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Histoire erotique : histoire d'un parc secret

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    Histoire erotique : histoire d'un parc secret

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    baiser parc sein

    Bonjour amis coquins et coquines

    J’ai rencontré A. via notre réseau préféré FB. Pour des motifs totalement professionnels puisque je devais lui proposer une collaboration mutuelle sur un projet. Nous nous sommes tout de suite très bien entendus. Une relation amicale que j’avais envie de développer, même à distance car elle habitait à 4 heures de chez moi. Belle. Les cheveux bouclés châtains, les yeux noisette et rieurs. Une bouche fine. Un corps fin également, je devinais à travers les photos une jolie poitrine, des jambes fuselées et un adorable petit fessier. Elle est mariée. Deux enfants. Totalement et éperdument heureuse. Je ne suis pas non plus célibataire. Mais ce qui devait arriver arriva. Une relation de séduction est venue s’ajouter à celle purement amicale. Des jeux, des sous entendus, des messages de plus en plus fréquents, pour devenir quotidiens et incessants. On avait besoin l’un de l’autre. A cela s’est ajouté des photos, qui là aussi sont devenues de plus en plus sexy. Le désir qui montait en nous nous donnait l’envie de se dévoiler, et j’ai pu voir que je ne m’étais pas trompé sur elle, elle était magnifique, un corps sublime que j’avais envie d’enlacer sur le champ.
    Dès le début de notre histoire il était prévu que l’on se rencontre pour parler affaire ; mais là, la rencontre prenait un tout autre aspect, on en avait envie, même si on ne savait pas ni l’un ni l’autre si nous pourrions franchir le cap du virtuel au réel. Mais le rendez vous a été pris, et c’était hier.
    Je partis donc la rejoindre à mi-parcours entre nos deux villes. J’avais essayé de soigner mon apparence, car j’avais peur qu’elle soit déçue de moi. Le stress montait au fur et à mesure, mais il disparut totalement quand je le regardais pour la première fois, en vrai.
    Elle portait une petite robe noire absolument merveilleuse, qui mettait en valeur ses jambes, avec un décolleté à croquer et des chaussures noires. Elle s’avança vers moi et nous nous disions bonjour en parfait ami, avant de chercher un restaurant pour nous restaurer. La conversation fut variée, nous nous étions trouvés, aussi à l’aise en vrai que derrière nos portables. Je n’arrêtais pas de la regarder, et j’osais lui dire qu’elle était belle ; elle me remerciait, visiblement intimidée. Puis nous décidions d’aller faire un tour dans un parc pour nous détendre avant de travailler un peu. Nous nous sommes mis sur un banc, une pluie fine commençait à tomber mais nous étions protégés par de grands arbres.
    Je sentais son parfum, nous étions très proches et j’avais qu’une envie, c’était de l’embrasser. Et alors qu’elle me parlait d’un livre qu’elle avait sous les yeux, je me suis approché d’elle et j’ai posé mes lèvres sur les siennes, sans savoir quelle allait être sa réaction. Elle se laissait faire. Nous frottions nos visages l’un contre l’autre, je saisis sa main et le serrais ; je posais mon autre main sur sa jambe nue et je commençais à la caresser fébrilement ; je respirais son parfum et j’allais chercher son odeur jusque dans son cou, que j’embrassais encore et encore.
    Notre contact devenait plus fort, elle serrait son corps contre moi et je sentais son soutien-gorge, que j’apercevais, bleu marine, contre ma poitrine, ça me rendait dingue.
    Nos bouches se cherchèrent et le baiser devient rapidement plus profond ; nous ne sentions plus la pluie. Je sentis sa langue pointer et je lui donnais la mienne, nos lèvres s’écrasèrent l’une contre l’autre, nous fermions les yeux et plus rien n’existait autour ; nous étions deux ados dans un parc qui découvrait leur corps. Et la température ne cessait d’augmenter.
    Nous décidions alors de nous mettre plus en retrait, à un endroit où les gens pourraient moins nous observer. Le soleil était ressorti. A. vint contre moi et commença à m’embrasser le cou, ôtant un bouton de ma chemise pour faire pénétrer ses doigts, jouant avec ma pilosité et effleurant mes tétons. J’avais posé mes mains sur sa cuisse et elles remontaient sous sa robe, touchant sa culotte, empoignant ses fesses fermes pour l’attirer encore plus vers moi. Nous commencions tout deux à gémir doucement, nous imaginant sur un lit, seul. Craquerions-nous plus en avant ? J’avais envie d’elle, je lui susurrais cette envie à l’oreille. Je me sentais très excité par nos baisers, par ses caresses alliant douceur et une pointe de sauvagerie, j’avais envie de la mordre, j’avais envie de la prendre.
    Ma main passa sur son décolleté et alors que nous continuions nos baisers, je passais sous son soutif, atteignant ses mamelons, puis ses tétons que je trouvais déjà gonflés de plaisir ; je passais mon doigt dessus, les effleurant et en faisant le tour pour l’exciter davantage, A se mit sur moi, me chevauchant ; mon sexe était déjà prêt à exploser. Pendant que ma main passait sur ses seins, l’autre atteignait sa culotte et je commençais à caresser son sexe doucement ; j’avais envie d’aller plus loin.
    Je m’imaginais la renverser sur un lit et retirer ses vêtements doucement. Une fois cette robe ôtée, je l’embrassais au cou, puis descendrait vers sa poitrine. Je retirerai ses dessous, tout aussi doucement et je goûterai enfin à sa poitrine, dressée pour moi, et dont je me délecterai durant plusieurs minutes. Puis je descendrai, embrassant son ventre, ses hanches et je finirai sur son sexe, que je dévoilerai lentement, écartant ses cuisses pour embrasser son intimité ; passant ma langue sur son clito, déjà éveillé et dressé, puis sur ses lèvres, que je goûterai avec passion et gourmandise ; elle s’épancherait alors sur moi et nous ferions l’amour, moi sur elle la pénétrant, puis elle venant sur moi pour en rythmer la cadence. Là je me laisserai aller à ses caresses, et mes mains campés sur ses fesses, je la mènerai à l’orgasme le plus profond, avant de céder moi aussi à cette passion, finissant par nous épuiser nous deux.
    Mais cela reste de l’imagination. Nous n’en étions pas encore là….

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Anonyme

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