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Histoire de sexe : histoire d'un départ en vacances

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : histoire d'un départ en vacances

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    voiture pipe aire

    Bonsoir chers lecteurs et lectrices,

    Petite histoire de départ en vacances ! Je suis en couple avec une jeune femme, qui, déjà mariée, a un garçon de 7 ans de son ex époux. On ne vit pas ensemble, on se voit essentiellement quand le petit est avec son père, mais là, pour les vacances, on a voulu faire le test et tenter de partir tous les 3 en congé. Rendez vous donc ce matin là vers 06h00 pour huit heures de route. Et oui ça fait beaucoup. Et rapidement, j’ai compris que le voyage allait être long, très long. Je ne connaissais pas trop Thomas, mais je me suis vite rendu compte qu’il allait falloir l’occuper durant tout le trajet, il accaparait sa mère, il faisait du bruit, il râlait, bref c’est devenu rapidement infernal au bout de quelques heures. Elise était gênée, elle ne faisait que s’excuser et voyait bien que j’étais tendu, mais je ne pouvais pas lui en vouloir, le gamin avait sept ans, et elle lui passait quand même tout ses caprices. Au bout de quelques heures le gosse s’endormit, et pour se rattraper Elise put enfin être plus câline. Elle savait comment essayer de se rattraper. Elle lança sa main sur ma cuisse, commença à la caresser de façon langoureuse, puis avança jusqu’à mon entrejambe, qu’elle commença à masser.
    Belle manière de revenir aux fondamentaux ! Je me laissais faire mais je gardai un œil sur la route. Une fois qu’elle fut sûre que Thomas était profondément endormi, elle défit ma fermeture éclair et sortit ma queue, qu’elle commença à branler doucement. Elle savait parfaitement y faire, elle y allait doucement et je bandais de plus en plus dur. J’avais envie qu’elle me pompe le dard mais ça semblait très difficile, donc je me contentai de ce petit apéritif, sachant qu’elle y reviendrait dès que ce serait possible. Elle décalotta mon gland, puis cracha sur sa main pour pouvoir le mouiller à la place de sa langue, c’était très bon, et elle continua de me masser la queue bien vigoureusement, touchant aussi mes couilles par la même occasion. J’avais de plus en plus de mal à me concentrer et je ralentis l’allure pour profiter du paysage. Quelques minutes passèrent et voyant un panneau sur la route, j’eus une idée. Je stoppais la main d’Elise et lui demandait de réveiller Thomas. Elle ne comprenait pas mais en me garant un peu plus loin, je lui montrais une aire de jeux située un peu plus haut sur les hauteurs
    « Thomas, ça te fait plaisir de te dégourdir un peu les jambes ? »
    Thomas était ravi, nous descendions tous les trois de voiture, non sans que je me rhabille ; et une fois arrivés à l’aire, je demandais immédiatement au personnel si on pouvait laisser notre gosse pour aller boire un café. L’aire était surveillée. Parfait. Elise dit donc à Thomas que nous allions revenir et qu’il joue avec les autres enfants. Il était bien sûr ravi. J’entrainais donc Elise avec moi, en lui murmurant à l’oreille que j’allais la baiser comme une grosse chienne. Restait juste à trouver où.
    Et là, sur les collines en hauteur, il y avait une petite maison abandonnée, sans doute une ancienne bergerie du siècle dernier. Nous montions la petite pente, et il ne semblait y avoir personne. Arrivés devant, j’essaye d’ouvrir la porte. Fermée. Pas envie de prendre un quelconque risque. Nous contournons la bâtisse et derrière celle-ci nous trouvons un petit banc. Nous sommes donc à l’abri, personne ne peut nous voir.
    Je m’assois donc sur le banc, je retire mon pantalon et mon boxer et je sors ma queue, puis Elise s’assoit aussi et se couche sur moi afin de la prendre en bouche. Enfin seuls ! Je reconnais là le talent d’Elise qui enroule sa langue autour de mon gland et commence à me pomper doucement, reprenant là ou elle s’était arrêtée. Je sens cette chaleur sur ma bite, elle me pompe lentement sans que je sente ses dents frotter, et je l’aide à descendre le plus bas possible, afin qu’elle avale ma bite totalement, j’adore ça les gorges profondes. Elle me suce quelques minutes, puis à mon tour je la déshabille, remontant sa robe et je viens entre ses cuisses pour goûter sa chatte, bien humide. Sa pipe l’a bien excitée, et je fourre mes doigts en elle facilement, tout en léchant son clito. Je la fais rapidement monter et encore quelques secondes et je la faisais jouir. Mais pas comme ça.
    J’ai envie de la baiser. Elle se couche alors sur le ventre sur le banc, écartant les jambes et je viens derrière elle, je fais pénétrer ma belle queue dans sa chatte et je commence à la ramoner ainsi, sur ce banc. Elle commence à gémir et écarte ses fesses pour que je la baise bien en profondeur. Ca m’excite de voir ma queue entrer ainsi et savoir qu’on baise dehors et qu’un ou plusieurs promeneurs pourraient nous surprendre. Mais j’ai surtout envie de me vider les couilles.
    Elise se lève alors et vient s’appuyer contre une fenêtre de la bâtisse, me dévoilant son cul qu’elle mouille avec ses doigts. Je comprends le message et je m’avance vers elle, queue en avant, pour l’enculer. Après quelques secondes mon gland s’enfonce lentement dans son cul, elle gémit un peu de douleur et se mord les lèvres et je continue de m’enfoncer, jusqu’à avoir la queue entièrement dans sn cul. Et là je la sodomise à sec, la prenant de toutes mes forces sans qu’elle puisse trop crier ; je frappe son cul et je m’accroche à ses hanches pour bien la défoncer. Elle me dit qu’elle jouit, je la sens se crisper en effet et elle me demande que je jouisse dans son cul, je m’exécute et en deux trois coups de boutoir j’envoies la purée au fond de son trou de balle. Puis je me retire, essoufflé et nous nous rhabillons.
    Nous récupérons Thomas, hilare et nous repartons. Les vacances commençaient bien !

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