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Histoire de sexe : Ma belle soeur nous matte en train de baiser

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    Histoire de sexe : Ma belle soeur nous matte en train de baiser

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous, je lis depuis plusieurs les histoires que vous racontez sur le site, excitantes et déroutantes et je voulais vous faire partager une de mes expériences qui m'est arrivé il y a quelques temps.


    Je me suis rendu chez mes beaux-parents avec mon amie, avec laquelle je suis en couple depuis plusieurs années. Je vais passer les détails du séjour et de l'embarra que nous avons ressenti lorsque le premier soir nous avons fait l'amour et que le lit à craquer un peu trop fort et qui a certainement réveillé toute la maison.

    En tout cas ça a certainement réveillé ma belle sœur qui le lendemain nous regardait avec insistance et un petit sourire surplombant ses éternels t-shirts trop larges pour cacher totalement sa poitrine opulente.

    Bref, petit moment de gêne passager avec la ferme intention de ne plus faire l'amour durant le séjour.

    Sauf que mon amie est accroc au sexe (bon d'accord comme moi aussi) et le soir allongé dans le lit je sens sa main qui passe dans mon caleçon et commence à me caresser doucement. Je sent un afflux sanguin arriver dans mon membre et une excitation me gagner mais j'essaie de le cacher histoire de l'amener à en faire plus. Entreprenante elle baisse mon boxer sans hésitation et me branle de la plus sensuelle des manière, lentement et avec insistance, en me regardant dans les yeux.

    Je ne peux contenir un soupir cette fois-ci ou plutôt un léger râle, d'autant que son autre main est plongé dans sa culotte et caresse son clitoris, comme si de rien était.

    Je lâche un nouveau râle. Plus fort cette fois.

    - Chut, me dit-elle, ma sœur va nous entendre encore.

    C'est vrai. D'ailleurs au même moment on entend les escalier menant à sa chambre grincer. Elle doit descendre boire un verre d'eau, comme tous les soirs.

    - Maintenant tais-toi, pas de bruit et laisse moi faire.

    Heureux de l'entendre me donner des ordres et de pouvoir profiter de ce petit moment de passivité, j'obéis, sans hésitation.

    Elle se met alors à quatre pattes, alors que je reste allongé sur le dos, le sexe en érection et mon boxer au niveau des genoux, et approche doucement sa bouche de ma verge. Elle la goûte d'abord avec sa langue, en y laissant un chemin de salive que ses doigts vont pouvoir emprunter.

    Sous les mouvements conjoints de sa langue et de ses doigts ma respiration s'accélère. Je regarde ses fesses alors que sa bouche se remplie de mon sexe l'arrosant abondamment de sa salive et ma main droite écarte son string pour caresser son clitoris puis glisser un doigt dans son vagin. Sous mes caresses elle laisse échapper des soupirs de contentement et ma respiration est plus bruyante encore.

    Je laisse ma tête aller sur le côté, vers la porte qui est restée légèrement entrebaillée. Là, j'apperçois un léger mouvement de l'autre côté de la fente laissé par la porte mal fermée. Un visage dans la pénombre tourné vers nous, carré de peau clair révél par une main glissée sousun t-shirt ample et qui caresse sous le tissu fin un sein et laisse apparaître un téton dressé. Je vois une culotte noir dans laquelle est glissée une autre main et en tendant l'oreille une respiration vive et profonde.

    Le regard de ma belle-sœur croise le mien alors que mon amie continue de sucer lentement mon sexe.

    Perdu dans toutes ces sensations excitantes et troublantes je suis proche de la jouissance. Mon sang hurle à mes oreilles et j'ai la sensation que mon sexe va exploser. Les doigts de ma main droite sont engourdis à force de caresser le vagin de ma copine qui a glissé une main sur son clitoris et le caresses de manière fénétique.

    Elle se redresse alors et se tourne vers moi :

    Prends moi par derrière, vite.

    Je jette un regard derrière moi. La porte toujours entrebailée ne laisse apparaître plus le moindre carré de peau.

    Elle se dresse donc à quatre-pattes, me présentant sa croupe, érigée et ferme. Je caresse sa peau douce et délicate en essayant de contrôler mon excitation maintenant à son paroxisme. Je me penche sur elle et passe ma bouche sur ses fesses, la baisant, la léchant et la mordant. Doucement je m'approche de son sexe et y glisse ma langue je l'y enfonce le plus profondément possible et passe mes doigts couvert de cyprine sur son anus que je caresse en faisant des petits ronds. Elle a posé sa tête sur la couette, y enfonçant son visage pour étouffer ses gémissements.

    Une de ses mains caresses son clitoris fiévreusement.

    - Vas-y, me dit-elle de sa voix étouffée.

    Mon excitation bien que toujours très élevée est une peu retombée. Je m'approche de sa croupe offerte et enfonc doucement mon sexe dans son vagin, accompagné de gémissements délicieux. Mes deux aggrippent sans hanchent et j'effectue des va-et-viens lent. Je glisse sans difficulté m'enfonçant langoureusement.

    Du coin de l'oeil je perçois un mouvement dans l’entrebâillement de la porte. Il me semble même entendre des petits gémissement venant de ce côté. Mon amie sourde et engourdie par le plaisir a planté ses doigts dans la couette et frotte énergiquement son sexe.

    Je continue mes mouvements et les accélère. De plus en plus énergiquement. De plus en plus profondément. Mon regard planté dans les yeux de la belle femme cachée à ma gauche.

    Elle aussi accélère ses caresses. Je vois sa poitrine exposée sur laquelle passe une main à gestes saccadés. Son corps à elle tremble lui aussi. Mes jambes vont bientôt céder. Je sens le vagin de mon amie qui se resserre sur mon sexe. Elle jouie. Dans un dernier coup de hanche je jouis aussi relâchant enfin mon sperme par saccade dans son vagin alors que dans un même temps une main s'aggripe s'aggripe au montant de la porte et qu'une respiration sifflante se fait entendre.

    Mon amie repose sur le lit, sur son dos. Je tiens mon sexe dans ma main encore parcouru de vagues de jouissance. Je vois une poitrine ronde et blanche disparaître sous un tissu distendu et fin.

    Chacun habité par le plaisir, s'allonge sur son lit.


    J'espère que cette histoire vous a plu, que vous soyez une femme ou un homme. Le fait de l'écrire m'a beaucoup excité et il faut maintenant que j'aille calmer mon ardeur.


tel rose voyeur

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