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Recit porno : Histoire d'une tournante partie 2

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    Recit porno : Histoire d'une tournante partie 2

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    partouze orgie

    Bonjour


    Je reviens ce jour vous raconter la suite et la fin de la tournante auquel j’ai participé étant jeune, à la fac avec des potes de la section, vous vous souvenez qu’au départ je n’ai pas osé prendre trop part à une scène que je trouvais vraiment extrême, n’étant vraiment pas habitué à la chose. La suite a été bien différente. En effet, on parle souvent du fait d’être entrainé par les amis, quand on parle d’alcool ou de drogues et là c’est exactement ce qu’il s’est produit : une sorte de déclic et une annihilation de toute gêne, de toute pudeur face à mes camarades, j’ai brusquement décidé que j’en avais rien à foutre et que j’allais faire comme eux. J’ai donc pris l’initiative et je me suis jeté sur la nana en train de se faire baiser et j’ai demandé à Tom si il voulait bien l’enculer devant moi ; il s’exécuta avec plaisir et je le vis retirer son pénis gonflé pour aller titiller le trou du cul de la fille, il prépara son entrée quelques secondes puis entra dans son cul doucement, ce qui l’a fit grimacer de douleur, elle pinça ses lèvres pour ne pas crier mais sa souffrance était réelle. Je me mis donc à l’entrée de sa chatte et je décidai, comme ça, sans réfléchir, de la baiser avec lui. Doublé pénétration sur une table, j’insérai ma bite gonflée dans son con et elle du se frayer un chemin dans un orifice déjà brimé par la queue de Tom qui forait son cul avec insistance. Ma queue entra doucement jusqu’à la garde et on la prit ainsi à deux, alternant ensemble les coups de boutoir, car on pouvait pas la baiser à fond en même temps. Elle ne put se retenir de crier cette fois ci, même si le plaisir était toujours au rendez vous, elle prenait son pied la salope, et les deux autres lui firent rapidement gober leur sexe pour éviter de réveiller tout le quartier résidentiel. Je voyais la sueur s’écouler de son visage, le maquillage coulait, ça sentait la mouille et la transpiration, nous la baisions comme des bêtes. Je m’amusais maintenant moi aussi à lui mettre des grosses gifles sur le visage, et elle en redemandait.

    Puis Tom eut une idée et il sortit la bite de son cul, rougie, et il vient rejoindre la mienne dans sa chatte ; nos sexes se touchaient et labouraient ses chairs, ses deux trous étaient désormais bien béants mais nous n’arrêtions pas pour autant, comme des machines à baiser.
    Sentant qu’on allait jouir, nous nous retirions pour laisser la place aux deux autres, qui décidaient pour la laisser se reposer de la faire venir avec leurs doigts, ce qu’on appelle le squirting, Ils l’ont donc allongée sur la table et avec l’index et le majeur, ils ont commencé à la doigter de manière très rapide et brutale. J’avais encore jamais vu ça et elle réagit de manière très vive, sans doute car le plaisir était trop fort, rapidement elle se mit à contracter les cuisses, voulant retirer ces doigts qui se déchainaient dans son intimité mais les gars la maintenaient sur la table ; elle criait et se mit à jouir, en crachant de la mouille de partout sur la table et le sol, j’en avais jamais vu autant, l’orgasme devait être vachement fort, la nana était épuisée, en sueur, complètement à l’ouest. Rapidement elle dû sucer encore les gars qui en avaient pas fini et qui voulaient maintenant juter sur elle.

    Et là, ça tourna vraiment à l’orgie puisqu’elle se retrouva entre nous quatre, queues à la main, dans un festival de pipes non stop, un mini bukkake servi sur un plateau. Toujours les yeux bandés, elle n’avait qu’à sortir sa langue pour engouffrer une ou deux queues, qu’elle suçait toujours avec application, elle bavait dessus et nous branlait en même temps pendant que nous tripotions ses nichons endoloris. Les gars lui criaient qu’ils allaient juter et elle demandait que ça, sans doute pour en finir tant elle avait été défoncée de toute part. Elle s’activa et le premier juta sans crier gare alors qu’elle l’avait en bouche, on vu son foutre envahir sa bouche et elle eut un haut le cœur et du recracher une bonne partie de la semence sur son visage, et reçu une biffle en gage de réprimande ; elle en avait déjà partout et elle n’eut pas le temps de déglutir que je lui enfonçais déjà ma bite dans la bouche, je voulais moi aussi la remplir, la salir, ce n’était pour moi qu’un trou, plus une femme et j’avais envie de me lâcher comme jamais. Autour de moi les deux potes se faisaient branler les queues en la caressant sommairement puis Tom sentit lui aussi l’orgasme arriver et lui gicla sur son visage. Le foutre s’étala sur ses joues rosées, le liquide poisseux alla même jusqu’à ses cheveux et il donna ses dernières gouttes à la dame qui dû cette fois les avaler sans refuser.
    Il ne restait plus que moi et le dernier pote, nous tardions tous les deux à venir. L’autre la mit donc à 4 pattes et sans la prévenir s’enfonça en elle en levrette ; il lui dilata la chatte quelques instants, quelques va et vient suffirent pour le faire jouir et il gicla sur son cul tout son foutre emmagasiné, puis il tapota sa queue sur son anus avant d’entrer son gland dans son cul, juste pour la salir.

    Je clôturais le bal alors qu’elle me suçait encore, avec le peu de force qui lui restait et en grimaçant ; je sentis mon jus monter et je déchargeais moi aussi dans sa bouche, la forçant cette fois à tout avaler, fermant sa bouche de ma main, la bite encore à l’intérieur. Elle avala tout en hoquetant et je me retirais, fier de moi, alors qu’elle faisait mine de vomir sur le sol. C’était devenue une épave et les gars s’approchèrent d’elle, lui donnèrent un peignoir, en la remerciant, devenus doux comme des agneaux. Je quittai la pièce rapidement, sans lui parler, et je sortais sans dire au revoir, conscient de ce que j’avais fait.

    Voilà ce qui s’est passé, je refuse d’en parler avec eux depuis, de toute manière je ne les revois plus depuis des années, coïncidence ? Non, sans doute honte d’être face à ceux qui m’ont conduit à ces actes peu recommandables ….

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