Aujourd’hui deux options s’offrent à moi, soit tout dire à mon mari, soit vivre avec ce poids sur la conscience. Mais c’était tellement bon, je n’avais jamais ressenti autant de plaisir auparavant et je ne me l’explique pas. Est-ce que c’était à cause du lieu, ou le fait que Julien était plus jeune que moi, ou encore parce qu’il avait une énorme queue. Ou pire… parce que c’était une partie de baise extra conjugale…
Je suis complètement perdue, mais j'ai l'impression de me redécouvrir…
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Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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