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Recit de cul : Nolwenn offre son petit trou à sa patronne

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    Recit de cul : Nolwenn offre son petit trou à sa patronne

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    C'était il y a quelques années déjà et je n'avais pas beaucoup d'expérience en matière de sexe, seulement quelques aventures plutôt décevantes...

    Je venais d'être embauchée pour mon premier emploi de secrétaire et j'étais toute excitée à l'idée de commencer, je fantasmais pas mal sur celui qui m'avait recrutée et qui m'apparaissait comme le chef de la boîte: un beau brun à l'allure très sensuelle, la quarantaine sportive avec le petit sourire typique du mec sûr de son charme... Je m'imaginais déjà en train de lui apporter un petit café et plus si affinités, et j'avais mis des heures à me préparer, enroulant ma longue crinière de rouquine en un chignon qui ne demandait qu'à être défait, dans un petit ensemble-tailleur couleur chocolat, des escarpins qui me faisaient un cul d'enfer... J'étais un peu nerveuse mais prête à bouffer la Terre entière !

    J'étais donc un peu déçue quand je me suis aperçue que c'était une femme qui allait me superviser et avec qui j'allais partager mon bureau... Une brune très classe, en tailleur strict et qui me semblait froide comme une porte de prison...Tout au long de la journée, je la sentais qui m'observait, j'avais l'impression d'être nue et j'osais à peine lever les yeux sur elle...

    J'ai donc été très surprise quand à la fin de la première semaine elle m'a proposé d'aller boire un verre avec elle ! J'étais bizarrement excitée, tout en craignant de me taper un bilan professionnel barbant dans un bar ennuyeux à mourir avec des serveurs en livrée... Au lieu de quoi elle m'a emmenée dans un bar de nuit hyper classe dans lequel je n'aurais jamais osé mettre un pied, et visiblement tout le monde la connaissait... Je me sentais un peu comme Cendrillon, mais j'ai vite remarqué le velours rouge profond, les aquarelles érotiques et les sculptures suggestives qui formaient la déco du bar. Elle m'a emmenée vers une table dans un recoin tamisé et je pleurais intérieurement de déception de ne pas être accompagnée du beau brun ténébreux de la boîte !

    Quelques coupes de champagne-rhum-fraises plus tard, j'avais oublié toute réserve alors qu'elle commençait à m'effleurer mine de rien la cuisse en croisant ses jambes que j'entrevoyais gainées dans des bas-nylon hyper sexy... J'osais à peine bouger mais je sentais carrément mon clitoris palpiter dans mon string trempé et les pointes de mes seins durcir comme si elles allaient éclater...Elle a senti mon trouble, comme une invitation à continuer, et mes cuisses se sont écartées d'elles-mêmes quand elle a glissé sa main sous ma jupe; j'ai alors osé la regarder, et elle souriait de me sentir si offerte à ses caresses...

    J'avais alors complètement oublié avec qui j'étais, et qui j'étais moi-même: j'ai commencé à caresser ses seins fermes et à prendre ses tétons dans ma bouche, j'avais l'impression de devenir folle et j'étais prête à jouir lorsqu'elle s'est arrêtée et m'a entrainée à sa suite dans une arrière salle garnie de miroirs et de divans de velours rouge. Elle m'a poussée sur une banquette sans ménagements et à commencé à me lécher furieusement, s'arrêtant parfois pour titiller mon clitoris tout en me fourrant un doigt dans le cul, ce qui m'a fait jouir comme si une fusée avait décollé de ma chatte, je n'avais jamais ressenti ça avec aucun homme !

    On a alors basculé pour qu'elle se retrouve allongée à ma place, elle a largement écarté ses jambes et a commencé à se caresser en me regardant droit dans les yeux, et je me suis jetée sur elle, sur ses seins, sa bouche et enfin sur son sexe que j'ai commencé à lécher fébrilement, à quatre pattes devant elle...

    C'est alors que j'ai entrevu dans le miroir placé derrière le canapé un homme qui s'approchait, je me suis redressée pour le voir dans la glace, sans me retourner, et j'ai vu dans le regard de ma "chef" qu'elle le connaissait, elle devait être au courant de sa venue, je l'ai donc laissé faire tout en le regardant dans le miroir pendant qu'il commençait à me pétrir les fesses avec énergie. Il était grand, la peau presque noire et avait de longs membres musclés tout en finesse; on aurait dit un guerrier Massaï, et je mouillais encore plus en imaginant sa queue, si sa longueur était proportionnelle à celle des doigts qu'il commençait à me fourrer partout avec une rudesse contrôlée qui me mettait quasi en transe.

    Je continuais à la lécher tout en me cambrant au maximum pour qu'il sente que mon cul lui appartenait et que je mourrais d'envie qu'il me prenne sauvagement, mais il a pris son temps, d'abord il a juste fait glisser son gland tout le long de ma fente, de mon clitoris à mon anus, et j'étais prête à le supplier quand il m'a enfin pénétrée profondément d'un seul coup...Il est resté un peu en moi, continuant à me caresser et à me fourrer un puis deux doigts dans le cul, puis il s'est mis à la faire rentrer et sortir bien en rythme, accélérant progressivement, et je sentais ses couilles bien pleines cogner contre mes fesses, je commençais à gémir puis à crier de plaisir, c'est là qu' elle a joui sous ma langue, puis on s'est embrassées longuement en se caressant les seins pendant qu'il continuait à me baiser de plus en plus frénétiquement. Puis il s'est retiré, m'a positionnée sur elle de façon à ce que nos deux sexes puissent se frotter l'un contre l'autre pendant qu'il commençait à enfoncer son pénis dans mon cul, lentement mais sûrement, jusqu'à la garde, et j'avais l'impression que j'allais mourir tellement je prenais mon pied...Puis il a accéléré son rythme, se préparant à jouir et là mon corps ne m'appartenait plus, plus rien n'existait à part son pénis, jusqu'à ce qu'il finisse par éjaculer longuement sur mes fesses en poussant un long râle de plaisir...

    Rien que d'y repenser je suis trempée d'excitation... je me souviens à peine de la fin de la soirée, juste du petit clin d'oeil complice de ma chef le lundi matin, et à partir de cette nuit là ma vraie vie a enfin commencé, j'étais enfin sortie de ma chrysalide et plus rien ne m'arrêterait sur la route du plaisir !


tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par danycat :
Pal mal de femmes aimeraient être à ta place , profite, moi mon boss me sodomise aussi
Posté le par kokine35 :
j'aurais aimer etre a ta place !
Posté le par Anonyme :
Quel pied tu as du prendre!!!
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Anonyme

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