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Recit erotique : Infirmière coquine

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit erotique : Infirmière coquine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    sexe

    Infirmière de métier, je suis très débordée, un planning bien chargée, un esprit assez encombré et une fleur un peu attristée.

    Mon mari lui aussi esseulé de me voir autant m'absenter se retrouve les bourses tout aussi chargées.
    Dans sa pudeur d'homme discret il me convoite en secret. Il sait bien comme je suis fatiguée avec mon métier et ne veut pas me perturber, me déranger ou m'oppresser de son désir brulant.

    C'est dommage car si il savait comme je mouille en pensée, il en serait très flatté.
    L'imagination d'une femme peut être fertile et abondante à l'image de nos courbes et de nos fluides féminins.
    Comme j'aimerai qu'il empoigne mes hanches, qu'il suce mes seins, qu'il claque mes fesses, qu'il lèche ma bouche et qu'il s'arrête juste avant de jouir pour que je parte au travail encore plus motivée et excitée.
    Si il pouvait rentrer dans ma tête et regarder mes fantasmes avec moi pour avoir tous les outils pour m'aider à les assouvir.
    Si il savait comme je me caresse en pensant à lui et comme je recommence plusieurs de suite jusqu'à en trembler de spasme et de plaisir.
    J'aimerai qu'il aille à ma conquête comme si j'étais une terre vierge, qu'il pénètre ma forêt et qu'il voit comme elle est humide et chaude. Qu'il puisse y manger tous les fruits juteux et sucrés. Qu'il puisse s'enivrer des bons parfums boisés de mes fleurs à peine ouvertes.
    Je lui ferais visiter des endroits qu'il ne connaît pas encore pour qu'il s'y perde pendant des heures et que ça continu pour ne jamais en finir.
    J'ai tellement besoin de me sentir pénétrée que je serais prête à tout pour qu'il rejoigne mon esprit vif en demande.
    Nous pourrions nous accorder ce temps de jouissance mutuelle et vivre dans l’insouciance de la temporalité.
    Si il savait comme je suis ouverte à toutes propositions du moment qu'elle apporte consentement et plaisir.
    Je pourrai être sa soumise ou le soumettre, son amante ou sa putain, sa femme ou son flirt.
    J'ai mille visage et le plaisir a mille facette.
    Son sexe raide est une flatterie de mon ego et je saurais le remercier de toute sa dévotion à m'offrir un décuplement de ma vu, du touché, de l’ouïe, du goût et de l'odorat.

    Avec lui, plus aucune pudeur, plus aucune gène, j'ai envie de me laisser aller à tout, de tout prendre en moi, par toutes les possibilités que l'on a de se faire du bien.

    J'aime tant son sexe ...
    J'aime son corps d'homme et la chaleur qu'il m'apporte pour à la fois me brutaliser et me réconforter.
    J'aime sa frénésie quand il jouit en moi et à force de le fantasmer je déborde.

    Je n'ai pas le courage de lui dire, de lui parler de toutes mes pensées et je suis toujours plus excitée quand l'élan vient de son côté.
    j'aime être surprise, bousculée et dénudée par ses mains fermes et tendres à la fois.
    Je veux qu'il décharge en moi cette explosion chaleureuse qui vit en lui.
    Je veux qu'il demande et je veux dire oui et sentir que je détiens une partie de son plaisir comme il détient une partie du mien.
    Je veux qu'il soit moins galant à ce moment là et qu'il ose me troubler par son initiative et que je pénètre son imaginaire comme il pénètre mon vagin.

    J'avais fini par ne plus vraiment y croire et désespérer qu'un jour proche il me prenne de toutes ces forces pour me montrer comme je lui avais manqué.

    C'était sans compter ce matin... Ce matin de décembre, le froid nous attaque et nous tétanise. La cheminée nous réchauffe nous apporte douceur et repos.

    J'avais oublié ma boîte de déjeuner et j'étais toujours dans l'attente d'un geste pour s'étreindre.
    c'est donc un peu lassée que le chemin vers la maison j'ai rebroussé.

    En ouvrant la porte de la maisonnée qu'elle ne fut pas ma surprise... Toute étonnée...

    Une petite culotte j'avais oublié sur le rebord de la cheminée et mon pauvre époux tout excité, de dos à la porte d'entrée, reniflait ma dentelle bien portée depuis 2 nuitées.
    Avec tout ce travail et ces nuits de garde, je n'avais pas eu le temps d'en changer, encore chaude et humidifiée, imprégnée de mon odeur parfumée, ma petite culotte avait trouvé le chemin de l'imaginaire d'un homme délaissé.
    Il était tout comme moi, j'en fus immédiatement rassurée, il n'avait pas mis de côté sa fantaisie, bien au contraire il avait trouvé le moyen d'accéder à mon essence sensuelle et sexuelle malgré mon absence.
    Il avait lui aussi du souffrir de ma posture passive parce qu'il ne savait pas ce qu'il se passait dans ma tête.
    Nous étions tous les deux près à se donner...

    Le dos un peu courbé, les jambes écartées, mes fluides plein le nez, frénétiquement, il se masturbait.
    Il est beau et encore plus que d’habitude car il ne m'avait pas vu, alors il était naturel.

    J'en fus toute chamboulée et je ne pus m'empêcher de m'humidifier, j'avais envie de lui, d'accomplir en une fois tous mes fantasmes. Il avait débloquer quelque chose en moi.
    Je savais que j'allais me faire disputer car en très en retard je serais mais il était pour moi impossible de résister à l'appel de cette étreinte enflammée.

    Je ne voulais plus me retenir et attendre de lui quoique ce soit, il venait de tout me faire comprendre sans même le savoir.

    Pour lui montrer toute ma reconnaissance et mon humilité, je m'agenouillais pour le goûter, il était bon et chaud, il fut d'abord surpris de me voir là à genoux, faisant un pas vers lui mais il n'hésita pas longtemps à saisir ma tête avec sa main pour accompagner son sexe au mon fond de ma gorge.
    Je disais oui avec les yeux, avec ma bouche.
    Avec tout mon corps je disais oui!

    La culotte envolée, la jouissance engagée...

    Il devait m'attraper et me donner toute cette frustration dévoilée, me chevaucher pour que jamais je n’oublie comme c'est bon et comme c'est dommage de s'en priver et d'attendre que ce soit toujours lui qui vienne vers moi.

    Une tornade visuelle, sensuelle, des échanges charnelles décomplexées j'allais bientôt être comblée.

    Plus vite, plus fort, plus en profondeur, plus tendrement, plus sauvagement pour enfin...

    Lâcher prise et jouir.

    Marinae

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