Recit porno : Masturbation solitaire
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Recit porno : Masturbation solitaire
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/08/2024
Publié le 27/08/2024
Comme vous le savez sans doute déjà, j’adore le cul. J’adore baiser, avec des filles ou des garçons – parfois les deux, aussi. Sentir la chaleur de l’autre contre son corps, son souffle, son odeur… Mais il faut bien avouer que parfois, c’est sympa aussi d’être seule. Comme dit l’adage, on n’est jamais mieux servi que par soi-même ! Enfin, par soi-même et quelques objets, disons. Aujourd’hui, au lieu de vous raconter une de mes aventures, je vais donc vous décrire une de mes séances de masturbation.
Généralement, je fais ça le soir, en rentrant du boulot ou avant d’aller me coucher parce que c’est dans ses moments-là que j’ai le plus besoin de détente. Je sors d’abord tout ce dont j’ai besoin, pour ne pas avoir à me déranger une fois que je serais dans l’action : du lubrifiant (la base), un petit canard, et deux godes – un électrique, l’autre non, parce qu’il faut savoir varier les plaisirs. Je m’allonge ensuite sur mon lit ou mon canapé, et j’entre en action. En général, j’aime bien mater un petit film de cul pour démarrer, c’est toujours agréable. L’histoire n’a pas vraiment d’importance car je ne les termine généralement pas, c’est juste pour me mettre dans l’ambiance en quelque sorte. Après ça, mon imagination fait le reste…
Je commence toujours avec mes doigts, pour faire monter le plaisir doucement. Je lance le film et j’excite doucement mon clitoris à l’aide de caresses délicates d’abord, puis de plus en plus rapides. Ça me surprend toujours de voir à quel point mes propres doigts sont capables de me procurer du plaisir. Sans doute parce qu’après tout, personne ne connaît mon corps mieux que moi… Lorsque ma culotte est toute mouillée d’excitation, je commence à me doigter. Je glisse d’abord un doigt, en douceur, et j’effectue des mouvements de va-et-vient tout en continuant de titiller mon clitoris de ma main gauche. J’introduis alors un deuxième doigt, puis un troisième, et je continue ma manœuvre jusqu’à ce que j’atteigne un premier orgasme. Après quelques secondes passées à reprendre mon souffle, c’est souvent à ce moment que je mets le film en pause et que je décide de laisser libre cours à mon imagination. Et si seulement vous saviez ce dont mon imagination est capable… Parfois, je m’imagine avec un ex. Parfois avec un beau mec ou une belle meuf que je connais du boulot, ou que j’ai croisé dans la rue ; parfois même avec un acteur connu, il ne faut rien se refuser. Quoi qu’il en soit, je mets un point d’honneur à explorer à chaque fois – ou presque – un nouveau fantasme. Je m’imagine attachée, soumise à un homme ou le dominant, dans l’intimité ou dans un lieu public, avec une seule personne ou plusieurs… Je ne suis jamais à court d’idées, et ça fait plus de 10 ans que je fais ça. Contrairement à mes scénarios, les jouets que j’emploie et l’ordre dans lequel je m’en sers varie peu : je sais exactement ce que j’aime. J’ai eu de longues années pour découvrir comment me procurer un maximum d’orgasmes en un temps record…
Après ce préambule, donc, je me saisis de mon gode « manuel » que j’enduis de lubrifiant. C’est un de ces engins hyper réalistes, qui me donnent l’impression de me faire baiser par une vraie bite. J’adore ça, ça rend mes scénarios bien plus crédibles ; et puis, je trouve que je me sers mieux de ce pénis en plastique que certains mecs se servent du leur, alors c’est gagnant-gagnant pour moi. Une verge plus vraie que nature, sans risque d’être déçue par la baise qui va avec ! Bref : après ça, je m’allonge sur le dos et je laisse mon imagination vagabonder. Souvent je ferme les yeux, c’est plus facile pour imaginer un bel étalon ou une amazone élancée à mes côtés. J’introduis ensuite l’objet dans ma chatte et je commence à me branler. Comme tout à l’heure, je vais d’abord doucement puis de plus en plus vite, en imaginant me faire pilonner par l’objet de mon fantasme. À ce moment-là, en général, je perds tout respect pour mes voisins : je me mets à gémir tout d’abord, puis parfois carrément à crier de plaisir. Mais le mec qui vit à côté a l’air d’être un vrai pervers, et en tout cas il ne s’est jamais plaint… Peut-être qu’un jour, je songerais à l’inviter à se joindre à moi.
Lorsque je sens que je suis sur le point de jouir, j’attrape mon second vibro – branché au préalable – et je l’enfourche avec avidité. Je continue à effectuer de petits va-et-viens et j’atteins l’orgasme rapidement, souvent suivi d’un deuxième juste après. Ça n’enlève rien à mon amour pour le sexe, mais je crois que le plaisir que je prends à ce moment-là est supérieur à celui que pourraient me donner mes partenaires même les plus expérimentés. C’est un plaisir différent quoi qu’il en soit, plus intense, plus personnel… Le genre qu’on ne partage pas avec autrui, et donc on ne parle pas. Mon plaisir secret, en quelque sorte.
Selon mon humeur et le temps que j’ai, je m’arrête là ou je continue à me faire du bien avec le vibro. Une fois que j’ai fini de l’utiliser, j’essuie mon entrejambe humide d’excitation et de jouissance, je remets ma culotte et je vais fumer une cigarette à la fenêtre. C’est un peu cliché, mais un bon orgasme me donne toujours envie d’une clope… Après ça, je m’en retourne à mon lit et je m’empare de mon petit canard vibrant. C’est le dessert, d’une certaine façon : une petite gâterie que je me garde pour la fin. Mon moment tendre avec moi-même, si vous voulez. Je baisse de nouveau ma culotte avec sensualité, comme si j’étais en train de l’enlever à quelqu’un d’autre : et puis je promène le jouet contre mon pubis, frissonnant chaque fois qu’il rencontre mon clito. Je continue ainsi pendant quelques minutes, tout en douceur, puis j’insère la tête du canard dans mon antre humide et je termine comme j’ai commencé : en utilisant mes mains. Caressant mon clitoris tout en m’aidant du canard, j’atteins enfin l’orgasme final. Autant vous dire qu’après ça, je dors bien !
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Ruby
L'été de mes 18 ans
Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.
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Ma première fois avec une fille
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/01/2018
Publié le 15/01/2018
Très belle histoire racontant la première fois avec une fille. Est ce arrivé à d'autres femmes que l'auteur de ce récit plein d'érotisme. Dites nous dans les commentaires.
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire sexe en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!