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Histoire de sexe : histoire d'un retour de flamme

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : histoire d'un retour de flamme

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    levrette sein ejac


    Me voilà de retour les amis !

    Je m’appelle Luc j’ai 42 ans et j’habite dans un petit patelin du Massif Central, inutile de vous dire le nom vous connaitrez pas. Notre village compte à peu près 500 habitants, et la prochaine grande ville est à à peu près 100 bornes. Mais je m’y plais bien, vu mon caractère ours. J’habitais Paris il y a des années, et j’en ai eu marre du rythme de vie et du stress.
    Je vous ai raconté donc comment une vilaine blessure m’a ouvert les portes du paradis il y a quelques temps. Et comment le fantasme du pompier en uniforme ou pas pouvait se conjuguer au féminin. La belle Léa, pompier qui m’avait secouru, était bien revenue me voir pour prendre de mes nouvelles, mais aussi pour prendre d’autre chose en main…. Ma queue ! Et à la fois immobilisé, et de plus bien heureux de me faire cajoler par une si jolie demoiselle, je me suis laissé faire quand elle est montée sur moi pour me baiser, comme elle le souhaitait.
    J’ai désormais ma main sur son clito bien érigé, et une autre sur un de ses seins. Elle ferme les yeux et continue de me baiser, montant et descendant sur ma bite s’en s’arrêter une seconde. Je sens ses cuisses musclées se coller contre moi, son sexe se contracter, signe évident qu’au-delà de prendre son pied, la demoiselle va jouir. Elle commence à gémir de plus en plus fort, puis finit par se coller contre moi en me murmurant qu’elle vient d’atteindre l’orgasme. Puis elle se retire de ma bite encore dressée. M’embrasse sur le front avant de se rhabiller, prétextant qu’elle doit rentrer chez elle. Et elle part.
    Je reste un peu sur le cul. Dans les deux sens en fait. Pas qu’un homme doive absolument jouir dans toutes les séances de baise, mais là j’ai un peu l’impression d’avoir été utilisé comme objet de désir, et une fois terminé, jeté. Je finis par me détendre, me disant que de toute manière ça m’a permis de moi aussi prendre mon pied, et d’avoir pu baisé une jolie demoiselle. C’était une belle rencontre.
    La nuit se passe et le lendemain je vais déjà mieux. Je parviens à me lever, enfin prendre une bonne douche et changer de vêtement, et reprendre mon train train quotidien. Je ne pense naturellement pas revoir Léa, même si j’y songe de temps à autre.
    Et quelle ne fut pas ma surprise quand j’entends un véhicule se garer devant chez moi, et que je vois Léa débarquer dans la maison, en uniforme cette fois et avec son plus beau sourire.
    « ah ben je vois que tu te sens mieux, ça me rassure ! »
    Je la remercie d’être passé me voir, et je lui dis qu’effectivement je me sens mieux, je lui propose à boire et elle accepte volontiers, nous allons tous les deux dans la cuisine et je lui sers un verre. C’est comme si rien ne s’était passé hier. J’enrage un peu, je me sens encore plus un objet ! Nous discutons de banalités, puis elle fait mine de sortir. Et là ça en est trop. Avant qu’elle ne quitte la cuisine, je la plaque contre le plan de travail et je descends son pantalon. Elle ne se débat pas, bien au contraire
    « et ben, tu en as mis du temps ! » Elle me nargue la salope !
    Je baisse mon pantalon et la fait basculer en avant, puis je retire légèrement sa culotte et je lui plante ma queue dans sa chatte, queue déjà bien raide à l’idée de la défoncer !
    Et là je commence à la prendre en levrette brutalement, chose qu’elle semblait attendre impatiemment. Je suis sauvage, je lui attrape les cheveux, qu’elle a attaché et je me penche en arrière pour la baiser bien profondément pendant que je la cambre. Puis je relâche ses cheveux et je plaque mes mains sur ses hanches, pour la bourrer bien profond. Elle gémit cette salope et me demande de continuer à bien la limer. Je vais donc bien au fond, sortant ma queue en entier parfois pour bien lui renfiler par la suite. Et je n’arrête pas, aucune envie de jouir pour le moment, mais seulement de la besogner comme une pute. Elle retire son haut et tient ses seins, les caressant en me regardant de manière coquine, elle me dit qu’elle va bientôt jouir si je la baise ainsi ; je continue à y aller de plus en plus fort et elle crie, finissant par atteindre l’orgasme sur le plan de travail. Mais cette fois, je ne m’arrête pas là, je continue la baise, frappant son cul de mes mains, jusqu’à ce qu’il devienne rouge et quand je sens que je vais jouir, je me retire et la retourne, avant de la baisser au niveau de ma queue
    « maintenant tu vas bouffer ma bite, et avale tout ! »
    Elle saisit mon sexe, et commence à le sucer rapidement, en me regardant droit dans les yeux, elle m branle en même temps et joue avec mes couilles, tout en m’aspirant le dard. Je me laisse faire puis je commence à moi-même bouger ma queue et à lui enfoncer dans la gorge, prenant appui sur le plan de travail, elle lâche alors ses mains, et se laisse faire, n’étant plus qu’un garage à bite et me regardant en petite chienne soumise. La baiser ainsi me donne envie de jouir, je me retire et me branle devant sa bouche, langue sortie. J’éjacule soudain et je vide mon foutre dans sa bouche, elle me regardant encore et se laissant faire, le sperme dégouline le long de ses lèvres et elle finit par bien tout avaler, n’en laissant pas une seule goutte. Puis elle remonte et se rhabille, pendant que j’en fais de même.

    Voilà comment je l’ai dompté, et depuis lors elle passe des fois me voir pour se faire baiser, puis elle repart. Comme quoi d’une blessure, il peut sortir du bien !
    Merci et à bientôt !

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Luc

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