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Histoire erotique : Histoire d'étudiantes coquines

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire erotique : Histoire d'étudiantes coquines

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    lesb cunni fist

    Bonsoir les coquins !

    Je m’appelle Hervé et je suis surveillant d’internat depuis une dizaine d’années, un boulot pépère que je fais tous les soirs par semaine, ce qui me permet de poursuivre mes études le reste de la journée. Evidemment, vous vous doutez bien que les dortoirs ne sont pas mixtes, mais dans cet internat, un seul escalier sépare le niveau masculin du niveau féminin ; ce qui donne toujours des situations cocasses et des tentatives d’irruptions de la part des garçons, et des nanas. Ils ont tous pour la plupart entre 15 et 20 ans, et on sent que ça les démange pas mal !
    Ce soir donc, je dois surveiller avec mon collègue les deux étages, on bosse de 22h00, heure du couvre-feu, jusqu’à six heures du matin. Beaucoup de cafés donc, beaucoup de temps passé à regarder son tel ou à errer dans les couloirs vides. Je déambule et au bout d’un moment disons le clairement, on a tendance à avoir les yeux qui se ferment. Puisque mon collègue surveille le couloir masculin, je décide de m’allonger au beau milieu du couloir, et de me détendre un instant. Et comme au volant, vous ne vous rendez pas compte que vous fermez les yeux. Bon, là, c’est carrément moins grave. Un bruit. Une porte qui grince, ou claque. J’ouvre les yeux. Impossible de savoir combien de temps je me suis assoupi. Je regarde mon portable. 01h00 du matin. Putain à cette heure elles devraient dormir tout de même. Je textote mon pote, pour lui demander s’il n’y a pas eu de départs à l’improviste des garçons. Rien, me répond-il. Me voilà rassuré.
    J’entends alors des bruits. Encore des grincements. Je me lève et j’arpente le couloir à la recherche de l’origine du son. Je pense avoir trouvé car je vois de la lumière s’échapper d’une des chambres. 01h00 du matin ! Mais elles font quoi à cette heure-ci ? Très souvent, je me rappelle être intervenu car les nenettes mataient la télé à point d’heure, mais c’est rarement en semaine, car les horaires étant stricts, et les cours tout autant, elles peuvent pas arriver à la ramasse le lendemain matin aux cours. Je continue de m’approcher et je tends l’oreille, tout près de la porte. C’est bien de cette chambre que provient le grincement. Je vais donc pour ouvrir la porte et poussais ma petite gueulante à voix basse. C’est alors que j’entends un gémissement tout à fait surprenant. Le genre de gémissement qu’on n’obtient pas en regardant une série sur netflix. Et là, bizarrement, je me dis que j’ai envie de voir ce que les diablesses sont en train de faire. Après tout, pourquoi pas me rincer l’œil avant de les arrêter ? Je glisse alors un doigt dans la porte et je l’ouvre tout doucement, juste assez pour glisser un œil à l’intérieur.
    C’est donc la chambre de Sabrina et de Lucile. Mais elles ne sont pas seules puisque Camille les a rejointes. Et toutes les trois sont en train de se gouiner. Elles sont chacune majeure, bien entendu, et savent parfaitement ce qu’elles font. Le spectacle est fort excitant, vous vous doutez bien que trois filles de 18-19 ans…. Je voyez le cul de Camille, parfaitement ouvert, en train de lécher la chatte de Sabrina, qui jambes écartées, s’offrait à elle, couchée sur le lit. Et au-dessus de Sabrina, le corps splendide de Lucile, se faisant bouffer la chatte par Sabrina. Je voyais ses seins remuer, petits mais fermes, alors qu’elle bougeait sa chatte, imprimant un mouvement pour la langue de Sabrina, des plus excitants. Un trio de nanas, j’avais jamais vu ça, elles se donnaient bien les petites, j’avais bien envie d’ouvrir la porte et de proposer une petite incartade au règlement avec ma queue, que je sentais devenir bien dure. Evidemment, il n’en était pas question, impossible pour moi de baiser avec des élèves, surtout là alors qu’elles étaient en nombre. Mais mater me suffisait bien à me faire la soirée. Camille bougeait son cul, de plus en plus, de la gauche vers la droite, s’agrippant au lit, ce qui le faisait grincer. Voilà mon bruit. Puis elle sortit un vibro près d’elle, et elle le passa sur le sexe de Sabrina, qui en gémit de plaisir ; j’entendais vibrer l’engin de là où je me trouvais, il devait être assez puissant, elle le passait sur son clito, insistant bien dessus pour faire jouir ; le vibro devait la combler car je vis de suite Sabrina écarter ses jambes et accueillir l’engin, mêlé aux doigts de Camille. Sabrina se laissait aller et se mit à jouir en silence, attrapant à la fois le lit et la jambe de Lucile, qui pour l’occasion s’était baissé en 69 pour elle aussi participer à la fête, frottant ses seins sur ceux de son amie, puis léchant son clito avec Camille ; le cumul des langues fit jouir Sabrina instantanément. On entendait plus que le bruit du vibro. Camille et lucile se mirent alors à s’embrasser, se plotant les seins l’une l’autre, et se caressant la chatte ensemble. Les deux sexes épilés s’ouvraient et elles n’avaient qu’à glisser leurs doigts dedans. La chatte de Lucile en accueillit trois, tandis que celle de Camille, plus large, vit entrer 5 doigts. Quasiment un fist fucking. Je bandais de plus en plus dur. Sabrina, qui s’était remise de ses émotions, passait de l’une à l’autre, léchant les deux chattes qui se présentaient à elle, passant le vibro sur les clitos de ses copines. Le fist continua et permit à Camille de jouir quelques instants plus tard. Elle tomba sur le lit et ne bougeait plus. Sabrina finit donc le travail en doigtant la dernière, lui crachant sur le clito en la léchant de plus en plus fort. Et ce fut le troisième orgasme, cette fois ci plus sonore. J’avais vraiment envie de débarquer. A la place, je fis quelques pas en arrière et je me mis à toussoter, avant de reprendre ma position endormie. Le temps pour la coquine de regagner sa chambre. Après ce spectacle, pas envie de les réprimander….
    Quelle vision !

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