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Histoire erotique : Mon avaleuse de belle mère

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    Histoire erotique : Mon avaleuse de belle mère

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Mon avaleuse de belle mère
    Andrien venait de naître. Ce fut le prénom que ma tendre épouse et moi-même avions donné à notre premier fils. Le bonheur était à son comble au sein de notre grande famille, surtout auprès de mon beau-père qui, lui, avait tant espéré avoir enfin un fils parmi les 4 belles dames qu’il a eu pour filles.
    Cécile, ma femme, l’ainée, avait demandé à sa mère de rester quelque temps à la maison le temps de l’aider à s’adapter avec le petit quand je suis au bureau. Elle accepta sans hésiter, et en plus, elle était libre, car cela faisait presque deux ans qu’elle avait fermé sa petite boutique de vêtement. Je dois dire que Florence, ma belle-mère, avait un côté qui me fascinait. Elle se vouait à ses filles et ferait tout pour elles. Âgée d’à peine 41ans, Florence est une femme à forte allure et avait un penchant pour les habits moulants qui mettaient en exergue sa corpulence. Elle venait de beau matin, avant même que je ne quitte la maison, et préparait le café pour Cécile avant que cette dernière ne se réveille également. Le temps passait, et tout semblait être parfait, à un détail près. Le sexe venait à manquer dans notre couple, et cela se ressentait plus chez moi que chez Cécile. Cette dernière, quand je tentai de la toucher, me repoussait, et prétextait d’être fatiguée par le petit qui se réveille deux à trois fois la nuit. Elle ne me réveilla presque jamais du fait que je dois partir tôt le matin afin de ne pas rater mon train. Outre cette fatigue que ressentait ma femme, les conseils du médecin la bloquaient également. Il était formel : pas de pénétration avant les deux mois et demi précédant la naissance d’Adrien. Avant la naissance de notre fils, nous avons eu une vie sexuelle épanouie, à raison de 3 à 4 fois par semaine. Ce manque commençait à se voir sur mon visage, j’avais envie et besoin de me relâcher. Il restait évidemment la masturbation, chose qui ne m’a jamais trop tenté dans la vie. Un jour, j’étais décidé à aller voir un de ces salons de massages thaï qu’un collègue au bureau m’avait conseillé. Il semblerait que les femmes y sont jeunes, sexy et torrides dixit mon collègue. Une question me trottait cependant dans la tête : Que vais-je dire à ma femme pour expliquer mon absence à la maison ? Moi qui rentrais presque souvent à la même heure.
    D’un autre côté, Florence ne me restait pas indifférente. Elle adoptait une tenue sexy comme à son habitude, mais assez courte. Sa poitrine ne cessait de prendre du volume. Serait-ce moi ou la réalité ? Peu importe, une petite voix en moi me dit de tenter quelque chose, mais discrètement, sans courir le risque de me couvrir de honte.
    Un bon matin, alors que je m’apprêtais à quitter la maison, Florence entra, habillée d’une chemisette blanche et d’une petite jupe fleurie. Des habits simples, mais qui mettaient son corps en valeur. Je n’allais pas rater une occasion pareille. Tout en tremblant, je lui lançais un petit compliment innocent :
    - Ah Florence, cette petite jupe vous va à merveille. Vous êtes très belle aujourd’hui.
    - Merci d’avoir remarqué, me dit-elle. Et que dis-tu de mon haut ?
    - Élégant, répondais-je, il met en valeur votre poitrine.
    - Petit coquin me lança-t-elle. Est-ce que ma fille dort encore ?
    Oui, et elle ne se réveillera que dans une bonne demi-heure, aussi, devrais-je vous laisser, j’ai un train à prendre. Je pressentais que la discussion ne mènerait à rien, car elle répond par politesse.
    - Une dernière chose, me dit-elle, restez sage au bureau et pas de drague !
    Elle me lança cela avec un sourire étrange comme si elle était au courant de quelque chose. Alors ouvertement, je me confiai à elle. Je lui disais qu’en tant qu’adulte, bien qu’elle soit la mère de ma femme, elle pourra peut-être me comprendre sur certain manque dans notre vie de couple. « Que me conseillez-vous Florence ? » Elle me répond : Je préfère que vous me considériez comme la femme de la situation au lieu d’aller voir ailleurs ! Je n’en croyais pas mes oreilles ! Il me fallait confirmer. Je déposais ma mallette, je m’approchais d’elle, et je lui embrassais langoureusement. Au lieu de me repousser, elle me prit dans ses bras, et semblait coopérer. C’est à ce moment-là que je me lâchai. Je commençai à toucher ses fesses tout en léchant délicatement son cou. Florence poussait de petits cris tout en gardant en tête que ma femme se réveillera d’une minute à l’autre. Je glissais ma main dans sa culotte, et je sentis qu’elle mouillait déjà beaucoup. Elle avait une chatte qui n’avait presque pas de poil, et j’aimais titiller son clitoris. Nos langues se caressaient en même temps, et elle me branlait la queue, qui était déjà au garde à vous pour la faire durcir encore plus. Je me plaçais maintenant derrière elle tout en soulevant sa jupe. Elle savait que j’allais la prendre debout, par-derrière, et elle se mit à courber légèrement pour me faciliter les choses.
    Ma queue ne pouvait pas rentrer d’un coup sec malgré son vagin qui mouillait. Elle me sourit, et me disait que je ne suis pas le seul à être en manque. Cela m’excitait davantage. Une fois que j’étais en elle, le va-et-vient se faisait sentir. Je lui envoyais de gros coups de va-et-vient. Pressentant que j’allais jouir, elle me fit connaitre qu’elle souhaitait avaler au lieu de me laisser finir en elle. Elle ne voulait pas salir son joli string en dentelle. Je me dépêchais de sortir mon sexe de son vagin, et elle s’est précipitée pour s’agenouiller devant moi. C’est elle qui me branlait et voulait à tout prix à ce que j’explose au fond de sa gorge. Le détail qui m’avait fait craquer fut ses beaux yeux en train de me fixer et sa langue qui pendait pour accueillir ma semence. J’ai tout envoyé dans sa bouche et ma belle Florence vient de tout avaler. Elle insistait pour nettoyer un peu le matos avant de me laisser filer au boulot.

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