Recit erotique : Je matte par la fenêtre mes voisins (partie) 1
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Recit erotique : Je matte par la fenêtre mes voisins (partie) 1
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 12/08/2024
Publié le 12/08/2024
Une histoire de voyeurisme (partie 1)
Je suis une voyeuse. J'ai toujours aimé observer les autres à leur dépends, à commencer par mes petits camarades de classe lorsque nous nous changions dans les vestiaires – mais c'est une autre histoire. C'était un plaisir coupable mais délicieux, que je savourais dans l'intimité sans en parler à personne. J'engrangeais des images pour y repenser ensuite, seule dans ma chambre. Aucun film pornographique n’était pour moi à la hauteur de ces quelques images volées, de ces quelques parcelles de chair observées à la dérobée. Il y avait quelque chose d’incroyablement excitant dans le fait d’observer des gens qui n’en avaient pas conscience.
Sous prétexte de regarder les étoiles, j’ai même réussi à convaincre mes parents de m’offrir un télescope. Je m’en servais, durant mon adolescence, pour observer ceux qui vivaient dans la maison faisant face à la nôtre. Il n’y avait pas grand-chose d’intéressant à voir, en dehors des moments où le plus jeune fils, qui devait avoir à peu près mon âge, se masturbait frénétiquement – j’avais une vue imprenable sur sa chambre. Mais c’était un spectacle un peu triste, finalement, car au-delà du va-et-vient de sa main droite je ne parvenais pas à distinguer grand-chose.
Lorsque j’emménageai pour la première fois en résidence universitaire, cependant, mon activité secrète prit une toute autre dimension. Il y en avait, ici, des fenêtres par lesquelles regarder. Les bâtiments étaient disposés en demi-cercle, et j’avais en face de moi un immeuble entier, rempli d’inconnus. Au début, je regardais un peu tout le monde. J’ai pu observer toutes sortes de fesses, de seins et de pubis, à travers mon télescope qui me permettait de les voir aussi bien que si j’avais été dans la pièce. Personne ne se doutait de rien, bien sûr : je prenais bien soin d’être discrète, et j’étais de toute façon insoupçonnable. Tout le monde pensait, en me voyant, avoir affaire à une jeune fille modèle… S’ils avaient su.
Enfin, revenons à nos paires de fesses. Si je matais tout le monde, au début, au gré de mes désirs et de mes envies, je finis par m’attacher à un appartement en particulier. L’intérieur était aménagé de telle sorte que j’avais une vue prenante sur le lit, où un couple copulait joyeusement à raison de deux ou trois fois par jour. Ils étaient beaux, l’un comme l’autre. Lui, le teint hâlé et les muscles saillants ; et elle, avec son teint de pêche et ses formes généreuses. Il y avait tellement de fougue dans leurs ébats, tellement de passion, que bientôt je me détournai de toutes les autres fenêtres pour ne plus me consacrer qu’à la leur. Très vite, c’est devenu un rituel. Chaque jour, aux heures de leurs ébats – ils avaient des horaires assez précises – je m’installais à ma fenêtre avec mon télescope et je me masturbais en les observant. Ils n’étaient pas comme les autres. Si auparavant j’avais pris du plaisir à observer en secret des gens desquels je ne savais rien, et qui jamais ne sauraient rien de moi, j’aurais aimé pouvoir m’immiscer dans la vie de ces deux-là. Je m’imaginais avec eux, embrassant leurs lèvres, me frottant à leurs corps chauds… J’aurais aimé faire partie de leur vie autant qu’eux faisaient à présent partie de la mienne.
Et puis, il y eut ce fameux jour. Tout avait commencé normalement, pourtant : ils étaient rentrés vers dix-huit heures et avaient entamé leur deuxième partie de jambes en l’air de la journée. Je la regardais le déshabiller, passer ses mains dans son dos et sur ses fesses tandis qu’il embrassait ses seins à travers son t-shirt. C’était presque toujours elle qui prenait l’initiative. Elle le poussa sur le lit et retira son caleçon, exhibant à ma vue son sexe dressé. Sans plus de détours, elle se mit à lécher son membre tandis que je glissais ma main dans ma culotte déjà mouillée de désir. Je commençais à me caresser, fascinée comme à chaque fois par le spectacle qui s’offrait à ma vue, tandis qu’elle commençait à le sucer goulûment. J’atteins une première fois l’orgasme peu de temps avant qu’il ne jouisse à son tour, se libérant dans la bouche de sa partenaire.
A son tour, il entreprit de lui donner du plaisir. Oubliant toute discrétion – ils étaient trop occupés pour faire attention à moi de toute façon – j’écartai mon rideau et déplaçai légèrement le télescope. Les moments où il la léchait étaient les plus compliqués à observer en raison de la position qu’ils adoptaient, mais également ceux que j’appréciais le plus. Coincée dans une position inconfortable pour réussir à bien les voir, je ne pouvais plus réellement me masturber et je me contentais de caresser mon pubis à travers ma culotte tandis qu’il titillait son clitoris du bout de la langue. Une fois n’est pas coutume, elle jouit très rapidement et il la prit en levrette, elle à quatre pattes sur le lit et lui debout derrière elle. Ils me faisaient face : c’était presque trop beau pour être vrai, comme si j’avais été en train de mater un film de cul au scénario bien rôdé et pas d’observer mes voisins par la fenêtre. A ce stade, j’étais quasiment assise sur le rebord de ma fenêtre, ma main effectuant des allers-retours à l’intérieur de ma culotte. J’étais fascinée par leur aisance, par toute la passion qu’ils semblaient mettre dans leurs ébats. Ce n’était pas uniquement du cul : c’était de l’art. Si je n’avais pas eu un tant soit peu de respect pour leur vie privée, je les aurais filmés.
Je laissai échapper un petit gémissement de plaisir lorsque la main du jeune homme s’abattit sur la fesse de sa partenaire. En imaginant un peu, je pouvais presque entendre le cri de jouissance que ce geste avait provoqué chez elle. Il savait ce qu’elle aimait, et chacune de ses initiatives faisait mouche. Elle se cambra, offrant de plus belle son fessier à son amant qui accéléra la cadence. Au bord de l’extase, je me cramponnais à mon télescope d’une main légèrement tremblante, mon autre main toujours occupée à ses va-et-viens sensuels. Alors que je m’apprêtais à atteindre un nouvel orgasme, elle lui fit signe de s’arrêter. C’était inhabituel, un peu brutal. Coupée dans mon élan, je fronçais les sourcils. Elle s’était redressée, et s’approchait à présent de la fenêtre de son appartement. L’air intriguée, elle montra quelque chose du doigt à son partenaire. Quelque chose qui, apparemment, se trouvait dans ma direction. On aurait presque dit qu’eux aussi tentaient de voir par ma fenêtre...
… Et merde. C’était moi qu’ils étaient en train de regarder ! J’avais toujours cru que l’on ne pouvait pas me voir assez bien depuis les appartements d’en face pour deviner ce que je faisais, mais j’avais sans doute été trop optimiste. Et surtout, bien trop imprudente : lorsque j’étais encore cachée derrière mes rideaux, personne n’aurait pu se douter de rien. Mais il avait fallu que je m’emballe, et que je prenne des risques.
Paniquée, je descendis hâtivement de mon perchoir et fermai de nouveau les rideaux. Peut-être que je m’étais trompée, qu’ils regardaient autre chose. Peut-être que je m’étais fait des idées. Durant de longues minutes, je n’osai pas m’approcher de la fenêtre. Peut-être qu’ils avaient appelé la police, ou quelque chose comme ça. Finalement, au bout d’environ un quart d’heure d’angoisse, j’écartai un coin de rideau. Ils n’étaient plus à la fenêtre, mais avaient collé sur cette dernière une feuille sur laquelle était griffonné un petit mot. Le cœur battant, je m’emparais de mon télescope et le dirigeai aussi discrètement que possible vers le mystérieux papier. Je ne pouvais m’empêcher d’espérer que, d’une façon ou d’une autre, il m’était destiné.
« Si tu nous rejoignais, au lieu de nous mater ?
Appartement 22B »
Oh. Mon. Dieu. Ils m’avaient vraiment vue. Et ça n’avait pas l’air de les déranger…
A SUIVRE
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Je matte par la fenêtre mes voisins (partie 2)
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/08/2024
Publié le 15/08/2024
Il ne portait qu’un jean et une chemise négligemment ouverte, et je me sentis aussitôt frissonner de désir. Il recula légèrement pour me laisser entrer, une moue surprise aux lèvres...
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