Cliquez ici pour du tel rose Suisse

Recit sexe : Fessée sur le capot d'une voiture

Toutes nos histoires :
Télephone rose récits érotiques
  • 41 14

    Recit sexe : Fessée sur le capot d'une voiture

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    fessée

    Bonjour à tous et à toutes

    Je voulais vous raconter une expérience particulière que j'ai eu avec une nana, pour le moins particulière aussi; afin de voir ce que vous en pensez et si ça vous est déjà arrivé.

    Je l'ai rencontré via Internet sur un forum spécialisé de cinéma, et nous avons rapidement échangé ensemble sur ce sujet et sur plein d'autres; je la trouvais extrêmement cultivée, assez fine d'esprit, drôle, et profondément désirable, et ce pourtant sans l'avoir vu. Rapidement nous nous échangions mail et téléphone; puis nos photos. Elle avait un certain charme, une brune assez vénéneuse mais elle n'était pas mon type, et en plus j'étais en couple...

    Elle habitait Paris mais au bout de quelques mois elle m'apprend qu'elle descend dans le Sud de la France et qu'elle voudrait en profiter pour me voir " en vrai", en "tout bien tout honneur" précise-t-elle. J'accepte bien entendu, mu par une curiosité certaine, mais pas vraiment d'envie sexuelle; une saine curiosité.

    Rendez vous dans un café, nous faisons enfin connaissance physiquement. Elle n'est pas très grande, assez modestement vêtue: une robe longue blanche somme toute classique, des cheveux bruns attachés à la hâte, un rouge à lèvres passe partout et de grosses lunettes de soleil qui cachait pas mal de son visage. Sophie.
    Je me rendais comme que malgré ce physique passe partout, elle était tout aussi intrigante en vrai que derrière un écran, et peu à peu je me sentais subjugué par son âme, par ses gestes et ses mots choisis avec soin. Le temps passait à une vitesse folle avec elle. Il était déjà 20h00 et la nuit tombait.

    " Tu peux me ramener à mon hôtel, car je dois manger avec des amis ce soir, et je ne suis déjà pas en avance"

    je m’exécutais et nous glissions tout deux dans mon coupé, qui filait à vive allure dans son hôtel situé hors de la ville. Nous discutions encore et les conversations glissèrent rapidement vers des sujets plus licencieux et libidineux; j'avais l'impression que clairement elle m'allumait, à la fois par ces paroles, mais aussi par ses mains qui traînaient souvent sur mon levier de vitesse.

    Au bout de quelques phrases ambiguës je décidai de lancer: " mais toi tu voudrais pas faire l'amour? Dis le clairement??"

    Elle se mit à éclater de rire, d'un rire cristallin et sombre à la fois, qui m'engourdissait. Elle mit sa main sur mon visage et me répondit " non, je ne te ferais pas l'amour, mais je veux autre chose"

    Je restais interdit, ne comprenant pas trop ce qu'elle voulait dire; elle m'intima l'ordre de stopper mon véhicule dans un parking à l'écart de l'hôtel, puis elle me demanda de stopper le moteur et de descendre après elle. Je ne trouvais rien à répondre mais j'avais vraiment envie de savoir ce qu'elle me voulait; mon sexe devenait dur et même si elle ne me plaisait pas du tout, j'aurais eu envie de la baiser sauvagement et de juter dans sa petite chatte.

    Elle fit le tour du véhicule et me demanda de venir vers elle, puis elle se pencha sur le capot, et dans un geste hautement érotique elle remonta sa robe jusqu'à dévoiler sa culotte blanche satinée, et ses fesses qu'on devinait charnues et provocante. Je me campais derrière elle et je commençais à embrasser ses jambes, fermes et tendues, je remontai vers ses fesses et j'essayai de retirer ses dessous. Elle me stoppa net.

    " Non, tu ne me feras pas l'amour, j'ai juste envie que tu me punisses pour ce que je suis, je veux que tu me fesses, là."

    Je demeurai interdit, c'était la première fois qu'on me demandait ça, même si j'avais l'habitude de claquer le cul de mes amantes; je ne faisais pas .... que ça!

    " tu ne veux.... rien d'autres?"
    " non, de toi, je ne veux que ça, mais fais le correctement, ou je me barre"

    Ses fesses bougeaient devant moi, comme une invitation, et je me dis qu'après quelques coups, elle me sucerait au moins la bite.

    Je me campais donc derrière elle, puis je commençais à la caresser du plat de la main, remontant petit à petit; puis d'un coup je fis claquer ma main sur sa culotte. Elle gémit

    " continues"

    Je recommençais, une fois encore, puis de plus belle. des petits coups rapides, sur la fesse droite puis sur la gauche, chaque coup la faisait tressauter et elle avait l'air d'adorer ça. Elle se retourna pour me regarder et me dit:

    "pas mal.... mais tu peux faire mieux..."

    et elle retira alors sa culotte pour me dévoiler un sexe dru, non épilé, mais luisant de mouille; elle l'ouvrit pour moi avant de se retourner pour me présenter cette fois ses fesses nues et déjà rosée.

    " frappe moi"

    Je me mis donc à fesser son cul, de plus en plus fort; j'y prenais un certain plaisir, à voir son cul rougir devant moi, et de voir qu'elle prenait vraiment son pied à se faire ainsi frapper par moi. Elle mordillait son poignet droit, la tête posée sur le capot encore chaud, et de la main gauche elle écartait un peu ses fesses sans doute pour m'exciter, me montrer ce que je n'aurais pas.

    je continuais à la frapper, je voyais ses fesses de plus en plus rougir, si bien qu'on discernait les marques de mes mains, de mes doigts sur celles ci. Ça ne semblait pas la déranger outre mesure, bien au contraire; elle gémissait encore plus en me demandant d'aller plus vite, plus fort. j'en avais mal aux mains, tellement que je devais alterner entre la droite et la gauche constamment. La séance dura une bonne vingtaine de minutes jusqu'à ce que sa main m'arrête brusquement. Son cul était rouge, il lui faudrait mettre une bonne crème si elle ne voulait pas déguster demain...

    " Tu m'as fait jouir, t'es content?"

    Je lui répondais que j'aurais bien aimé jouir aussi, de manière plus classique.

    "non, je te l'ai dit ce sera comme ça, mais c'était très bon"

    Et à ces mots, elle ne remit même pas sa culotte, elle me la tendit, m'embrassa sur la joue avant de partir vers l'entrée de l'hôtel. Je demeurais interdit, sa culotte souillée à la main, et je la vis partir, les jambes un peu flageolantes. Elle disparut.

    Voilà un moment que je ne pourrais jamais oublier.

    a bientôt

tel rose voyeur

Cette histoire de cul t'a excité ?

Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !

Pour cela, compose le
Télephone rose récits érotiques
et fais-toi plaisir ;)
Cette histoire de cul t'a excité ?
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le
Télephone rose récits érotiques
et fais-toi plaisir ;)

Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

Envoie un commentaire à , cela lui fera très plaisir !

Posté le par gerard :
super c'est très bien très excitant merci
Pour commenter une histoire, il faut être membre.
S'inscrire gratuitement / Se connecter

Les autres aventures coquines de Euryclide

Euryclide

Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!

Inscription auteurs | Contactez-nous | Joindre la rédaction ou proposer un partenariat | Devenir hôtesse