Recit porno : J’ai avoué mon infidélité.

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Recit porno : J’ai avoué mon infidélité.
Corrigé et résumé par Cunimaniaque le 03/03/2025
Publié le 03/03/2025
Cette histoire, même si elle est romancée, est tirée de fait réelle. J’ai volontairement très exagéré les passage érotique hard, pour conserver l’esprit du site.
Ce jour-là, j’ai trompé mon mari, de façon ignoble.
Je m’appelle Flore, et je vais sur mes trente ans. Je suis mariée depuis huit ans avec Marc, de quatre ans mon aîné. Il me dit que ses copains vantent ma beauté. Ils me trouvent canon, disent que j’ai un corps bien proportionné, avec ce qu’il faut, ou il faut. Du reste, lors de soirée, tous essaient de m’embarquer dans des slows plus ou moins langoureux, tentant l’aventure, mais se cassent les dents. J’adore mon mari, et lui suis extrêmement fidèle.
Il est dix-huit heure ce vendredi de juin, quand mon mari rentre, très en colère, de l’assemblé générale du club de foot, dont il est président, et créateur. En effet c’est aujourd’hui qu’on renouvelle le bureau.
- Hé...que t’arrive-t-il mon chéri. Tu es bien énervé...
Et là, il me raconte comment il a été évincé du club, à la suite d’une magouille montée de toutes pièces, par Guy, son principal adversaire. Ce salaud est parvenu à retourner les dirigeants contre mon mari. Un complot. Guy est un homme, environ la cinquantaine ans, cheveux déjà grisonnants, très séduisant.
- Calmes-toi mon amour. Quand je te disais de te méfier de lui, que c’était un connard.
- Un connard, un enculé...il pense qu’à baiser la femme de ses potes.
- Ils ne valent pas mieux l’un que l’autre avec sa femme. Il paraît qu’ils organisent des partouzes. Je suis bien contente de ne pas fréquenter ses gens.
Il est vrai que, d’après les échos que j’en ai, ce n’est pas un couple très fréquentable. Je le connais très peu, pour ne l’avoir aperçu qu’une fois, suffisamment pour le juger et le détester. Au premier regard, je l’ai trouvé hautain avec son air de séducteur, ses cheveux couleurs noire, sa moustache noire.
Malgré mes propositions alléchantes, Marc passe une mauvaise soirée. Ce n’est que le dimanche matin, que nous avons eu un semblant de rapport. Faut dire que j’avais mis tous les atouts de mon côté. Je l’avais réveillé en lui suçant la queue, qui avait rapidement grossi, et raidi. Mais tout ça fut éphémère, mon mari avait la tête ailleurs. Cette fameuse assemblée avait laissé des traces, l’avait blessé. Il ne s’en remettait pas, malgré mes efforts.
Nos rapports, ce matin-là, s’arrêtèrent à quelques préliminaires.
Comme tous les lundis matin, une fois que mon mari est parti au bureau, j’attaque le ménage. Après quoi, je prends un léger repas sur la terrasse.
Je ne peux m’empêcher de penser au sale coup que ce connard de Guy a fait à Marc. Je décide, à l’insu de mon mari, de lui rendre visite. Je sais qu’il ne travaille pas aujourd’hui, et que Carole, son épouse, coiffeuse de métier, est à un salon à Paris.
Je prends une bonne douche, m’admire en souriant dans la glace. Je mets un string, une jupe qui arrive à mi-cuisses, et un chemisier blanc, pas de soutien-gorge, mes seins, bien ferme, n’en ont pas besoin. Le tout est monté sur des chaussures compensées de six centimètres.
J’arrive à la villa de Guy vers quatorze heures. La voiture est garée dans l’allée, donc il est là. Je me gare derrière lui. Je sonne. C’est lui qui ouvre, vêtu d’un peignoir, téléphone à la main. Il doit très certainement sortir de la douche, ses cheveux sont tout mouillés. Mais a-t-il quelques choses dessous ?
- Tiens Carole...devine qui est là...Flore...je te rappelle ma chérie. Je t’en prie, Flore, rentre. Quelle agréable surprise. J’étais au téléphone avec ma femme.
Guy ferme la porte, m’invite à regagner le salon. Je me sens d’un coup décontenancé devant lui. C’est vrai qu’il est très séduisant, et je comprends que les femmes puissent succomber à ses charmes. Moi-même, si je n’étais pas là, pour régler un problème, peut-être me serais-je laisser séduire.
- Que me vaut l’honneur de ta visite ? Me demande-t-il.
- C’est quoi ce sale coup que tu as fait à mon mari.
- Attends, me dit-il, il faut qu’il envoie sa femme pour régler ses problèmes. J’ai toujours dit que c’était un incapable. J’espère qu’il n’est pas comme ça au lit !
- Arrêtes...il me convient parfaitement au lit...en tous cas, il me satisfait pleinement. Mais je ne vois pas le rapport avec ma visite.
- Allons-nous installer au canapé, m’invite-t-il en me prenant par la taille.
Je repoussai sa main vigoureusement, et m’assis sur le canapé en cuir. Guy s’installe dans le fauteuil, face à moi. Il m’explique que mon mari était trop occupé ailleurs, et qu’il ne pouvait faire du bon travail au club.
Je lui expliquais que ça se discutait, et qu’il n’était pas nécessaire, de magouiller un vote. Il me répondit qu’il voulait lui montrer qu’il pouvait le battre.
- Ouais...en fait, tu voulais l’humilier...c’est ça ?
- J’avoue qu’il y a un peu de ça. Du reste, il n’est pas venu pour fêter mon élection. Il reste du champagne, veux-tu que nous trinquions.
- Quel toupet...mais pourquoi pas.
Il va à la cuisine, et reviens avec une bouteille et deux coupes. Il sert les verres, se lève, s’approche de moi, et m’en tend un. Nous sommes face à face, les yeux dans les yeux. Je suis fasciné par son regard, et me sens attirée physiquement, par cette virilité hors norme.
Après une gorgée, il prend mon verre, le pose sur la table basse. Sans un mot, il s’approche de moi, me prend par la taille. Cette fois, je ne le repousse pas. Son visage est près du mien, très près, au point que nos lèvres se frôlent.
Calmement, il m’allonge sur le canapé. Je suis paralysée. Il approche sa main, défait un à un les boutons de mon chemisier, l’écarte. Mes seins tendus jaillissent devant ses yeux. Il a un sifflement admiratif en les apercevant.
Il sort ma chemise de ma jupe, libérant ainsi tout le haut de mon corps. Ses mains remontent sur mes flancs, caressent mes seins, fait rouler les bouts entre ses doigts. Puis il redescend. J’entends le zip de ma robe, qui glisse lentement sur mes cuisses, jusqu’à me retrouver en string. Je sens un doigt écarter le mince tissu, surfer sur ma chatte. Malgré moi, je sens une agréable chaleur au creux de mon ventre. Deux doigts décalottent mon clitoris, tandis qu’un troisième le doigte. C’est à ce moment que je pousse un léger gémissement.
- Que t’arrive-t-il, dit-il en souriant.
- Pas ça...arrêtes, s’il te plaît…laisses-moi partir...
- Pourtant, tu as l’air d’aimer…ton mari ne te fais jamais çà.
- Arrêtes je te dis. Non...il ne sait pas faire…
- A bon, il ne sait pas faire ça ? Pourtant ce n’est qu’un doigt. Il a juste à sortir ton petit bouton, et le caresser...comme ça...c’est bon hein ? Tu aimes ?
- Bien sûr que j’aime…comme toute les femmes, j’aime qu’on caresse mon clito... assez…salaud...
Je vois un large sourire éclairer son visage. A cet instant, Il est persuadé que je vais m’abandonner. De mon côté, je me sens de plus en plus vulnérable, de plus en plus attirer par lui, et je sens le désir monter en moi.
- Arrêtes...s’il te plaît...mon mari ne sait pas que je suis passé te voir.
- A bon...ça veut dire qu’il n’en saura rien, si je te baise.
- Non...déconnes pas...laisses-moi partir.
- Tu es sûre...t’as pas une petite envie...pourquoi ta chatte est toute mouillée...ça veut dire quoi ?
- Salaud...c’est toi qui la fais mouiller...quand elle est dans cet état, c’est qu’elle a envie qu’on la branle...oh oui...branle là…
- Comme ça…
- Oh oui salaud, comme ça...branle là…
Je suis prise dans la tourmente du plaisir. Je ne me dérobe pas, au contraire, m’écarte davantage pour faciliter l’accès à mon intimité. Maintenant, le rival de mon mari, joue avec moi. Il a pris le monopole de mon corps. Il caresse ma chatte, insère deux doigts à l’intérieur. Un doigt de l’autre main excite mon clitoris, le pincent. Je me tords comme un ver sur le canapé, me cambre sur ces doigts qui me fouillent, et qui m’emmènent à la jouissance.
- C’est bon, hein...oh...c’est quoi que je tiens là ?
- Hum...salaud… tu tiens à m’humilier, comme tu as humilié mon mari...
- Mais pas du tout...je veux que tu me dises...vas-y, dis-moi…
-Tu le sais salaud...c’est mon clitoris…on mon dieu...je vais jouir...oui, je jouis…
J’atteins un orgasme terrible, hurle de plaisir. Imperturbable, Guy finit d’ôter ma chemise, et mon string. Je me retrouve entièrement nue devant le pire ennemi de mon mari.
- Ouah...qu’est-ce que t’es belle. Quelle chance il a ton mari...tu sais quoi, je vais t’offrir un cadeau, dit-il en ouvrant son peignoir.
Putain...comme il est monté. Guy passe une main derrière ma tête, la soulève pour mettre son énorme queue a porté de mon visage. Il la passe sur mes lèvres. J’essaie de l’éviter, de retarder l’échéance, mais d’une simple poussée sur ma nuque, je prends sa bite en bouche, qui se décalotte au passage de mes lèvres. J’entame une lente fellation, rythmée par les mains de Guy. Ce n’est pas pour autant que quand il lâche ma tête, j’arrête de le sucer, au contraire, j’appuie ma fellation. Je dois avouer même, que je prends un réel plaisir de sentir la queue vibrer contre mes joues.
« Non, me dis-je, il ne va pas oser jouir dans ma bouche »
Soudain, je sens de puissants jets de sperme gicler contre mon palais, pour finir sur ma langue. Je me surprends à enrouler celle-ci autour du gland, pour le nettoyer.
- Enfoiré...qu’est-ce que tu m’as mis...elles étaient pleines tes couilles...ouah…
- Et alors, mon sperme est-il meilleur que celui de ton mari ?
- Je ne sais pas, je n’ai jamais goûté le sien…je l’ai jamais sucé...
- Sérieux, je suis le premier...pauvre Marc.
Puis Guy écarte mes jambes, s’encastre entre mes cuisses. Je sens l’énorme gland taquiner mon petit bouton. Déjà, de légers soupirs s’échappent d’entre mes lèvres.
- Cochonne, ou insatisfaite, me demande-t-il.
- Les deux...regarde comme tu m’as écartée…
- C’est pour que tu sentes bien ma queue, quand je te pénètre...tu l’as senti là…
- Comment ne pas la sentir...elle est tellement grosse, tellement bonne.
Guy me saisit par les hanches, m’oblige à me mettre à quatre pattes sur le canapé. Il veut me prendre en levrette, ma position préférée. Je le sens s’installer derrière moi, son gland taquiner ma chatte. Lentement, il me pénètre de son énorme queue. Je ne peux retenir des gémissements de plaisir, quand sa bite coulisse dans mon ventre. Guy me donne énormément de plaisir, n’en finit pas de me faire jouir. Je n’ai jamais connu ça avec mon mari, pourtant très coquin au lit. Mais Guy a cette chose en plus qui rend folle les femmes...ses mensurations déjà, et la façon dont ses mains s’égarent, pour caresser les parties intimes de mon corps, et je vous passe les coups de langues sur mon petit bouton, qui me procure un intense plaisir.
Il se retire, frotte son gland sur mon petit trou. Je sursaute, me cramponne au dossier du canapé. Je sens mon petit orifice se dilater sous la poussée de l’énorme bite. Il tire sur mes hanches pour mieux me sodomiser. Pendant qu’il m’encule, Guy branle ma chatte, doigte mon clitoris. Il me rend folle, joue avec moi, prend plaisir à me voir jouir, à m’entendre crier. Les coups de queue s’accélèrent aux rythmes de ses râles.
- Tiens, prends ça...ouah...que c’est bon d’enculer la femme de son rival…
Puis, c’est la déferlante. La semence épaisse gicle dans mon ventre, inlassablement.
Soudain, son portable sonne. Guy met le haut-parleur. Putain, je reconnais la voix mon mari. S’il savait qu’à ce moment-là, je suis empalée sur la bite de son rival...
« Oui Marc...les papiers...tu les feras passer par te femme ? OK...tchao… »
- Tu as entendu. Quel naïf. S’il apprenait que sa femme était en train de le faire cocu, en se faisait enculer par celui qui l’a viré du club.
- Salaud...il dirait que je suis une salope. Mais c’est vrai, non seulement tu le vires du club, mais en plus tu baises sa femme.
- Et alors, tu n’as pas aimé...pourtant tu criais quand tu jouissais.
- Oh que si j’ai aimé...tu m’as fait jouir...j’ai eu trois orgasmes...
Puis il s’écroule sur mon dos, embrasse mon cou.
Guy me demande si j’en veux encore. Ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais je lui dis que je dois partir, que Marc va rentrer du travail. J’aimerais être chez moi quand il rentre. Sous la douche, Guy me demande de lui tailler une pipe, ce que je fais avec plaisir. Évidemment, j’avale tout, et nettoie le sperme sur toute la longueur de sa queue.
Je quitte la villa vers dix-sept heures, après un torride baiser.
Pendant tout le trajet, je pense à la bêtise que je viens de faire.
Je suis arrivée chez Guy, il était quatorze heures, j’en repart trois heures plus tard, après m’être faite baiser, par le pire ennemi de mon mari.
Pire, je me suis fait sodomiser, lui ai taillé une pipe, avalé son sperme. Faveurs que j’ai toujours refusées à Marc.
J’ai honte de cette ignoble tromperie. Marc ne méritait pas ça...quelle attitude allais-je avoir face à lui. Je l’ai trompé, et ça a dû laisser des traces. J’espère qu’il ne va pas s’apercevoir des cernes qui gonflent mes yeux.
A peine arrivé chez moi, que Marc se gare devant le portail.
- Alors ma chérie, dit-il en m’embrassant, as-tu passé un bon après-midi ?
- Rien de spécial mon amour, je suis passé dire bonjour à ma mère.
- Au fait, j’ai appelé ce connard de Guy. Je lui ai dit que tu lui porterais les papiers du club cette semaine. Ça ne te dérange pas ? Moi je veux plus le voir.
- Ce n’est pas que ça m’enchante, mais s’il le faut. Je dois retourner chez ma mère demain, je peux y passer si tu veux.
- Parfait, dit mon mari, tout sera prêt.
Si ça, ce n’est pas mettre le loup dans la bergerie...c’est quoi.
Il est quinze heures quand je sonne chez Guy. Il m’ouvre, et me prends dans ses bras. Nos lèvres se rejoignent dans un sulfureux baiser. Pendant les trois heures passées au lit, je m’offre entièrement, hurle de plaisir quand j’atteins l’orgasme. Et ils défilent à une cadence infernale. Je mords dans sa chair, crie son nom, oubliant celui de mon mari. Je réponds à toutes les questions humiliantes qu’il pose sur Marc, surtout concernant ses mensurations, qu’il tient à comparer.
Je rentre chez moi, il est dix-huit heures.
Ce soir-là, Marc rentre du bureau, il est vingt-deux heures. Après une bonne douche, il me rejoint au lit, se glisse sous les draps. Je suis entièrement nue.
- Alors mon amour, dit-il, tu as passé une bonne journée. As-tu déposé les papiers chez l’autre enfoiré.
- Comme prévu chéri...je les lui remis sur pas de la porte, et suis parti tout de suite.
- Et c’est tout…
- Puis je suis allé chez ma mère.
- Pourtant, j’ai appelé ta mère...elle m’a dit qu’elle ne t’avait pas vu depuis la semaine dernière. En revanche, on t’a vu arrivé chez Guy à quatorze heures, et en repartir à dix-sept heures. Tu peux m’expliquer.
- Heu, bafouillais-je...mais qui t’a dit ça...il s’est trompé…il a dû confondre...
- Flore...je t’en prie, ne me prends pour un con...dis-moi ce qui s’est passé.
Je suis coincée. Quelqu’un ma vue. Je pense aux maçons qui faisaient les façades en face la villa de Guy. Je ne vois que ça, l’un d’eux doit connaître mon mari. Prise en flagrant délit, je n’ai d’autre solution que d‘avouer.
- J’ai fait une énorme bêtise, et je sais que tu ne me pardonneras jamais
- Tu connais le proverbe. Faute avouée, faute à moitié pardonnée.
- J’ai passé l’après-midi chez Guy…
- A bon...et vous avez fait quoi ?
- Tu veux vraiment savoir, dis-je...j’ai couché avec lui.
Marc se retourne un moment, accuse le coup. Après un temps de réflexion, il revient à la charge, veut connaître tous les détails.
- Pourquoi as-tu couché avec lui.
- Je ne sais pas... j’ai eu subitement envie de lui...j’ai été attirée physiquement...
- Racontes-moi...je veux tout savoir, dans les moindres détails.
On sait qu’une femme infidèle, fait avec son amant, des choses, qu’elle ne fait pas à son mari.
- Me demandes pas ça mon chéri...tu risques d’avoir mal.
- Je veux savoir...est-ce que tu l’as sucé ?
La question qui tue, comme bien d’autres, j’en ai bien peur. Comment va-t-il réagir quand je vais lui dire que j’ai taillé une pipe à celui qui l’a viré du club. Tant pis…
- Oui, je lui ai taillé une pipe...et j’ai tout avalé…
- Et est-ce qu’il t’a sodomisée ?
- Oui...il m’a enculée...plusieurs fois.
- Salope...tu as accordé à ce fumier, tous ce que tu m’as toujours refusé.
Combien de fois t’a-t-il fait jouir.
- Je n’ai pas compté...mais bien sept ou huit fois…
Marc se tourne dans tous les sens, dans le lit. Se lève pour aller chercher un verre d’eau à la cuisine, puis se recouche. Je le sens réfléchir. Peut-être à des questions plus précises qu’il veut me poser.
- Est-ce un bon coup au lit ?
- Si tu savais...quel vicieux, comme il s’est amusé avec moi. Il m’a prise dans toutes les positions, par tous les trous...
- Est-ce qu’il est mieux monté que moi ?
- Pourquoi cette question...veux-tu réellement le savoir.
- Oui...j’y tiens.
- Je ne veux pas t’humilier, mais oui...il est mieux monté que toi. Bien plus longue, et bien plus épaisse...désolé de te dire ça.
Mon mari reste très calme, même s’il préfère prendre la chambre d’amis. Mais je m’aperçois que cette tromperie, l’excite plus que, ne le rend jaloux, et malgré tout ça, nous parvenons à avoir des relations normales.
Bizarrement, il ne m’interdit pas de revoir Guy, dont ma relation avec lui, va durer six mois, avant qu’il ne soit muté dans le centre de la France. C’est à cet époque que j’apprends que je suis enceinte.
Mais je vous rassure, l’enfant que je portais, était bien de Marc, mon mari.


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