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Recit sexe : Histoire d'un vœu exaucé partie 1

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit sexe : Histoire d'un vœu exaucé partie 1

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    star voiture pipe

    Bonsoir dialogue 69,

    Et pourquoi pas moi ? Telle serait la phrase symbole de cette petite histoire de sexe ! Je suis un jeune étudiant d’une petite trentaine d’année, physique tout à fait commun, et pas vraiment du style à se vanter de quoi que ce soit ! Mon seul atout serait mon humour, qui m’a sauvé de bien des situations, et m’a toujours apporté des choses positives.
    Mon histoire se passe à la fac, il y a quelques années. Dès le début de l’année, j’avais été stupéfait par un attroupement dans les couloirs, j’avais demandé ce qu’il se passait et on m’avait répondu que j’étais vraiment le dernier des derniers à être au courant. ELLE faisait partie de notre promo.
    Mais qui, elle ?
    Elle s’appelait Mathilde. Une véritable petite bombe. Une sensualité à couper le souffle. On l’avait vu à la télé dans une émission de télé réalité assez connue, elle n’avait pas gagné le jeu final mais on l’avait remarqué pour son physique et sa personnalité. Et plus tard, on apprenait qu’elle avait décidé de reprendre ses études comme tout un chacun, dans notre faculté. DANS NOTRE FACULTE. La rumeur s’était étalée comme une traînée de poudre et voilà ; elle était là, dans ma promo. Je passais rapido dans le couloir où garçons et filles s’agglutinaient pour lui demander une photo ou une dédicace. Elle était vraiment super jolie, aussi souriante et naturelle qu’à l’écran, j’étais comme tous les autres, sous le charme. Mais je ne me faisais guère d’illusions et je traçais ma route, j’aurais bien l’occasion de l’admirer plus tard !
    Un matin donc, j’arrivais comme d’habitude, à la bourre et la tête dans le cul et je grimpais dans l’amphi, au fond à droite. Je sortais mes affaires et commençais à suivre le cours. Soudain, je voyais une main tapoter mon épaule, je tournais la tête et je la voyais. Mon dieu. J’avais même pas fait gaffe que je m’étais assis à côté d’elle. Elle me tendait un papier que le prof avait distribué et moi je la regardais avec mes yeux de merlan fris. Charmant ! je finis par sortir une connerie, une auto flagellation sur mon état qui le fit rire. Ce fut notre premier échange. Et nous continuâmes sur ce registre toute l’heure de cours, oubliant un peu ce prof qui parlait tout en bas.
    Le cours fini, elle me proposait d’aller boire un café et j’acceptais bien volontiers, sous le regard médusé de mes camarades qui devaient me haïr j’en suis certain ! C’est donc comme ça qu’on est devenu pote, j’étais parfaitement ce qu’on appelle dans la friendzone ; j’étais l’ami à qui elle pouvait tout confier, un peu le pote gay, même si j’avais bien précisé que je ne l’étais pas !
    Les mois passèrent et on se voyait à la fac, un peu à la sortie des cours ; et un soir, elle me proposa d’aller boire un verre avec elle ! Je n’étais à vrai dire peu surpris, car c’était devenu une vraie amie ; elle passa me chercher en voiture, et je courrais la rejoindre, la pluie tombait à torrent. Cheveux mouillés, encore un éclat de rire. Elle était encore magnifique, divinement maquillée, une petite robe courte qui dévoilait ses jambes fines et bronzées, un joli décolleté pas vulgaire mais très attractif. Nous nous mettions à la recherche d’un pub ouvert, pub qu’on ne trouva jamais.
    Les deux dans la voiture. J’étais un peu gêné et j’enchainais vannes sur vannes.
    « Pourquoi tu m’as jamais demandé de sortir ? Je suis pas ton genre ? » Me dit elle. Tout net.
    J’éclatai de rire. C’était la blague du siècle. Je répondais que jamais j’aurais osé faire ce type de chose, pour moi, on était juste pote. C’était déjà énorme pour moi.
    Et là, elle sourit et elle s’approcha de moi pour m’embrasser. Surpris, je me laissais bien entendu faire, si surpris que je ne pensais même pas au début à ouvrir les lèvres. Elle posa sa main sur ma joue pour me détendre, et nos langues se rencontrèrent soudain ; elle embrassait divinement bien. Je savais même plus ou j’étais ; dans sa voiture ou dans l’espace c’était pareil.
    Le baiser se prolongea sous la pluie tombante, et je m’hasardais alors à saisir sa main, posée sur sa cuisse, elle décida de la poser directement sur sa cuisse, incroyablement chaude. Wahou. Je voyais le plan venir mais je ne me sentais pas du tout capable d’assumer du sexe, avec cette beauté là, dans une voiture, en pleine rue, ça faisait beaucoup pour mon petit cœur !
    Je caressais quand même sa cuisse, remontant légèrement sa robe, pendant qu’elle me tenait toujours la joue en m’embrassant, puis elle commença à embrasser cette joue, puis mon cou, donnant de petits coups de langue, passant sur le lobe de mon oreille, le mordillant. Puis elle défit un à un les boutons de ma chemise. OMG. Mais comment j’allais faire pour assurer, et je ne m’étais même pas épilé le torse !
    Pendant qu’elle défaisait les boutons, son autre main glissa sur mon pantalon, et retira ma braguette. D’un geste habile, elle passa sa main dans mon pantalon, et caressa mon sexe. J’étais déjà en érection, forcément ; j’étais en folie, avec une sirène, la chemise déboutonnée. Et voilà qu’elle sortait mon sexe ! Mais j’hallucinais, et j’avais pas envie de lui dire d’arrêter, c’était peut être MA seule occasion avec elle. Elle descendit sur mon pantalon, et commença à sucer mon sexe, doucement et lentement, ce qui le fit dresser encore plus. Elle était couchée sur moi, je voyais sa robe remonter. J’étais bloqué et je pouvais uniquement caresser son dos nu, et dégrafer son soutien-gorge. Elle gloussa de plaisir et continua de me sucer, me branlant légèrement avant de me reprendre en bouche. Puis elle stoppa sa fellation et se releva, me disant :
    « tu veux qu’on monte chez moi peut être, j’ai très envie de toi »
    Bien sûr. J’acceptais .
    A suivre

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Posté le par johntrek :
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