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Recit porno : La femme mystérieuse

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    Recit porno : La femme mystérieuse

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Libertin


    Dans le cœur palpitant d’un club libertin, où les corps se mêlaient dans une danse sensuelle et les rires étouffés se mêlaient aux murmures, une silhouette se détachait de la foule. Elle était là, au centre de toutes les attentions, une jeune femme mystérieuse dont le visage était caché derrière un masque de velours noir. Seuls ses yeux, d’un bleu électrique, perçaient l’obscurité, comme deux phares hypnotiques qui attiraient tous les regards. Elle était l’énigme de la soirée, la reine incontestée de cette nuit de débauche.

    Sa tenue était un mélange audacieux d’innocence et de provocation. Des bas noirs, fins et transparents, enserraient ses jambes interminables, soulignant chaque courbe avec une précision diabolique. Sa jupe, courte et ajustée, semblait défier les lois de la physique en restant en place, laissant entrevoir des formes généreuses et des cuisses sculptées. Un bustier en dentelle noire mettait en valeur sa poitrine, généreuse mais ferme, tandis qu’une fine chaîne en argent serpentait autour de sa taille, ajoutant une touche de luxe à son ensemble. Elle était une œuvre d’art vivante, une tentation incarnée qui faisait tourner les têtes et s’accélérer les cœurs.

    La salle était bondée, mais personne ne semblait exister à ses côtés. Les couples enlacés, les groupes riants, les solitaires en quête de plaisir… tous étaient réduits au silence en sa présence. Elle se mouvait avec une grâce féline, chaque pas calculé pour maximiser son effet. Son parfum, un mélange envoûtant de vanille et de musc, flottait dans l’air, laissant derrière elle une traînée de désir. Elle était la maîtresse de cérémonie, la dominatrice silencieuse qui dictait le rythme de la nuit.

    Assise au bar, elle croisa les jambes avec une lenteur étudiée, offrant un aperçu fugace de sa culotte en dentelle noire. Le barman, un homme d’une trentaine d’années aux mains calleuses, sentit son souffle se couper. Il avait vu des centaines de femmes passer devant lui, mais aucune ne l’avait jamais troublé ainsi. « Que puis-je vous servir, madame ? » demanda-t-il, sa voix tremblante trahissant son trouble.

    Elle tourna légèrement la tête vers lui, ses yeux bleus se posant sur lui avec une intensité qui le fit frissonner. « Un martini, sec, avec une olive », répondit-elle d’une voix douce mais ferme, teintée d’un léger accent étranger. Sa voix était comme du velours, chaude et envoûtante, et le barman sentit son esprit s’embrumer sous son charme.

    Pendant qu’il préparait la boisson, elle se pencha légèrement en avant, comme pour l’inviter à la regarder. Son décolleté s’ouvrit juste assez pour révéler un aperçu de sa peau pâle, et le barman sentit son sang battre à ses tempes. Il lui tendit le verre avec une maladresse inhabituelle, ses doigts frôlant les siens pendant une fraction de seconde. Elle sourit, un sourire mystérieux qui ne toucha que ses lèvres, et porta le verre à ses lèvres peintes d’un rouge sombre. Elle but une gorgée, ses yeux ne quittant jamais les siens, et il eut l’impression qu’elle buvait son âme.

    Autour d’eux, le club continuait de vibrer. Des rires éclataient, des corps se collaient, des murmures se transformaient en gémissements. Mais pour le barman, le monde s’était rétréci à cette femme, à sa présence envoûtante et à son regard qui semblait voir à travers lui. Il sentit une envie irrésistible de la toucher, de savoir si sa peau était aussi douce qu’elle en avait l’air, mais il se retint, conscient de sa place et de la distance qu’elle imposait.

    Elle posa son verre sur le comptoir, ses doigts longs et fins caressant le bord du verre avec une lenteur provocante. « Vous êtes nouveau ici, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle, sa voix brisant le silence qui s’était installé entre eux.

    Il hocha la tête, incapable de trouver ses mots. « Oui, madame. C’est ma première semaine. »

    Elle sourit à nouveau, un sourire qui cette fois atteignit ses yeux. « Vous avez l’air d’un homme qui sait apprécier la beauté. C’est rare. »

    Il rougit, ne sachant pas quoi répondre. Elle se leva alors, son corps se déplaçant avec une fluidité qui semblait presque surnaturelle. Elle fit quelques pas vers la piste de danse, où un couple s’enlaçait passionnément, et s’arrêta juste à côté d’eux. Sans un mot, elle commença à bouger, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains caressant son propre corps comme si elle était la seule spectatrice de son spectacle.

    Le barman la regarda, hypnotisé. Elle ne dansait pas pour les autres, elle dansait pour elle-même, pour le plaisir de sentir son corps en mouvement, de provoquer et de séduire. Ses bas brillaient sous les lumières tamisées, et sa jupe remontait légèrement à chaque pas, révélant un peu plus de sa peau. Elle était une tentation vivante, une déesse de la luxure qui jouait avec les désirs de tous ceux qui la regardaient.

    Soudain, elle se tourna vers lui, son regard croisant le sien à travers la foule. Elle sourit, un sourire qui promettait des plaisirs indicibles, et porta un doigt à ses lèvres, comme pour lui demander de garder le silence. Puis, elle disparut dans la masse, se fondant dans la foule comme un fantôme.

    Le barman resta là, le cœur battant, le verre de martini oublié sur le comptoir. Il savait qu’il venait de vivre un moment unique, une rencontre avec une femme qui défiait toutes les règles. Elle était un mystère, une énigme qu’il ne pourrait jamais résoudre, mais son image resterait gravée dans son esprit pour toujours.

    Et pendant ce temps, quelque part dans le club, elle continuait sa danse, passant d’un partenaire à l’autre, jouant avec leurs désirs, les poussant à des hauteurs de plaisir qu’ils n’avaient jamais connues. Elle était la reine de la nuit, la maîtresse des corps et des esprits, et personne ne pouvait résister à son charme.

    La nuit était jeune, et elle avait encore tant à offrir.



    chapitre 2

    Le barman, Alex, sentit son cœur s’emballer alors que la mystérieuse femme, qu’il avait surnommée "la Reine de la Nuit", le fixait avec un sourire en coin. Ses lèvres, peintes d’un rouge sombre, s’étirèrent en une expression à la fois innocente et provocante. Elle ne répondit pas immédiatement, se contentant de croiser son regard, comme si elle cherchait à percer ses intentions les plus profondes. Le silence entre eux était chargé, électrique, et chaque seconde semblait s’étirer comme une promesse silencieuse.

    Enfin, elle inclina légèrement la tête, ses longs cheveux ondulés frôlant son épaule nue. "Une porte dérobée, hein ?" murmura-t-elle, sa voix douce mais teintée d’une audace qui fit frissonner Alex. "Et que se cache-t-il derrière cette porte, Alex ? Un secret ? Un péché ? Ou simplement un endroit où les règles du monde extérieur ne s’appliquent plus ?"

    Il sentit son corps réagir à ses mots, son désir montant en flèche. Il se redressa, prenant une gorgée d’air pour se calmer, mais son regard ne quitta pas le sien. "Vous verrez bien," répondit-il, sa voix rauque, presque brutale. "Mais je vous préviens, ce n’est pas pour les âmes sensibles."

    Elle rit, un son cristallin qui résonna dans l’atmosphère feutrée du bar. "Les âmes sensibles ? Alex, je crois que vous me surestimez. Ou peut-être me sous-estimez-vous." Elle se pencha légèrement en avant, ses seins généreux se pressant contre le tissu serré de sa robe. "Je suis bien plus curieuse que vous ne le pensez."

    Sans attendre sa réponse, elle se détourna, ses hanches se balançant avec une grâce prédatrice alors qu’elle se dirigeait vers la foule. Alex la regarda s’éloigner, son esprit en ébullition. Il savait qu’il ne pouvait pas la laisser partir. Pas cette fois. Pas après ce qu’elle avait éveillé en lui.

    Il jeta un coup d’œil à sa montre. Il lui restait quarante-cinq minutes avant la fermeture. Suffisant pour préparer le terrain. Il se glissa derrière le bar, ouvrit une porte discrète et disparut dans les coulisses du club.

    Quand il réapparut, la mystérieuse femme était assise sur un tabouret, un verre de vin à la main. Elle le regarda approcher, un sourire énigmatique aux lèvres. "Vous avez l’air occupé," remarqua-t-elle, son regard balayant son visage, puis son torse musclé. "Ou peut-être est-ce juste pour moi que vous vous dépêchez ?"

    Alex s’arrêta devant elle, son corps proche du sien, mais sans la toucher. "Vous êtes prête ?" demanda-t-il, sa voix basse et intense.

    Elle posa son verre sur le comptoir, ses doigts effleurant les siens. "Je le suis toujours," répondit-elle, son souffle chaud caressant sa peau.

    Il prit sa main, ses doigts calleux enlaçant les siens, et la tira doucement vers la porte dérobée. Elle le suivit sans hésiter, son regard scintillant d’anticipation.

    Derrière la porte se trouvait un escalier étroit qui menait à une pièce sombre et intime. Alex alluma une seule bougie, projetant des ombres dansantes sur les murs de pierre. L’air était lourd de parfum et de promesses.

    "Voici notre sanctuaire," murmura-t-il, sa voix résonnant dans l’espace confiné. "Ici, personne ne nous dérangera."

    Elle s’avança, ses yeux s’adaptant à la pénombre. "C’est… envoûtant," admit elle, sa voix tremblante.

    Alex s’approcha d’elle, son corps imposant dominant l’espace. "Vous avez peur ?" demanda-t-il, son souffle caressant son oreille.

    Elle secoua la tête, ses lèvres frémissantes. "Non. Mais je sens… quelque chose. Une tension. Comme si l’air lui-même était chargé d’électricité."

    Il sourit, un sourire prédateur qui fit accélérer son cœur. "C’est parce que vous êtes en train de jouer avec le feu, belle inconnue. Et moi, je suis celui qui contrôle les flammes."

    Sans prévenir, il la poussa contre le mur, son corps pressé contre le sien. Elle poussa un petit cri, surprise mais excitée. Ses mains se posèrent sur sa poitrine, sentant la chaleur de sa peau à travers le tissu de sa chemise.

    "Alex…" murmura-t-elle, son regard brillant dans la pénombre. "Qu’est-ce que vous faites ?"

    "Je prends ce que je veux," répondit-il, sa voix dure mais teintée d’une tendresse sous-jacente. "Et ce soir, c’est vous que je veux."

    Il baissa la tête, ses lèvres capturant les siennes dans un baiser vorace. Elle répondit avec ferveur, ses mains s’enroulant autour de son cou, le tirant plus près. Leur baiser était sauvage, primitif, comme si des mois de tension s’étaient accumulés pour exploser en cet instant.

    Ses mains glissèrent le long de son corps, dégageant la fermeture éclair de sa robe. Le tissu tomba à ses pieds, la laissant en lingerie fine qui mettait en valeur ses courbes parfaites. Alex grogna d’appréciation, ses yeux dévorant son corps.

    "Vous êtes magnifique," murmura-t-il, ses doigts traçant les contours de ses seins.

    Elle sourit, un sourire espiègle qui le fit sourire en retour. "Et vous, Alex ? Êtes-vous prêt à me montrer ce que vous cachez derrière cette façade de barman ?"

    Il la souleva, la pressant contre le mur, ses lèvres descendant le long de son cou. "Vous allez le découvrir," promit-il, sa voix rauque de désir.

    Il la fit tourner, la poussant contre le mur, ses mains explorant chaque pouce de sa peau. Elle gémit, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules alors qu’il la soulevait, la positionnant pour qu’elle s’assoie sur le rebord d’une table basse.

    "Alex…" gémit-elle, ses jambes s’enroulant autour de sa taille. "Je… je veux…"

    "Chut," murmura-t-il, ses lèvres effleurant les siennes. "Laissez-moi deviner."

    Il s’agenouilla devant elle, ses mains glissant le long de ses cuisses, remontant lentement vers son intimité. Elle retint son souffle, ses yeux se fermant alors qu’il effleurait le tissu fin de sa culotte.

    "Vous êtes déjà mouillée," constata-t-il, sa voix basse et séduisante. "Vous m’avez désiré, n’est-ce pas ?"

    Elle hocha la tête, ses joues rougissantes dans la pénombre. "Oui…"admit-elle, sa voix tremblante. "Depuis le moment où je vous ai vu."

    Il sourit, un sourire triomphant, et dégagea le tissu, révélant son sexe humide et pulsant. Elle gémit, ses mains se crispant sur ses épaules alors qu’il la caressait avec une lenteur torturante.

    "Alex…" supplia-t-elle, ses hanches se soulevant pour le rencontrer. "S’il vous plaît…"

    "Patience, belle inconnue," murmura-t-il, ses lèvres effleurant son oreille. "Je veux que vous savouriez chaque instant."

    Il continua à la caresser, ses doigts habiles la faisant frissonner de plaisir. Elle gémit, son corps se cambrant alors qu’elle se rapprochait de l’orgasme. Mais juste au moment où elle allait basculer, il s’arrêta, la laissant haletante et frustrée.

    "Alex !" protesta-t-elle, ses yeux s’ouvrant pour le fixer. "Pourquoi vous arrêtez-vous ?"

    Il se redressa, un sourire malicieux aux lèvres. "Parce que, ma belle, je veux que vous me suppliiez."

    Elle le regarda, son désir et sa frustration se mélangeant dans son regard. "Je… je ne supplie pas," dit-elle, sa voix tremblante.

    Il haussa les épaules, comme indifférent, mais elle vit la lueur dans ses yeux. "C’est dommage. Parce que si vous ne le faites pas, je pourrais simplement partir et vous laisser ici, frustrée et insatisfaite."

    Elle le fixa, son esprit en conflit. Une partie d’elle voulait résister, mais une autre partie, plus profonde et plus primitive, voulait céder. Elle voulait sentir son corps contre le sien, vouloir entendre son nom sur ses lèvres.

    "D’accord," murmura-t-elle enfin, sa voix à peine audible. "Je… je vous en prie, Alex. Ne vous arrêtez pas."

    Il sourit, un sourire victorieux, et se pencha pour l'embrasser. Cette fois, son baiser était doux, tendre, comme s’il célébrait sa reddition. Puis, il reprit ses caresses, ses doigts la faisant frissonner de plaisir.

    Elle gémit, ses hanches se soulevant pour le rencontrer, ses mains s’agrippant à ses épaules. "Alex… je… je ne peux plus attendre…"

    "Alors ne le faites pas," murmura-t-il, ses lèvres effleurant son oreille. "Laissez-vous aller, belle inconnue. Laissez-moi vous emmener au paradis."

    Elle poussa un cri étouffé, son corps se cambrant alors qu’elle atteignait l’orgasme. Alex la soutint, ses mains fermes sur ses hanches, alors que son corps tremblait de plaisir.

    "Alex…" gémit-elle, son regard brillant dans la pénombre. "C’était… incroyable."

    Il sourit, un sourire satisfait, et l’aida à se redresser. "Ce n’est que le début," promit-il, ses lèvres effleurant les siennes. "Parce que maintenant, c’est mon tour."

    Il la fit pivoter, la poussant doucement sur la table, ses mains glissant le long de son corps. Elle sourit, un sourire espiègle, alors qu’elle se laissait faire, ses jambes s’écartant pour l’accueillir.

    "Vous êtes sûr de vous, Alex," remarqua-t-elle, sa voix teintée d’admiration. "Mais êtes-vous prêt pour moi ?"

    Il dégagea sa ceinture, ses yeux fixés sur les siens. "Vous allez le découvrir," répondit-il, sa voix basse et intense.

    Il se positionna entre ses jambes, son érection pulsante pressée contre son entrée. Elle gémit, ses mains s’agrippant à ses épaules, alors qu’il pénétrait lentement son corps.

    "Alex…" murmura-t-elle, ses yeux se fermant alors qu’il la remplissait. "Vous êtes… si grand."

    Il sourit, un sourire prédateur, et commença à bouger, ses hanches se balançant avec une rythme lent et sensuel. Elle gémit, son corps se cambrant pour le rencontrer, ses ongles s’enfonçant dans sa peau.

    "C’est ça," murmura-t-il, sa voix rauque de désir. "Prenez-moi, belle inconnue. Laissez-moi vous remplir."

    Il accéléra le rythme, ses mouvements devenant plus profonds, plus intenses. Elle gémit, son corps tremblant de plaisir, ses jambes s’enroulant autour de sa taille.

    "Alex… je… je ne peux plus…"

    "Laissez-vous aller," murmura-t-il, ses lèvres effleurant son oreille. "Laissez-moi vous emmener au bord du précipice."

    Elle poussa un cri étouffé, son corps se cambrant alors qu’elle atteignait à nouveau l’orgasme. Alex la suivit, son corps se raidissant alors qu’il se vidait en elle, son nom sur ses lèvres.

    Ils restèrent ainsi, enlacés, leurs respirations se calmant lentement. Alex la caressa doucement, ses lèvres effleurant son front.

    "C’était…" commença-t-elle, sa voix tremblante.

    "Inoubliable," termina-t-il, un sourire aux lèvres.

    Elle le regarda, son regard brillant dans la pénombre. "Qu’est-ce que cela signifie, Alex ?"

    Il haussa les épaules, comme indifférent, mais elle vit la lueur dans ses yeux.


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