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Histoire de sexe : histoire d'une belle batteuse
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1Histoire de sexe : histoire d'une belle batteuse
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 19/04/2019
Publié le 19/04/2019
Je m'appelle Ludovic, j'ai 40 ans, J'habite dans le sud de la France, suis marrié depuis 20 ans et en général je suis fidèle, sauf quand je rencontre une bonne occaz.Celle là je ne pouvais pas la rater je vais vous raconter.
Je suis un grand amateur de jazz et souvent, je me rends dans des concerts, en général seul car ma femme déteste cette musique. Et ce soir là je suis donc dans une petite salle de la ville pour écouter un groupe de vieux briscards que je suis depuis des années. Accoudé au bar avec un whisky je les vois monter sur scène et je remarque tout de suite, je la remarque immédiatement: ils sont 5 gars mais là il y a une nana derrière les futs de batterie et quand je la regarde je suis limite à tomber amoureux: elle doit avoir 25 ans, une grande blonde aux yeux bleus. Un jean bleu super moulant et un tee shirt noir col en V magnifiquement décolleté qui laissait apparaître un joli soutien gorge noir en dentelles, elle devait faire un joli 90c. Très bien maquillée. Je ne pouvais décoller mon regard d'elle et quand elle passa devant moi, je me retenais d'aller lui parler.
Le concert fut merveilleur, elle était aussi bonne batteuse que bonne tout court, j'étais subjugué par tant de talents et de féminité. Une fois le concert fini, j'avais qu'une hâte, aller lui parler mais malheureusement elle ne sortit pas avec le groupe. Elle avait du rentrer chez elle rapidement, la jeune Eloise.
Dépité, je rentrai chez moi, reprenant ma voiture. Je me disais qu'en arrivant, j'allais baiser ma femme en imaginant que je baisais Eloise, en fermant les yeux. Comme ça m'arrivait souvent.
Je roulais sur une route assez déserte qui me ramenait chez moi quand soudain je crus rêver en voyant une forme familière sur le bas côté. Une voiture, visiblement en panne, et une jeune batteuse qui me regardait et me demandait de m'arrêter pour lui venir en aide! INCROYABLE
J'avais une chance de cocu; je descendais de voiture et j'allais l'aider. Non sans lui dire que je venais de la voir en concert, histoire de détendre l'atmosphère. Sa voix était douce, elle était encore plus belle et plus jeune de près que de loin. La voiture ne démarrait pas, à vrai dire je ne donnais pas le maximum pour voir ce qui se passait car j'avais envie de la ramener dans ma caisse. Elle habitait dans un patelin à 5 bornes de chez moi, je lui proposais donc de la raccompagner.
Il y avait vingt bonnes minutes à converser, et nous faisions connaissance malgrès la fatigue.Il faisait chaud dans la voiture et je jettais des coups d'oeil car il me semblait qu'elle se frottait un peu les seins en me regardant, si c'était le cas....
je me lançais donc et je lui disais qu'elle me plaisait beaucoup, et qu'elle m'excitait pas mal. J'avais rien à perdre après tout. Et sa réaction fut étonnante puisqu'elle posa sa main sur ma cuisse, me remerciant de ma gentillesse, et me disant qu'elle pouvait me remercier pour mon geste.... de la plus douce des manières... elle défit mon pantalon et le fit glisser tout juste assez pour sortir ma queue bien droite... et elle se baissa pour commencer une jolie petite pipe sous mes yeux ébahis.
Je continuais de conduire tout en me laissant faire par sa langue experte, elle me titillait le bout du gland, puis descendait tout doucement, emprisonnant mon sexe dans sa bouche chaude, sans un bruit. J'en pouvais plus, j'avais du mal à me concentrer sur la route, donc avant d'entrer dans son village, je me mettais sur le bas côté, je coupais le contact et je me délassais, profitant de sa fellation, tout en lui susurrant que j'avais envie de bien plus.
Elle se releva alors, retira son haut puis son soutif et me fit goûter à ses seins bien chauds et bien doux, et je descendis ma main pour serrer son jean à l'entre jambe. Elle gémit et ouvrit la portirère, me demandant de la suivre au dehors.
Là, elle s'allongea sur le capot encore chaud, descendit son jean et me dévoila son joli cul bombé, et son string noir qui la mettait en valeur dignement.
J'avais plus qu'à prendre une capote dans ma caisse, l'enfiler et je posai mon pied sur le capot, avant de m'insérer en elle bien profondémént, sans avoir besoin de la lubrifier tant la coquine était trempée.
C'était tellement bon d'aller et venir en elle, elle était bien plus sexy et ferme que ma femme, je caressai ses seins qui se frottaient contre mon capot et je ressortais ma queue avant d'à nouveau l'enfoncer en elle dans une grosse levrette bien salasse. Puis je la retournais car je voulais voir son visage se crisper sous ma bite, je la plaquais contre mon capot et je la ramonais en la regardant, mettant mes doigts dans sa bouche pour qu'elle me les suce; elle en avait envie la salope.
Je remontais ses cuisses sur mes épaules et je la baisais bien profond, me cambrant pour aller tout à l'intérieur, lui donnant des claques sur les cuisses comme une salope. Elle en redemandait, elle me parlait cruement, me disant qu'elle voulait que je jute en elle, que je mette tout mon foutre dans sa chatte. Ca m'excitait grave et je sentais que j'avais envie de jouir mais je me retenais. J'attrapais ses cheveux et les tirais sur le côté, puis je sortais ma queue, je lui mis entre ses seins et je lui demandais de me btanler comme ça, que je voulais juter sur elle.
Elle s'éxécuta et massa ma bite entre ses nichons et donnait des coups de langue à chaque fois, faisant monter mon jus à chaque coup de langue, je me mettais à gémir et soudain mon foutre emplit sa bouche avant de dégouliner sur ses gros seins, j'étais comblé .
Voilà comment une bonne action peut mener à une belle baise!
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