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Recit de cul : Histoire d'une performance lesbienne

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    Recit de cul : Histoire d'une performance lesbienne

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    art cunni lesbienne

    Salut à tous et à toutes,

    Je m’appelle Maitresse Hécate, j’ai déjà écrit des textes, des anecdotes sur ce site. Pour ceux et celles qui ne le savent pas, j’ai découvert le SM soft et hard, le bondage il y a quelques années et depuis je redécouvre une sexualité tout à fait épanouie, avec des hommes, mais aussi des femmes. Et ce soir, je vais vous raconter une anecdote assez croustillante avec une nana rencontrée sur un forum particulier, du domaine artistique.
    Elle s’appelait Gabriella, elle était âgée d’une cinquante d’années et elle est connue, toujours d’ailleurs pour ses performances artistiques assez étonnantes, voire extrêmes selon le regard qu’on leur porte. Nous avons tout de suite aimé échanger dans ce domaine de l’Art, qui côtoie assez souvent l’univers érotique. Au bout de quelques semaines, elle me proposait de me rencontrer pour une performance à laquelle elle avait envie que je participe, sans trop m’en dire bien entendu.
    N’étant plus d’un naturel à refuser quoi que ce soit, j’enfilai mon plus beau pantalon en vinyle, mon bustier d’inspiration gothique qui mettait en valeur ma belle poitrine, et je me rendais à son atelier, qui se situait à une heure à peine de chez moi.
    J’arrivais donc à cette adresse, une espèce d’hangar désaffecté. Il ne semblait pas y avoir âme qui vive ici, mais je repérais une fourgonnette garée un peu plus loin, signe que je n’étais pas seule. J’entrai dans cet hangar et je fus accueilli par Gabriella, vêtue d’une blouse blanche, ce qui contrastait avec un maquillage extrêmement provoquant, et des talons hauts que n’aurait pas renié une prostitué de luxe. Je la saluais et elle s’approchait de moi avant de prendre mon visage et d’y déposer un large baiser. Elle entrouvrait ses lèvres et glissait ma langue en moi alors que la porte n’était même pas encore fermée, j’étais très étonné de cet accueil, et, n’étant pas très habitué à ce type d’échanges avec une femme, j’y goutai tout de même avec un certain plaisir, et je décidai de lui rendre la pareille en caressant sa poitrine et ses fesses. Et je remarquais avec plaisir qu’elle ne portait rien sous sa blouse, et que ses seins étaient parfaits, lourds et parfaitement proportionnés. Quant à son cul, j’avais pour la première fois envie de le bouffer comme l’aurait fait un de mes esclaves sexuels. Gabriela, en un baiser, m’avait envoûté.
    Elle m’invita à me déshabiller et elle retira sa blouse, confirmant qu’elle était bien nue dessous et qu’elle avait un corps splendide malgré son âge. Je me déshabillai également, malgré le froid régnant dans le hangar, et je me retrouvai à mon tour nue devant elle, le téton frémissant, et la chatte déjà mouillée. J’avais envie de la baiser, et qu’elle me fourre comme un homme, chose suffisamment rare depuis que j’étais devenue une maîtresse SM.
    Elle m’invita à m’allonger sur une bâche posée sur le sol, et vient vers moi accompagnée de deux seaux tout à fait traditionnels. Elle m’expliqua alors que nous allions nous enduire de peinture, à la façon body painting, et réaliser une œuvre, avec nos deux corps, sur le sol, là.
    J’étais étonnée là encore, et complètement curieuse de voir le résultat ; même si je pensais que nous allions faire l’amour également. Sentant que j’étais désarçonnée, Gabriela me dit de lui faire confiance, et que la peinture était à la fois artistique, mais aussi alimentaire, et en riant, elle me déversa sur le corps un des seaux de peinture, j’étais devenu entièrement bleu, mis à part le visage. La peinture était relativement chaude, et donnait un spectacle assez magnifique sur mon corps, mettant en valeur mes formes généreuses. Gabriela se renversa alors la peinture sur elle, de couleur plus blanche, plus diaphane ; on aurait presque dit qu’elle s’était enduite de farine. Puis elle s’approcha vers moi, me coucha sur le sol, et vient se coller sur moi, m’embrassant à pleine bouche, comme tout à l’heure. Quelle agréable sensation que d’être ainsi câlinée, cajolée. Elle descendit vers ma poitrine et l’embrassa, sans aucune gêne vis-à-vis de la peinture, et se retrouva ainsi barbouillée de peinture également sur le visage. Mais ça ne la gênait nullement, car elle continua de descendre, me faisant pivoter sur la bâche qui était en fait une toile. Elle arriva sur mon ventre, et elle posa sa main sur ma chatte, jouant avec ma pilosité, avant de commencer à me caresser le clito. Hummm, ça devenait plus qu’intéressant….Je sentis alors ses doigts entrer dans ma chatte, tout naturellement, et la voilà en train de me doigter tout en caressant mes seins. Ses doigts fouillent mon sexe, on entend le bruit de la peinture qui goutte sur le sol, je suis excitée comme une chienne et je traîne Gabriela vers moi pour moi aussi avoir accès à son intimité. Nous sommes donc désormais l’une contre l’autre, tête bêche ; en train de nous caresser le clito et de nous doigter, dans ce hangar qui désormais est chaud, très chaud. Nous continuons de nous frotter, et le mélange des couleurs est tout à fait impressionnant ; même si à cet instant je pense uniquement à prendre mon pied, je lui demande de mettre ses doigts plus au fond, de me faire jouir avec ses doigts et je n’hésite pas non plus à glisser trois doigts dans sa chatte, mais également aller visiter son petit trou, son anus que je découvre et que je lèche avec délectation. C’est dingue, la peinture n’a aucune odeur ni saveur, le seul parfum est celui de sa cyprine que je découvre également. Les minutes passent, et nous frottons désormais nos chattes l’une contre l’autre, en nous regardant dans les yeux, jusqu’à faire venir l’orgasme, qui, de mémoire, a été d’une violence et d’une profondeur rarement atteinte. Voilà ; nous tombons dans le bras l’une de l’autre, nous nous embrassons encore avant que Gabriela me propose une douche, bien méritée. Nous regardons l’œuvre sur le sol et elle retranscrit très bien à la fois le délire, la folie mais aussi le sexe sans tabou auquel nous nous sommes livrées elle et moi.
    Une belle performance.

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Maîtresse Hécate

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