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Recit sexe : histoire d'un side car coquin

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit sexe : histoire d'un side car coquin

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    levrette ejac nichon

    Ici Jacques, 58 ans, j’habite dans l’ouest de la France. Très coquin bien entendu, et très excité à l’idée de vous raconter cette histoire qui m’a beaucoup plus à l’époque. J’avais 10 ans de moins, la pleine fleur de l’âge et je vivais de petits boulots, sans attache fixe. Pas marié donc, souvent sur les routes, j’étais un peu assimilé aux motards et aux gens du voyage. J’avais par contre pas de moto, mais un side car. L’engin toujours à la mode qui vous permet de voyager à deux, et quand vous êtes seul de pouvoir stocker vos petites affaires dans la petite caisse près de soi.
    L’histoire se passe en été, j’avais suffisamment bien gagné ma vie pour pouvoir rouler tout l’été et faire un presque tour de France. Je roulais la journée, profitais des paysages et le soir je montais ma petite tente et je dormais à la belle étoile. Que de souvenirs mémorables ! Me restait juste à tirer un peu mon coup car ça faisait longtemps quand même que j’en étais resté à la petite branlette devant les magazines porno. Et ce soir-là, j’en ai eu l’occasion.
    J’étais donc couché en pleine nature, dans un petit champ sympa pas loin de mon véhicule, quand, alors que j’étais en train de m’endormir, j’ai entendu le bruit d’éclats de voix, de plus en plus forts. J’ouvrais les yeux et je regardais autour de moi, et je remarquais immédiatement une lumière, sans doute causée par une lampe de poche, et deux silhouettes qui se déplaçaient. Je me levais donc, m’habillais en vitesse pour savoir ce qui se passait.
    C’était un homme et une femme. Qui se disputaient. S’engueulaient gaiement même. Le gars criait, la nana criait mais rapidement c’est lui qui se faisait de plus en plus menaçant.
    J’intervenais donc, surgissant de l’obscurité, pour les séparer.
    « Monsieur, il ne veut pas me laisser tranquille, j’ai pas envie de…. »
    Je n’avais pas besoin d’entendre la suite, je poussai le gars assez violemment et il s’enfuit sans demander son reste, nous laissant tous les deux.
    La dame me remercia, elle s’appelait Laurence. Une brune aux yeux marrons d’une quarantaine d’années. Je me souviens de son petit chemisier bleu. Et qu’il était largement ouvert, laissant apparaître sa jolie poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge.
    Laurence était heureuse, et un peu choquée encore. Je l’amenais donc à mon petit camp pour la faire boire et la rassurer. Elle m’expliquait donc que ce gars était un petit ami avec qui elle était depuis quelques jours, et qu’il avait essayé d’abuser d’elle ce soir, dans cette même forêt. Au départ, elle était pour ; mais avait changé d’avis et lui n’avait pas apprécié. D’où la dispute. Elle me remercia encore de mon intervention et nous discutions du coup, pour lui faire oublier cette histoire, autour d’un ou deux verres de whisky.
    Le temps passait, la nuit avançait et je proposais à Laurence de dormir près de moi, et de la ramener le matin chez elle. Elle acceptait. Et je l’installais sur mon duvet. Nous dormions donc l’un près de l’autre, gardant quand même une distance acceptable.
    Le lendemain, je me levais avant elle et je la regardais dormir, elle était vraiment pas mal cette Laurence. Mais je restais tranquille.
    On se levait, et le petit déjeuner pris ; on rentrait chez elle en side car. Elle adorait bien sûr la balade et ne cessait de me regarder dans son habitacle. Elle me regardait de plus en plus d’ailleurs, jouant avec les boutons de son chemisier. Dont je savais que dessous, il n’y avait…que ses seins.
    Ca devenait de plus en plus connoté ; et je dus m’arrêter pour une pause et mettre les choses au point s’il on veut. Je descendais de la moto, pour réparer un souci imaginaire, et j’allais lui demander comment elle allait.
    « bien, c’est très agréable… tout comme vous… » Et elle se mit à caresser ma veste d’un geste équivoque. Cette fois ci plus de doutes Laurence était une jolie chaudière. Je me penchais alors vers elle pour l’embrasser et elle saisit ma langue pour la glisser dans sa bouche.
    Voilà. C’était parti. En l’embrassant, je glissais ma main sur son chemisier, dont je défaisais un à un les boutons. Je libérais donc ses seins, elle devait faire du 95c ; des jolis seins, lourds et fermes, que j’empoignais volontiers. Puis je quittai sa bouche et j’allais directement lécher ses mamelons, puis mordiller ses tétons. Ils étaient délicieux. Il n’y avait personne sur la route de campagne près de nous. On pouvait donc se faire plaisir ici, en pleine nature.
    Je me redressai et retirait ma braguette pour faire sortir ma queue, déjà bien droite et raide comme la justice. Je la glissais dans sa bouche grande ouverte, pour qu’elle me pompe un peu le dard. J’aimais qu’on me suce et Laurence savait y faire visiblement. Mais au déjà de cette pipe j’avais surtout envie de la baiser dans ce side car. Elle descendait de celui-ci et retirait rapidement son jean, exhibant un petit string rouge bien sympathique. Puis elle se penchait et me présentait son cul, assez large mais tout à fait appétissant. Cette belle levrette qui m’attendait ! J’enfilais un préservatif et je la niquais ainsi par derrière, tapant ma queue contre son cul assez rapidement. J’avais peur qu’on nous surprenne sans qu’on ait eu le temps de bien prendre notre pied. La petite Laurence remuait bien son cul, pour que je m’enfonce bien profond et elle me parlait assez crûment, me demandant de la fesser et de bien la baiser comme une salope. Madame était connaisseuse ! Je la retournais alors, la fit monter à l’avant du side, et je la pénétrais comme ça, m’arc boutant sur le métal, la besognant rapidement. Son orgasme arriva ainsi et elle se mit à jouir dans cette position inadéquate. Moi, je la rejoins rapidement ; pas le temps de me retirer, je jouissais dans sa chatte, me répandant dans la capote.
    Voilà comment Laurence m’a remercié de mon geste, j’avais été plus chanceux que le précédent !

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