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Recit erotique : Mauvaise rencontre

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    Recit erotique : Mauvaise rencontre

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    sexe en voiture

    Mauvaise rencontre.

    Il est cinq heures du matin, quand Jean-Jacques et Marlène quittent la fête donnée à l’occasion de leur mariage. Faut dire que les nouveaux mariés ont hâte de s’esquiver pour savourer leur nuit de noces.
    Marlène va aux vestiaires de la salle des fêtes, pour changer de tenue. Elle met une robe courte avec une fermeture éclair sur le devant, plus pratique à quitter. Et les voila partis sous les « hourras » des convives.

    -Ouf, enfin seul, dit Jean-Jacques, en glissant une main entre les cuisses de sa femme. Ben !! Tu n’as pas mis de culotte.
    -Pour quoi faire mon chéri, répond Marlène, tu vas me la quitter tout à l’heure. Puis on ne sait jamais, s’il te prenait l’idée de caresser ma petite chatte.
    -Hum…la vilaine, elle a envie que je lui doigte la pastille, hein ?

    Jean-Jacques répond favorablement à la demande de sa ravissante épouse. Les doigts écartent les lèvres intimes, pénètrent la chatte, excitent le clitoris. Marlène se cambre sur le siège, pousse des petits gémissements de plaisir.

    -Salaud, souffle-t-elle, qu’est-ce que tu fais à ma petite chatte.
    -Hum…tu aimes te faire doigter ton petit bouton, hein ?

    Soudain, ils aperçoivent un fourgon en travers de la route, phares allumés.
    Un accident. Au moment ou Marlène allait jouir.
    Jean-Jacques arrête la voiture, et sort pour porter secours à d’éventuels blessés, suivi de près par son épouse.
    Arrivé à hauteur du fourgon accidenté, deux individus, accompagnés d’une jeune fille, sortent du sous bois, et agressent le jeune couple. Ce sont des gitans âgés d’une trentaine d’années

    -Angélica, planque la voiture, ordonne l’un d’eux.
    -Ok Chico.

    Chico demande aux jeunes mariés de monter dans le fourgon, dont l’intérieur est aménagé en couchage. En effet, un grand matelas occupe le sol.

    -Paco, gare le fourgon dans la clairière.

    Chico maitrise Jean-Jacques, le force à s’asseoir sur une chaise pliante, et lui attache les mains au dossier.
    -Paco, lui, croise les bras de Marlène dans le dos, et la tient par les poignets.

    -Angélica, dit-il, viens ici. Quitte lui sa robe.
    -Non, hurle Jean-Jacques…laissez nous partir, c’est nôtre nuit de noces.

    Marlène est bloquée. La jeune gitane s’approche d’elle, la regarde en souriant. Lentement, elle fait glisser la fermeture éclair, ouvre la robe qui fini au sol. Marlène se retrouve entièrement nue devant la confrérie gitane.

    -Ouah…qu’elle est belle, siffle Angélica. Vous avez vu les gars. Je peux la toucher ?
    -Vas-y, fais toi plaisir, ajoute Paco, amuses toi avec elle.

    Angélica ordonne à Marlène, de s’allonger sur le matelas. Elle s’agenouille à côte d’elle, et commence à la caresser. D’abord les seins, magnifiques, au bout saillant. Puis une main descend, s’insinue entre les cuisses.

    -Non, pas ça, dit Marlène quand deux doigts la pénètrent.
    -Pourquoi, sourit Angélica, tu n’es pas bien toute nue, jambes bien écartées, en train de te faire branler la chatte, hein ? Et ce petit bouton, tout décalotté, tu n’aimes pas qu’on te le gratte…Hum, c’est bon ça, hein que c’est bon ?
    -Oh oui c’est bon…mais ma petite chatte va être toute mouillée après.
    -Je vous en prie, intervient Jean-Jacques…assez.

    Marlène reconnait qu’Angélica sait ce qu’aiment les femmes.
    Les doigts commencent à faire un travail de sape dans la chatte de Marlène, tandis que le pouce excite le clitoris. Tétanisée, elle n’ose se rebeller. D’autant qu’elle apprécie de plus en plus, les caresses perverses de la jeune fille. Marlène écarte ses jambes pour s’offrir d’avantage, ondule du bassin.

    -Regarde ma sœur ce qu’elle fait à la chatte de ta femme, dit Chico. Tu as vu comme elle lui doigte le clito. Elle à l’air d’aimer, entends la gémir la salope.
    -Dites lui d’arrêter, supplie Jean-Jacques toujours maitrisé par Chico.

    Trop tard, Marlène se tord comme un serpent sur le matelas. Elle est prise d’un orgasme terrible, son cri de plaisir résonne dans le fourgon. Les frères éclatent de rire en voyant Marlène se trémousser sur les doigts d’Angélica, toujours encrés dans sa chatte.

    -Elle est prête, dit la jeune gitane, vous pouvez la baiser.

    Paco s’allonge sur le lit, demande à Marlène de le sucer. Celle-ci se penche, prend la bite en bouche, et la suce, au grand dam de Jean-Jacques, qui n’a jamais eu droit à une telle faveur. Il voit nettement les joues de son épouse se déformer, quand le gland frotte à l’intérieur.
    Paco sent la sève monter. Il tient la tête de la jeune femme quand il éjacule. Jean-Jacques prend un deuxième coup sur la tête, quand il voit son épouse avaler le sperme d’un inconnu.
    Puis Paco lui demande de le chevaucher. Soumise, Marlène s’empale sur la bite du gitan. C’est elle qui fait tout le travail, envoie de violent coup de reins sur la queue qui lui bourre la chatte. Dans un dernier sursaut, elle atteint son deuxième orgasme de la nuit, dans un spasme de plaisir.
    C’est maintenant au tour de Chico de participer à la fête. Il demande à Marlène de se mettre à quatre pattes. Il veut la prendre en levrette.
    Il baisse son pantalon, en extrait une bite énorme.
    Jean-Jacques ouvre grand les yeux en voyant le calibre, que Chico décalotte, pour libérer le gland. Lentement, il fait coulisser son énorme pieu dans la chatte de Marlène. Il s’agrippe à ses hanches, et entame de lent va et vient. Marlène cambre sa croupe, pour mieux sentir la queue qui la défonce.

    -Oh mon chéri, regarde comme il bourre la petite chatte de ta femme. Elle est bonne sa queue tu sais…plus grosse que la tienne. L’enfoiré, si tu savais comme il me baise…oh oui…je jouis…encore…encore…j’en veux encore…

    Jean-Jacques n’en croit pas ses oreilles. Et il n’est pas au bout de ses surprises.
    Chico se penche sur la jeune mariée, lui murmure quelques mots à l’oreille. D’un hochement de tête, Marlène fait un signe affirmatif.
    « Que lui a-t-il dit, se demande Jean-Jacques ».
    Tout simplement qu’il voulait la sodomiser. Et qu’elle était d’accord.
    Chico retire sa queue. Elle est pleine de mouille. D’une main, il l’a guide vers le petit trou. Marlène creuse l’échine, pour mieux s’offrir.

    -Non, supplie Jean-Jacques, ne l’enculez pas. Vôtre queue est trop grosse…s’il vous plait, mettez là dans sa chatte ou dans sa bouche, mais pas dans son petit trou…vous allez la déchirer…
    -Si, poursuit Marlène, vas-y, encules moi. Il faudra bien que ça arrive un jour. Autant que ce soit un vrai mâle, avec un gros calibre, qui fasse sauter ma rondelle.

    Chico se met en place. Lentement, le gland fait pression, dilate le petit trou.
    Marlène se raidit, serre les dents. Puis sa chatte avale la queue, jusqu’aux couilles.
    Jean-Jacques assiste, impuissant, à la saillie de son épouse. Il se sent humilier, quand elle compare les mensurations de son sexe, avec celui des gitans. Mais aussi les performances, comment ils l’ont faites hurler de plaisir, quand elle a joui. Il n’a jamais réussi à la faire jouir comme ça. Mais le pire, c’est quand elle a taillé une pipe à Paco, et qu’elle a tout avalé, ou quand elle s’est faite enculée par Chico. Deux choses auxquelles il n’a jamais eu droit.

    Il est six heures du matin, quand Chico et Paco raccompagnent Jean-Jacques à sa voiture, Angélica s’occupe une dernière fois de Marlène. Elle veut sa part elle aussi. Des gémissements de plaisir résonnent dans le fourgon.

    -Alors salope, tu te régales…tu aimes te faire gouiner, avoue !
    -Oh oui…c’est bon de se faire gratter sa petite chatte par une fille…
    -A toi maintenant à me donner du plaisir…bouffes moi la chatte…suce mon clito…allez, obéit, après, c’est moi qui te la boufferai.

    Des râles de plaisir envahissent le fourgon, quand les deux femmes atteignent l’orgasme.
    Puis, Angélica libère Marlène. Elle enfile sa robe, et rejoint son mari à la voiture. A la lueur des phares, elle écarte ses jambes, et essuie la cyprine qui dégouline de sa chatte, avec un mouchoir en papier.

    -Ben dis dont mon chéri, j’ai passé une super nuit de noces, ouah. Comme je me suis fait baiser, gouiner. En plus j’ai taillé ma première pipe, j’ai tout avalé. Hum, que c’est bon. Et pour finir, je me suis fait enculer. La totale…Mais…ne fais cette tête mon amour. Toi aussi tu auras à droit à ta nuit de noces. Quand on arrivera à l’hôtel, je te taperai une petite branlette, tu veux ?

    Pour remercier les gitans, Marlène se pend à leur cou, et leur donne un torride baiser. Même Angélica y a droit. Puis elle glisse un mot dans la main de Chico, ou figure l’adresse de leur appartement. Jean-Jacques démarre la voiture. Marlène et les frères et sœur se font au revoir d’un signe de la main.





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