Histoire de cul : Jeune femme couche avec son prof de piano
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Histoire de cul : Jeune femme couche avec son prof de piano
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 29/04/2013
Publié le 29/04/2013
A l'époque, je venais d'avoir 18 ans, ce n'est donc pas si vieux que ça.
J'étais une jeune femme en fleur comme l'on dit, mince, le sourire facile, les cheveux effrontés, tout comme ma bouche, et la poitrine fière,je découvrait jour après jour ma sexualité, qui se voulait de plus en plus audacieuse.
J'appréciais séduire, et exciter les hommes, avec un gout prononcé pour les plus âgés d'entre eux.
Apprentie musicienne, je prenais des cours de piano à domicile le mercredi après midi.
J'adorai les mercredi après-midi, un vent de liberté soufflait sur tout mon corps, seule à la maison, attendant que l'heure du cours arrive, j’ôtais ma culotte pour me sentir libre,les jambes et la chatte dénudés de tout textile, seule ma jupe frôlait ma peau. C’était ainsi, sans sous vêtement que j'attendais mon professeur, Mr Bensom . Celui ci ignorait ce que je viens de vous confier; ou bien faisait semblant.
Car je le sentais nerveux parfois, tout les cours débutaient de pareille façon; Mr le professeur arrivait, ouvré son cartable de cuir abîme, sortait les partitions à apprendre, les installé de ses longs doigts sur le pupitre du piano, puis d'un geste sec et autoritaire, sa main tapotait le tabouret moelleux. pour me signifiait de m’asseoir.
C'était un des moments les plus excitant , j'avançais de 3 pas vers le piano, et je sentais mes cuisses frôlait ma chatte nue. Ma jupe dansait sous mes pas, et voletait quand je m’asseyais . Je sentais mes seins se durcir, mon bas de ventre commençait à me brûler agréablement.
Lui venait s'installait à côté de moi, me demandant de positionner mes mains sur les touches, comme si j'avais une pomme dans les mains.
J'exécutai ce geste avec docilité, je sentais son souffle à travers mes cheveux, cette sensation faisait naître en moi, une montée puissante de désir, telle que je mouillais à en tacher le fauteuil.
Serrant mes jambes plus fort, un frisson me parcourue de tout mon être. Ce jour là je sentis que lui n'était pas dans son état habituel, il avait comme l'air de s’étouffer, dans sa chemise bien cintrée.
Je le surpris à regarder les bosses que former mes tétons sous mon t-shirt moulant, j'esquivais un sourire de contentement et continuait à perfectionner ma mélodie.
J'avais qu'une envie, qu'il me fasse connaitre l'extase, je voulais ses doigts partout sur mon corps tendue de plaisir et désir, qu'il me délivre de ce carcan de fantasme.
Quand soudain il se leva d'une façon brusque et se positionna derrière moi, s'agaçant de mes étourderies de pianiste débutante, il s’énerva en me reprochant de pas assez travailler tel ou tel passage. Il avait raison, car je passais plus de temps à me caresser qu'a réviser, c'été frénétique, j'avais ce besoin de me caresser,de jouir, je mouillais pour lui.
A cet instant on aurait dis que sa colère libérait son énergie sexuelle, il se rapprocha de mon dos, et je sentis sa bosse fière sous son pantalon, il posa une main sur mon épaule et après mon regard qui voulait dire je suis ouverte et docile, il fit glisser ses doigts dans mon coup puis vers mes seins tendus, je sentais ces doigts jouait avec mes tétons qui devenait tout dur sous sa pression, ma chatte était gonflée et ne demandait que sa bouche.
Sa main gauche m’attrapât ma queue de chevalet me tira vers lui brusquement, et sa main droite vint se plaquer sur mon sexe humide, il découvrit alors l’émerveillement que j'avais pour lui.
Ses doigts rentrèrent en moi, en me faisant échappé un long gémissement. Sans comprendre, il reculât le fauteuil, se mit devant moi, toujours en me maintenant par les cheveux, il se mit à me lécher mes seins, sa langue s'énervait sur mes mamelons, les mordait et les aspirait.
Puis il ouvrit sa braguette pour en faire émerger son sexe bien dur, il me dit simplement "j'ai envie de te bouffer ta petite chatte depuis trop longtemps", je gémis sous ses mots .
Il écartât mes lèvres de sa langue agile et suçota mon clitoris, en même temps qu'il me pénétrait de plus en plus vite avec quasiment tout ses doigts. Je sentais que j'allais jouir, il m'aspirait, me léchait, me gouttait. J'étais toute trempée.
Il me fit tourner d'un mouvement des cuisses, j'avais le cul bien haut, a demi accroupi devant lui, les genoux sur le tabouret, je sentait mes jambes humides engourdies de satisfaction, il fit glisser sa langue entre mes fesses, puis me donna une fessée des plus sexuelle, je sentais encore le claquement de ses mains sur mes fesses, Brandissant son sexe décalotté, il le fit pénétrait dans ma fente sans difficulté, je le sentais bien et fort, dans un soupir je me surpris à lui dire que je voulais lui appartenir, être sa chienne. C'est alors qu'il m’agrippât par le cul et accéléra ses va et viens, je sentais que je jouissait, une vague de plaisir me noyât tout comme lui. Il gémissait fort puis, sortit sa magnifique queue luisante et éjaculât sur mon cul offert.
Les cours particuliers ont continués ainsi pendant quelques temps, avec beaucoup de docilité j'écoutais mon professeur et surtout lui obéissais...
Il m'avait demandé de ne pas en parlé à mes parents et à mon entourage si je voulais que cela continue...
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