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Recit de sexe : histoire d'un droit de cuissage

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit de sexe : histoire d'un droit de cuissage

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    patron pipe bureau

    Coucou les copains !

    Je me présente, je m’appelle Murielle, j’ai 37 ans et j’habite à Nancy. Je viens ici vous raconter une histoire absolument dingue que j’ai vécu le mois dernier. Je ne m’en remets toujours pas d’ailleurs.
    Faut savoir que je suis mariée, mais pas vraiment vraiment fidèle. Il arrive donc de me faire draguer dans des soirées et si le type me plaît, de succomber à ses avances. Directement. Et un samedi soir, je suis en train de danser dans un pub quand je remarque un homme qui me mate. Brun, ténébreux, quelques cheveux grisonnants, un joli regard et un physique attrayant. Je vois dans son regard une envie, un désir, je vais donc danser près de lui et l’invite à la danse. Nos corps commencent à se toucher, se frôler et il décide tout de suite de tenter les mains baladeuses. Elles passent dans mon dos, flirtent avec mes fesses, et, vu que je porte une robe assez courte, il commence même à glisser une main dessous, tâtant mon cul et mon string en dentelle. Je sens sa main se rabattre sur mon cul et je le regarde en souriant, lui chuchotant à l’oreille qu’on va s’isoler un peu.
    Je lui prends la main et on va près du vestiaire, je connais la nana à l’entrée et quand elle me voit arriver avec le jeune homme, elle me laisse entrer et ferme la porte derrière moi. Nous sommes au milieu de présentoirs divers, des manteaux des vestes diverses et variés. Je mets alors tout de suite dans ma position favorite. A genoux devant lui et je ne lui laisse aucun choix. Je défais son pantalon, le baisse jusqu’aux pieds, puis retire son boxer, et j’en sors une belle queue, déjà bien droite et bien dure. Il ne semble pas étonné par ma démarche, et me laisse tranquillement la prendre en bouche, me délectant de son gland déjà énorme et qui me remplit bien. Je décide donc de le pomper goulûment, lui montrant à qui il a affaire et visiblement à voir ses mâchoires se crisper, il ne déteste pas ce que je lui propose. Après lui avoir léché les couilles et branlé le mat, je décide qu’il en a eu assez et je me redresse, avant de me retourner et de soulever ma robe, me baissant assez pour qu’il comprenne ce que j’attendais de lui. Je l’entends saisir une capote, l’enfiler avant d’écarter mon string. Il commence d’abord par me bouffer le cul, me léchant l’anus, salivant comme un cochon. Puis il présente son dard à l’entrée de ma chatte, et l’ayant mouillée au préalable avec deux doigts, il me prend en levrette comme une petite salope, me donnant de grands coups de boutoir, pendant que j’évite de gémir, m’accrochant comme je peux au porte manteau. Sa queue est grosse et large, il me laboure bien et au bout de quelques minutes, il m’éjacule dans la chatte, remplissant sa capote gorgée de foutre. Je n’ai pas eu le temps de jouir, mais peu importe, je suis repue et je le remercie. Nous prenons congé sans même nous échanger nos téléphones.
    Je retourne à ma petite vie, à mon petit mari et des semaines passent ; avant que je ne sois convoqué à mon travail. Que se passe-t-il ? Qu’ai-je donc fait ?
    J’entre dans le bureau du patron et là, le choc, je me retrouve nez à nez avec l’homme charmant qui m’a bien baisé il y a quelques semaines.
    « je suis le nouveau directeur, et je remplace votre patron pour quelques mois a peu près, et quand j’ai vu le trombinoscope, je vous ai tout de suite reconnu, Murielle »….
    Je suis extrêmement gênée au départ, et puis nous nous détendons rapidement, surtout qu’il me met assez à l’aise : je suis mariée, il est marié aussi. Il faut donc rester discret, après tout, c’est une aventure sans lendemain…
    Et je suis bien d’accord, sauf qu’en le regardant, j’ai encore envie de lui, et je prends sa main, avant de la poser sur ma cuisse. Je suis en jupe ce jour-là. Ça tombe bien.
    Il ferme alors la porte à distance, et ferme les rideaux. Il décale alors sa chaise et ouvre sa braguette. Voilà la queue bien dure que j’avais découverte la dernière fois ! Je suis bien heureuse de me remettre à genoux pour la sucer encore comme une grosse chienne. Je fais descendre sa queue au fond de ma gorge, restant de longues secondes à fleur de ses couilles. Mais j’avais envie de jouir. Cette fois ! Je me suis donc levée et je suis venue m’asseoir sur lui. J’ai soulevé ma jupe, décalé ma culotte et je me suis empalée sur sa belle queue. Je remontais et descendais sur son dard, de plus en plus rapidement. La chaise grinçait et j’entendais gémir mon patron, qui avait pour le coup pas eu le temps d’enfiler une capote. J’accélérais le mouvement, je mouillais mon sexe, j’avais la chatte trempée et ma cyprine devait couler sur son pantalon, sur sa chaise. Mais que c’était bon. Je me retournais pour le voir, et il prenait son pied grave. J’allais donc de plus en plus vite, écartant et serrant les cuisses. Je sentais mon orgasme monter, et je me mis à gémir à voix basse, je mordillais les lèvres et je jouis salement, pour la première fois, sur mon lieu de travail. On tapait à la porte. Je glissais alors sous le bureau ! Le directeur ouvrit la porte et je me retrouvais, près de sa queue, je me mis alors à la pomper pendant que mon patron parlait à sa secrétaire, je prenais mon pied à lui faire prendre son pied, et il avait du mal à garder son calme le cochon, sa voix tremblait et je reçus son foutre dans la bouche, il me giclait dans la gorge et j’avalais tout son sperme pendant qu’il congédiait sa secrétaire…
    Voilà comment j’ai rencontré mon nouveau patron !

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