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Recit X : J’adore passer pour une chienne en chaleur

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 201 37

    Recit X : J’adore passer pour une chienne en chaleur

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou mes amours de petits vicieux !

    J’espère que vous allez bien. Moi ça va super bien, toujours aussi cash et toujours aussi fêtarde !
    Je voulais juste dire à Lola qui racontait son plan baise avec le futur mari de sa meilleure amie que j’ai moi aussi fait cette erreur il y a quelque années. La seule différence c'est que eux n'en était pas au mariage. Et sincèrement ce genre de dérapage il y en a plus que l’on ne croit !

    Nous étions des amis fusionnels, faisant toujours tous ensemble. Nous étions voisins de palier et cela facilitait grandement les choses. Les rapprochements sont inévitables et j’ai fait la connerie de me taper son mec un soir de beuverie. Et c’est 3 ans après les faits, alors que leur couple battait de l’aile et qu’ils étaient sur le point de divorcer, que ce connard est allé le lui dire. Il a été malin car cela lui a permis de faire diversion en racontant notre secret et la colère de mon amie s’est déversée sur moi. Je me dis que le point positif c’est que finalement ils sont encore ensemble, sans doute grâce à ça même si je sais qu’à nouveau ce n’est vraiment pas le grand amour entre eux. Nous ne nous parlons bien sûr plus et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait. En plus nous sommes toujours voisins de palier et t’imagine un peu l’ambiance ! Mais sache Lolita, que tout se sait à un moment ou à un autre. J’espère que cela sera le plus tard possible pour toi aussi. Et si tu as envie d’en parler, car je sais que c’est lourd à porter, n’hésite pas à demander mon mail à l’équipe, je leur donne l’autorisation de te le transmettre.

    Lola je te rassure je ne te fais pas la morale bien au contraire, mais maintenant j'ai compris, les mecs mariés pourquoi pas, mais pas ceux des copines :)

    Pour en revenir à moi, le weekend dernier, je suis sortie en boite, comme d’habitude et je me suis levée un beau mâle à la hauteur de mes espérances. C’est une petite boite très intimiste dont je suis une habituée (je me suis d’ailleurs tapée un des videurs 2 ou 3 fois quand je n’avais rien à me mettre sous la dent). Enfin bon, voilà-t-il pas qu’il y avait un groupe de mecs, entre 30 et 40 ans qui venait enterrer la vie de garçon de l’un des leurs. Tu vois Lola, par coïncidence, on est branché futur marié en ce moment toutes les deux hihi ! Le futur marié était reconnaissable à dix mille. Ses copains l’avaient déguisé en Rambo, treillis et teeshirt hyper moulants. Il avait un sacré beau cul ! Le bandana autour de la tête et les peintures de guerre sur le visage. Sur son teeshirt était écrit : « Condamné à perpétuité, il se marie dans 15 jours ! »

    Alors là, j’étais en veine ! Et puis me taper un cul pareil, j’en étais toute frétillante. En plus un mec prêt à s’enchainer, le dévergonder et le pousser à la faute, un sacré bon petit scénario. Un défi à relever ! Je voulais pouvoir rajouter cette anecdote à ma "sexographie" (je ne sais pas si le mot existe) déjà bien remplie…
    Les mecs étaient quand même dans un état second. Ils avaient dû déjà picoler pas mal.
    Hummm, ça va me servir pour abattre les dernières résistances qu’il pourrait avoir.

    A moment donné je le vois se diriger vers le bar, il devait aller passer commande. C’était le moment ou jamais de partir en chasse car c’était peut-être le seul moment où j’allais pouvoir lui parler sans ses copains qui auraient pu devenir un frein à mon machiavélique projet. Je sais, je suis une vraie garce ! Pendant qu’il attendait la barmaid, je vais m’installer à côté de lui, feignant de vouloir commander aussi.

    « - Alors on enterre sa vie de garçon ? Pas trop de regrets ? » Le questionne-je avec mon petit sourire de salope et en le mangeant de yeux.
    Il me regarde surpris puis me sourit.
    « - Ah ben faut bien y passer un jour, ça y est je deviens un homme rangé !
    - Votre fiancée a beaucoup de chance ! C’est vraiment dommage pour moi…
    - Ah ben vous alors, vous êtes du style plutôt cash !
    - Quand je tombe sur un mec craquant oui, pourquoi y aller par quatre chemins ? C’est juste une perte de temps vous ne croyez pas ? »

    Je sens que mon culot le déstabilise un peu mais j’ai l’habitude. J’adore bousculer les mecs et le moment de gêne passé, ils n’en sont que plus excités après.
    La bouteille de vodka qu’il avait commandée arrive.

    « - Si vous voulez m’offrir un verre, ne vous gênez surtout pas !
    - Avec plaisir mais je dois retrouver mes copains là. Je vous l’offrirai un peu plus tard, ok ? »

    J’acquiesce avec un large sourire mais au fond de moi, je suis furieuse. Il ne va pas me passer entre les doigts aussi facilement. Je ronge mon frein mais ne m’avoue jamais vaincue. Je goûterai à sa bite qu’il le veuille ou pas ! Je décide d’aller me tortiller sur la piste. Je reste exprès dans son champ de vision pour qu’il me regarde onduler sensuellement. Je porte une robe en dentelle noire hyper moulante, très courte, à la limite de la décence diront certains et des cuissardes à talons haut. Il va tout de même ne pas résister à ça, le saligaud ! En dansant je me caresse les haches, les fesses, les seins, je lui tourne le dos et me penche très légèrement en avant en remontant très légèrement ma robe, juste ce qu’il faut pour qu’il devine à peine mon petit string déjà tout mouillé. Des mecs viennent bien sûr se coller à moi et je les repousse avec fermeté. Je sens qu’il ne me quitte pas des yeux. Je ne danse que pour lui et je ne le quitte pas non plus des yeux. Je sens bien qu’il se torture les méninges et cela en est encore plus excitant.
    Mais au bout d’un moment, j’en ai marre de l’attendre sur la piste et je reviens m’assoir au bar en face de lui. Je croise et décroise les jambes pour qu’il est une vue imprenable sur mon intimité. Ses copains n’ont pas encore remarqué le manège et tant mieux.Lui fait mine de prendre part à leurs conversations, de rigoler mais je sens bien à son regard qu’il a envie de moi. Il doit être rongé entre culpabilité et désir et c’est très bon signe pour moi.
    Je le vois se servir un verre et finalement se décide à revenir vers moi.
    « - Voilà le verre que je vous avais promis ! »
    Je sais que j’ai gagné ! On discute un peu de son mariage mais nous savons très bien tous les deux que ce n’est que de la politesse et que l’on a en tête la même chose. Il me dévore littéralement du regard. Putain que c’est bandant ce pouvoir que j’ai sur les hommes !
    Discrètement (parce-que l’on ne va pas y passer la nuit non plus) je lui murmure :

    « -Vous me suivez aux toilettes ? »

    En bon petit toutou, il me suit et j’entre dans les toilettes des hommes. Je trouve la cabine la plus au fond libre et je l’invite à entrer. Y avait un mec complétement bourré aux urinoirs qui nous regarde, hébété. En fermant la porte je lui lance un clin d’œil de connivence. Il en est resté tout con.
    A peine la porte refermée, il se jette sur moi et m’embrasse violemment. Il baise ma bouche avec sauvagerie et j’adore ça. Mon string est complètement mouillé ! Il retrousse ma robe jusqu’à ma taille et commence à me pétrir les fesses avec brutalité. Il est en rut, y a pas d’autre mot !

    « - T’es une vrai petite salope toi ! Tu m’as allumé toute la soirée ! T’avais envie de te faire un homme sur le point de se marier, petite garce ! »

    J’adore les mots crus et j’adore passer pour une chienne en chaleur. C’est ma façon de me faire baiser et ses mots me donnent vraiment chaud au cul.
    En défaisant sa braguette il m’oblige à m’accroupir entre ses jambes.

    « - Tu vas me sucer, petite cochonne et ne me fais pas regretter de t’avoir suivi ! »

    C’est un sexe énorme bandant dur qui jaillit de son pantalon. Hummm ma gourmandise à moi…Pour d’autres ce serait une tablette de chocolat mais pour moi, c’est une belle bite dans ma bouche !
    Je prends ce dard entre mes mains et je commence à le branler. Ma bouche suçote son gland, ma langue le lèche avec avidité. Je salive abondamment sur cette queue dure comme de la pierre. Puis je commence à gober cette bite en l’enfonçant le plus profondément dans ma gorge. Mais il est tellement bien membré que j’ai du mal à toute la contenir. Je fais de longs va et vient et sa queue bute au fond de ma gorge.

    « - Ah ouais, tu es une bonne suceuse ! T’as dû en sucer plus d’une bite, sale chienne en chaleur! Vas ’y bouffe-la moi bien, comme ça ! Enfonce la bien dans ta bouche à pipe ! Je vais te la rentrer jusqu’au gosier à t’en étouffer petite pute !

    Ces mots me foutent en transe. Il bouge son beau petit cul auquel mes mains se sont agrippées. Je le suce avec frénésie. Je sens qu’il va tout cracher dans ma bouche et j’attends avec empressement l’instant. Je veux gouter son foutre, connaitre son goût, son odeur.

    « - Ah oui , putain tu me suces bien comme ça , je vais jouir dans ta bouche à sperme ! Ouaiss ça monte là ! Je vais tout cracher et t’avaleras tout, sale chienne en chaleur.
    Il a tapé sa bite de plus en plus vite dans mon gosier, ma tête reculait de quelques centimètre à chaque coup de queue tellement ses coups de rein me secouaient. Puis j’ai senti que tous ses muscles se crispaient, sa tête a basculé en arrière, j’ai senti le spasme de son énorme queue avant l’éjaculation, et dans de longs gémissements de satisfaction, il a éjaculé dans ma bouche. Les giclées étaient si puissantes que j’ai failli m’étrangler avec son foutre. J’ai dû toussoter un peu, pour reprendre haleine et j’ai avalé jusqu’à la dernière goutte ce sperme chaud et gluant.
    Il est ressorti le premier des toilettes, et j’étais tellement excitée qu’il a fallu que je me doigte, ma chatte était trop en feu. Je me suis enfoncée 2 doigts, et, revivant cette fellation du tonnerre d’un sexe bien gros et bien épais dans ma bouche, j’ai jouis très rapidement.

    Je suis enfin sortie des toilettes en croisant 2 mecs surpris de me trouver là.

    « - Ben quoi y a la queue chez les filles alors je suis venue chez vous ! » et j’ai éclaté de rire en pensant à ce que je venais de dire.

    Maintenant va falloir qu’il gère l’après, avec sa chère et douce. Dira, dira pas ?
    Ce n’est plus mon problème, j’ai eu ce que je voulais. Je sais, je suis une vraie garce ! Mais j’ai pris mon pied et y a que ça qui compte !

    Je vous léchouille partout.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par L'oiseau :
Oh et nous on aime les salopes comme vous .
Posté le par MrKargal :
Je me suis branlé tellement tu m'as excitė petite chienne sa donne envie de se marier pour te rencontrer! !
Posté le par puta :
J'ai adoré ton histoire.j'aime me taper d hommes mariés.je kiff kan ils m'invitent chez eux et kon baise ds le lit conjugal.je me sens puissante.
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Justine

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