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Histoire erotique : sortie d'école
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15Histoire erotique : sortie d'école
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 13/06/2019
Publié le 13/06/2019
Ici Fabien, quadra de la région lyonnaise, brun aux yeux verts, typé méditerranéen. Je vais vous raconter ce qu’il s’est passé pas plus tard que mardi dernier, une anecdote qui montre qu’on trouve du sexe dans des endroits auxquels on ne s’attend vraiment pas !
Il était 15h50 et je marchais dans la rue dans la direction de l’école de mon fils. Séparé depuis des années, c’est moi qui le récupère de temps en temps quand mon emploi du temps le permet, il est dans une école pas loin de chez moi donc je m’y rends à pied, et j’attends en général pas loin de la grille. Aujourd’hui j’étais très en avance et je trainais dans le parc pas loin de l’école. C’est là que je remarque une maman que j’avais coutume de voir aux sorties, d’une classe autre que celle de mon fils, elle marchait elle aussi vers l’école, elle portait une robe jaune clair magnifique, qui dévoilait ses jambes fines et bronzées, je l’avais déjà bien remarqué, sans avoir osé lui parler. Elle vit que je la regardais et elle s’approcha de moi pour me dire bonjour.
Nous commençons à échanger sur les enfants et l’école, à vrai dire d’affreuses banalités mais qui servent uniquement à lier connaissance, nous nous asseyons alors dans le parc pour être plus à l’aise, et elle est tellement à l’aise qu’elle est très proche de moi, sur ce banc, et j’ai rapidement sa jolie cuisse qui vient heurter la mienne, et même si je suis en pantalon, le contact me plait et je sens que ça frétille déjà dans mon caleçon. J’ai comme l’impression qu’elle tient à m’aguicher, elle minaude en se caressant le bras, puis la cuisse, me regardant dans les yeux tout en mordillant son doigt de manière hautement érotique, j’imaginais déjà autre chose à la place du doigt. Je n’avais donc plus qu’à passer la seconde, et tenter ma chance, car le temps passait vite. Il fallait encore un signe. Elle reposait sa cuisse sur la mienne et j’en profitais, tout en lui parlant de mon travail pour poser la main sur elle. Au moins j’allais être fixé de suite. Et je ne m’étais pas trompée, puisque non seulement elle laissa glisser ma main sur elle, mais elle souleva légèrement sa robe enfin que je puisse passer dessous, et me retrouver tout proche de son intimité… tiens donc ! Elle n’avait donc pas de culotte puisque je passais directement sur sa très légère toison pubienne. Et à ce contact, quand mes doigts passaient dessus et effleuraient ses lèvres je la vis frissonner et elle s’approcha de moi pour m’embrasser, tout naturellement. Elle passa sa langue sur mes lèvres, m’embrassant pleinement puis remonta de ma bouche à mes oreilles, passant par ma joue, et me murmurant « et si tu mettais ton doigt à l’intérieur ? »
Mais pas de souci, il n’y avait qu’à demander, je descendais très légèrement et j’entrai dans sa chatte lentement, faisant entrer deux doigts au plus profond de son être, sa chatte était déjà mouillée, c’était agréable d’entrer et d’aller et venir aussi facilement en elle, je sentais mes doigts glisser en elle et taper au fond, ce qui la faisait gémir doucement. Elle posa alors la main sur la bosse qui commençait à se former à mon entrejambe, et elle la malaxa sans complexe, alors que des gens passaient dans le parc, sans forcément jeter de regard sur nous mais bon.
Il se faisait tard, nos enfants sortaient dans une quinzaine de minutes et on avait tous les deux envie de passer aux choses sérieuses, nous nous levons alors du banc et nous recherchons un coin plus ou moins calme pour baiser tranquillement. Après quelques minutes de recherche, nous tombons sur un fourré assez éloigné du chemin principal, et derrière nous se trouve une maison abandonnée. Nous entrons dans cet espace confiné et sauvage, et à l’abri des regards indiscrets, nous nous mettons à l’aise. Je me met à genoux, je soulève la robe de Léa et je découvre son joli sexe bien trempé, que je commence à lécher comme une friandise. Elle écarte bien ses lèvres et laisse ma langue entrer et la visiter, si bien que mon visage entier est recouvert de mouille quelques instants plus tard. Puis je me relève et c’est à elle de goûter ma queue bien droite, qu’elle sort de mon pantalon avant de la bouffer rapidement, déployant des trésors d’érotisme tant elle savait sucer une belle bite. J’avais déjà du mal à me contrôler. Je la relevais et la retourner pour la baiser en levrette, la seule position adéquate dans un buisson, dans un parc public ! Elle entrouvrait ses fesses bien rondes et fermes et j’avais juste le temps d’enfiler une capote avant de jouer avec son clito, et de la pénétrer debout près des ronces, la besognant comme un démon pendant qu’elle se retenait de gémir trop fort. Je lui donnais des coups de boutoir qu’elle encaissait sans broncher, se penchant bien en avant pour accueillir ma queue dure, je tenais ses hanches pour l’enfiler bien profond, tapant encore et encore dans sa chatte ouverte que mes doigts avaient découverts auparavant, c’était un moment à la fois délicieux et brutal et je la vis jouir en me regardant, les yeux plein de désir. Elle lâcha un gémissement d’extase. Je n’en restais pas là et je continuais à la baiser comme ça, je voulais jouir en elle car je ne la connaissais pas assez pour lui demander une éjaculation faciale, même si j’en avais vraiment envie, je finis par décharger dans ma capote et dans sa chatte dans un grognement, me vidant de mon sperme. Nous nous sommes rhabillés alors et nous avons filé, rouges comme des pivoines, à la sortie de nos enfants, en discutant comme si de rien ne s’était passé . Depuis je n’ai qu’une envie, recommencer et j’espère que mon fils va m’aider dans cette démarche !
A bientôt donc j’espère !
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