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Recit erotique : the walking baise
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7Recit erotique : the walking baise
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/08/2018
Publié le 15/08/2018
Salut les coquins !
Je m’appelle Stéphane, j’ai 28 ans et j’habite dans le nord est de la France. Je ne vais pas me décrire car pour la suite de l’histoire, vous allez voir que ça n’a aucune espèce d’importance. Par contre, je suis célibataire, volontairement après une longue relation de 4 ans. Je suis assez vif, vivant de caractère et j’aime les défis. Autre passion importante, j’aime les films d’horreur, j’aime avoir peur et aussi faire peur ! Du coup, quand un pote m’a parlé d’une nouvelle activité proposée près de chez moi, j’ai sauté sur l’occasion et je me suis inscrit. Concept simple, se déguiser en zombie et faire peur à des gens sur un parcours en pleine nature, façon walking dead.
Je me rendais sur place, dans des habits des plus dégueulasses et là on me maquillait de manière assez impressionnante, je me faisais peur rien qu’en me regardant. Puis on nous expliquait les règles du jeu, et on me postait à la lisière de la forêt, je devais attendre là et poursuivre mes victimes. Je devais également les toucher avec ma main couverte de faux sang, signe qu’ils étaient eux aussi contaminés. Trop bien.
Je me postais donc pas loin de là où il m’avait dit et j’attendais. Quelques minutes plus tard, les « clients » arrivaient et je surgissais pour leur faire peur. J’en contaminais quelques-uns, certains tombaient, hurlaient, s’enfuyaient. Un très très bon moment. Entre chaque vague je me repostais dans mon buisson et j’attendais.
23h15. J’entends un bruit près de moi, une personne doit passer, seule. Je la regarde de dos, c’est une jeune femme avec une lampe électrique. Brune cheveux longs. Un jean et un tee shirt blanc comme les autres. Je sors donc du buisson sans faire de bruit, je m’approche d’elle mais brusquement je trébuche sur une racine et je m’écroule sur le sol. La nana se retourne et éclate de rire, puis s’approche de moi
« alors monsieur le mort, on n’a plus la faculté de se mouvoir correctement ? »
Et là je vois son visage, elle est superbe, même dans la pénombre, joli regard, beau sourire. Je suis sous le charme de cette vivante. Elle m’aide à me relever, me prévenant de ne pas la mordre car elle a fait preuve d’humanité. Je ris à cette vanne et une douleur me lance soudain dans la jambe gauche. Voilà que je crie.
Mona. C’est son prénom, me demande ce que j’ai. Je lui explique ma douleur. Elle me soutient et je m’assois près du buisson.
« je suis en 6ème année de médecine, montre-moi ta jambe »
Je suis un peu embêté de faire ça, mais Mona ne me laisse pas le choix, elle défait ma fermeture éclair, et retire mon pantalon doucement, pour éviter la douleur. Puis, elle me demande où j’ai mal et elle commence à me palper légèrement avec ses mains, pendant que j’éclaire son joli visage et ma jambe par la même occasion. Ses mains sont douces, ses gestes précis et je ne sais pas ce qui me prend, mais dans cette nuit là, éclairée comme ça, j’imagine qu’elle va remonter, prendre mon sexe et…. Et c’est trop tard car en pensant à ça, je commence à bander grave.
Je fais tout pour cacher mon érection mais impossible, elle est juste à quelques centimètres de mon boxer, me disant que c’est sans doute musculaire et que la douleur va repartir dans quelques minutes. Et là, Mona commence à me masser doucement le haut de ma cuisse, touchant des fois mon boxer. Je lui demande d’arrêter, je lui dis que je n’ai plus mal et soudain, elle remarque mon érection.
« je vois que ça va, je te fais de l’effet pour un mort »
Je lui réponds en m’excusant mille fois, mais elle continue le massage et touche mon boxer de plus en plus. Et elle remonte sa main et elle empoigne mon sexe dans sa main droite. Elle descend alors doucement le boxer et libère ma queue bien droite, avant de la masser lentement
« ça ne te gêne pas ? »
Je réponds non, bien entendu. Et comme dans mon imagination, elle glisse mon gland dans sa bouche et commence à le sucer doucement. Je continue de l’éclairer, bêtement et je vois ses lèvres douces lentement pomper mon sexe et descendre de plus en plus bas, me suçant doucement puis de plus en plus rapidement, me donnant des coups de langue en me murmurant des choses coquines. Je caresse sa chevelure et je gémis de plus en plus. Puis sentant que notre désir augmente, je lui dis que j’ai envie d’elle. Elle me répond qu’elle aussi. Elle retire alors son pantalon et me dévoile ses jolies jambes musclées, ainsi qu’un string blanc qui me montre son joli cul. Elle doit avoir dans les 30 ans je pense, elle me fait bander grave.
Elle se met alors à 4 pattes et me demande de venir la prendre en levrette, sa position préférée. La mienne aussi. Elle me passe une capote, comme par hasard et je la glisse sur ma queue ; avant de me mettre derrière elle et de jouer avec mon gland et sa fente. Je sens avec mes doigts qu’elle mouille et je la pénètre ainsi.
Je m’insère doucement et j’entre dans son intimité en gémissant. Elle se retourne et me demande d’y aller fort, elle veut que je la pénètre puissamment. Elle remonte son tee shirt, et je pose ma main blanche sur ses nichons, fermes mais petits ; et je commence mes vas et vient en elle. C’est bon, tellement bon d’entendre claquer dans cette nuit noire son cul contre ma queue. La lune éclaire son visage, je la vois grimacer de plaisir, mordre ses lèvres et elle me demande de ne pas arrêter, qu’elle va jouir ainsi. Mona tape de plus en plus contre ma queue et elle finit par jouir, se collant contre ma bite pour que je la pénètre bien fort, je jouis alors instantanément moi aussi.
On se rhabille, et me demandant si je vais bien, s’enfuit dans la nuit.
Je suis donc un zombie heureux !
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