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Recit sexe : Mon beau frère me baise dans la cuisine

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    Recit sexe : Mon beau frère me baise dans la cuisine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    aventure

    Il faut absolument que je vous raconte la fois où j’ai eu une petite aventure avec mon beau-frère. J’espère que mon récit ne viendra pas aux oreilles de ma sœur puisque d’abord : c’est sa compagne et que, bien sûr, elle n’est pas au courant de tout ça.

    Serge et moi devions préparer un repas surprise pour les 30 ans de ma sœur. Nous comptions organiser une fête le soir même en compagnie de toute la famille et les préparatifs culinaires nous étaient confiés à tous les deux. Après avoir passé la matinée à faire quelques courses, nous avions rejoint la maison et nous nous sommes mis au travail.

    Alors même que nous attaquions l’épluchage des légumes, Serge commençait déjà à blaguer, comme à son habitude. Il me charriait sur mon décolleté aguicheur qui selon lui, me mettait « terriblement » en valeur mais avait le seul défaut de le « déconcentré » dans sa tâche. Il faut dire que mes quelques semaines de diète sexuelle m’avait inconsciemment rendue affriolante. Je n’avais cessé de le toucher, de le regarder avec envie.
    « Tu vas me rendre dingue si tu continus avec tes regards ! » dit-il rieur, en épluchant une carotte.
    _ Ah ah ! Désolée, je ne le fais pas exprès ! J’ai plein d’idées un peu… coquines en ce moment. Répondis-je, à demi gênée.
    Il resta fixer sur sa carotte, la bouche à moitié ouverte. Cette seule phrase le fit bouillir. Un court instant de silence s’installa. Et puis, toujours rieur :
    « Ce serait dommage de garder tout ça enfouis. C’est très mauvais la frustration, tu sais ?! » lança t’il sur un petit ton malicieux.

    J’avais du mal à évaluer la sincérité de ses propos. Etait-il sérieusement en train de me faire des avances ou n’était-ce que du second degré ? J’étais quand même la sœur de sa femme. Tout le monde était conscient que ma sœur avait des cornes sur la tête depuis longtemps, mais dans notre cas, la situation était différente. Ce fut un moment de gestion compliqué, entre d’un côté, mon irrépressible envie de bite, et de l’autre, la morale. Mais comme vous avez pu le constater en lisant mes histoires, je n’ai aucune moralité. Je suis une vraie salope… Je ne changerai jamais, c’est plus fort que moi !

    « Tu me donne des idées avec ta carotte ! » lançai-je.
    _ La carotte est pourtant décevante par rapport à ce que tu pourrais avoir… me rétorqua-t-il.
    _ Je demande à voir !

    Je m’approchai de lui et l’embrassai. Il plaqua ses mains sur mes fesses en me galochant. Je le sentais se frotter contre moi, sa braguette durcissait doucement quand il soulevait ma jupe. Il tirait légèrement la ficelle de mon string pour qu’elle frotte mon clitoris. Moi, je voulais avaler son sexe. Je m’agenouillai. Il m’aida à déboutonner son jean et sortit sa queue. Je le fixai des yeux et aspirai goulument son gland, puis ses boules, puis je le léchais tout le long de la veine de sa bite et je revenais faire des allers-retours bien baveux, tout au fond de ma gorge, jusqu’à la limite de l’étouffement…
    « Hhhhhaaaa ! gémissait-il. Je veux ton trou, viens là ».
    Il me releva, me porta jusqu’au plan de travail et m’assis dessus. Il tira d’un seul doigt le string à l’endroit de ma petite chatte et me lécha. Je mouillais déjà terriblement et pour ne rien vous cacher, je crois qu’à ce moment-là, une cargaison entière de pompiers n’aurait pas suffi à éteindre le feu de mon bas-ventre. Je n’en pouvais plus…

    « Prends- moi ! Prends-moi ! » lui fis-je avec tout mon empressement.
    Il se dressa devant moi et enfourna sa queue profondément en moi. Je m’agrippai aux poignées des placards pendant qu’il faisait des vas et vient. Sa bite, comme il me l’avait annoncé, était bien plus avantageuse que la carotte qu’il pelait et je la sentais diablement bien me pénétrer. Soudain, il me fit descendre du plan de travail et me prit en levrette. J’étais appuyé sur la table. Il me fessait violemment entre deux séries de coups de queue. Sa fréquence de coups de reins augmentait de pair avec mon excitation et mes gémissements.

    « Ah oui vas-y, elle est bonne ta queue !» lançai-je dans un long soupir. Je tournai ma tête dans sa direction pour le regarder me sauter.
    _ Haaoohh ! Oui t'es bonne ! J'aime ta petite chatte serrée. »

    Il sortit son sexe pour le frapper sur la raie de mes fesses avant de revenir dedans. Il ressortit entièrement puis reprit, puis ressortit. Il prenait son pied à re-pénétrer entièrement mon trou avec son gland et ce, jusqu'au plus profond de moi. Devant tant d'aisance, je me laissais faire... Il était le maître de mon corps et j'étais son esclave. Je n'avais de toute façon plus la force de contrôler quoi que ce soit.

    Soudain, je sentis quelque chose de froid contre mon clitoris. Il avait attrapé la carotte qui était sur la table et me la frottait pendant qu'il continuait de besogner derrière moi. Il donnait de tout petits coups de carotte. Il me rendait dingue. Mes cris étaient de plus en plus mordants, de plus en plus sauvages. Je le sentais proche de la rupture à lui aussi. Les petits mots salaces que je lui murmurais attisaient sa fougue et son exaltation. Ses reins se fracassaient violemment contre mes fesses, mes jambes avaient du mal à me porter tant mon corps avait épuisé ses ressources.

    « Je vais venir ! Viens ma chérie, Suce-moi ! ».
    Je m'exécutai avec tout ce qu'on peut imaginer de gourmandise. Je me mis à genou devant lui et lui suçai la queue de tout son long. Il ne mit pas très longtemps avant de décharger dans ma bouche de suceuse invétérée. Je lui laissai le contrôle de ma bouche. Il enfonçait son gland tout doucement au fond de ma gorge, dans un long râle de plaisir. Je pris la carotte et la croquai en le soutenant des yeux. C'était la seule fois où Serge et moi avions couchés ensemble. Lors du repas du soir, toute la famille a trouvé que les carottes étaient délicieuses. Moi aussi.

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