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Recit sexe : histoire sexe incognito
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21Recit sexe : histoire sexe incognito
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 21/03/2019
Publié le 21/03/2019
Je m’appelle André j’ai 22 ans, je viens de trouver un emploie dans une petite start up. Il y a ce collègue Antony avec qui je m’entend très bien. Un jours il m’invite a dîner avec sa femme que j’ai déjà rencontrer deux jours plus tôt. Une magnifique jeune femme, si belle que j’en oublie son époux, mon collègue. Elle s’appelle Marie, un prénom aussi angélique que son visage, elle a de long cheveux brun et un regard si profond qui bouleverseraient un aveugle. J’ai passer le reste de la semaine a penser à elle et au jours ou je pourrais enfin la revoir. C’est pourquoi lorsque mon collègue m’a inviter a ce dîner j’ai tout de suite accepter.
Vient enfin le soir du rendez vous. Après m’être préparer avec soin pendant plus d’une heure je rejoins Anthony et Marie à l’adresse convenue, ils m’attendent tous les deux devant un très chic restaurant au cœur de Paris. Je remarque tout de suite Marie je marque un temps d’arrêt, je profite qu’ils ne m’aient pas encore vue arriver pour pouvoir l’admirer discrètement. Elle porte une jolie robe blanche qui moule ses formes généreuse. Je suis si émerveiller devant tant de beauté que je commence a ressentir des effets dans mon pantalons. Mais je suis vite ramener a la réalité, elle se tourne dans ma direction et me souris en me faisant signe de venir.
Je les rejoins, et après avoir échanger quelque banalités on rentre s’installer dans le restaurant. Nous sommes assis dans le fond un petit coin tranquille une table de quatre ou Anthony est assis en face de Marie et moi juste à coter d’elle, si près que je peux sentir l’odeur de son doux parfum. La soirée ce passe bien, on discute , on rigole le courant passe vraiment bien entre nous. Par nous j’entend Marie et moi bien sur, je dois avouer que la présence d’Anthony ne me dérange absolument pas. Je suis un maître dans l'art de la drague subtile. 2,3 phrases bien placer et Marie avait déjà compris mes intentions a son égard et elle avait l’air plutôt réceptive.
Dans un éclat de rire elle pose sa main délicatement sur ma cuisse mais curieusement elle ne l’a retire pas plus fou encore, elle me caresse en remontant sa main de plus en plus haut jusqu’à arriver au niveau de mon pénis, elle l'effleure a travers mon pantalon et repose sa main sur la table, elle est coquine, elle aime jouer je le sent, et j’adore sa. Anthony lui, de son coté ne se rend compte de rien, il est si naif que je compte bien en profiter un maximum. Il est plonger dans son portable et fait a peine attention a ce qu’il se passe autour.
Il me vient alors une idée… faire tomber ma fourchette, je me retrouve sous la table, j’attrape vite ma fourchette et en remontant je passe ma langue délicatement le long des jambes de Marie tout en lui donnant quelque baiser rapidement, elle eu un petit sursaut de surprise mais lorsque je me remet droit et que je regarde son visage je sais qu’elle a apprécier, elle fixe ma bouche je sais qu’elle a envie de m’embrasser.
Marie se lève et se dirige vers les toilettes, elle a besoin de se rafraîchir dit elle, je lui ai fait tant d’effet que sa ? Je crois bien !
Lorsqu’elle revient le serveur nous demande si on veut prendre un dessert c’est la que Anthony propose une idée si extraordinaire que même moi je n’y avait pas penser, et si on allait prendre le dessert chez eux… Avec plaisir voyons, je demande donc l’addition et après avoir régler nous nous dirigeons vers ma voiture. Anthony m’explique le chemin pour se rendre chez eux mais je fais semblant de ne pas comprendre. Marie, est intelligent elle a tout de suite compris ce que je voulais, elle a alors gentiment proposer de monter en voiture avec moi. Anthony accepte et nous regarde partir.
On avait a peine tourner a l’angle de la rue que Marie se jeta sur moi elle commence a m’embrasser dans le cou et à me caresser le pénis, cette fois si elle y va franchement au diable jeu et sous entendu, a ce moment précis dans cette voiture nous avons franchis une ligne sans possibilité de revenir en arrière. Elle déboutonne ma chemise et m’embrasse le torse tout en descendant pour détacher mon pantalon, elle me rend fou, je ne peux même pas me concentrer sur la route mais elle s’en fiche, elle veut ma bite et elle l’aura.
Comme un vrai gentleman je sors mon pénis de mon caleçon, j’attrape ses cheveux et je dirige sa tête vers mes couilles, « Suce moi, tous de suite » Elle sait ce qui lui reste a faire.
Elle se met a quatre patte sur le siège, sa robe glisse vers le haut de son corps ce qui me permet d'admirer son petit cul bien rond. Elle me lèche le gland en massant mes couilles, je me tord de plaisir. Un plaisir si intense que je suis obliger de m’arrêter dans une ruelle non loin de chez elle.
Loin de se soucier de la route que j'empreinte les vas et viens de sa bouche sur ma verge s'intensifie elle va de plus en plus vite et de plus en plus loin, je claque ses fesses et commence a caresser sa chatte qui est déja toute mouiller, elle gémit mais ses gémissement sont étouffé par la présence de mon sexe dans sa bouche. Je commence alors a la droiter profondément, son bassin ce tord de plaisir elle arrête de me sucer et remonte vers ma bouche, elle enfonce sa langue dans ma bouche tout en venant s'asseoir sur mes genoux, je retire sa robe, puis son soutien j'admire sa généreuse poitrine, elle me rend fou.
J'attrape son sein dans ma bouche en passant ma langue autour de son téton, elle gémit, se tord de plaisir elle me demande plus "Baise moi" !
A vos ordre Madame je déchire son string ficelle tant je suis excité et impatient je présente ma bite a sa chatte en la caressant doucement, mais elle n'en a que faire de la douceur, elle s'empale sur ma verge violemment et pousse un grand cris de satisfaction, "Laisse moi faire, tu ne seras pas déçu" Je suis surpris devant tant d'audace mais ce n'est pas pour me déplaire, elle commence des vas et viens avec son bassin, j'attrape a nouveau ses seins avec ma bouche, elle me tiens la nuque me sert contre elle et accélère les mouvements de son bassin.
Nous sommes couper en plein ébat par la sonnerie de son téléphone, c'est Anthony il se demande surement ou on est, elle sort rapidement et repasse sur le siège passager, on se rhabille et on prend le chemin de sa maison, on est a 5 minutes on arrive vite. Sur la route on c'est mis d'accord sur une version crédible, elle devra simplement dire a Anthony que j’étais fatiguer et que j'avais donc décider de rentrer et si il pose des questions elle devait prétexter un arrêt a la station service. De cette façons notre petite escapade resterais insoupçonné.
Je la dépose donc chez elle et je m'en vais de mon coter, rêver de se court moment de plaisir partager avec elle, en espérant qu'il y en ai d'autre.
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