Recit sexe : Partouze d'une trans
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Recit sexe : Partouze d'une trans
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 15/07/2024
Publié le 15/07/2024
Je suis un transsexuel de 57 ans, hormoné depuis presque 15 ans.
Libertine dans l'âme, j'ai pu expérimenter pas mal de situations inhabituelles, qu'elles concernent ma vie d'homme hétéro d'avant ou celle de la femme trans que je suis à présent.
J'ai un compagnon de mon âge, parfait complice et amant exceptionnel, mais il peut nous arriver de rencontrer seuls d'un commun accord, ne vivant pas sous le même toit la plupart du temps.
Ce samedi d'hiver au froid mordant, me prit soudainement l'envie, vers 22h, de me connecter sur un site de rencontres dédié aux transgenres et leurs amateurs/amatrices.
Quelques messages ne tardèrent pas à se présenter, qui me proposait du bdsm, une rencontre à la Saint-Glingin ou un truc incompréhensible, sans compter sur les interminables "CC BB Sava tfk?", traduisible par: Coucou bébé comment vas-tu et que fais-tu de beau? Bref rien ne méritait le moindre effort d'attention durant une bonne heure.
Agacée par cela, je visitais un autre profil à moi sur un site dédié, lui, à la drague en extérieurs et lieux insolites, et remarquant sur la page d'accueil qu'un des derniers lieux à avoir été commenté était l'emplacement de parkings et fourrés divers situés face à une entrée de l'hippodrome d'Auteuil.
Haut de la rencontre travesti de longue date, il avait vu sa fréquentation baisser dernièrement suite à une recrudescence de petits larçins sur les voitures, bris de vitre et vols divers.
Le commentaire en question émanait un homme d'environ 45 ans qui s'annonçait disponible sur place en compagnie d'une amie travestie.
En visitant son profil je le remarquais en ligne et entrepris de lui adresser un message privé pour lui demander comment se passait leur moment en ce lieu.
Il me répondit presque aussitôt qu'elle était repartie devant le peu d'opportunités et qu'il se tâtait pour faire de même ou persister encore un peu. S'ajouta à ceci quelques compliments savamment dosés sur mon physique à travers ma galerie de photos et la suggestion de passer me chercher en voiture pour y aller faire un tour ensemble.
Je ne croyais pas trop à un revirement de situation qui aurait soudainement déclenché un afflux de voyeurs et autres exhibitionnistes à cette heure tardive et par ce froid, mais j'ai toujours apprécié m'y rendre, hormis avec mon copain dans nos recherches d'exhibitionnisme et dogging, mais aussi donc avec quelques inconnus pour braver les idées reçues sur la supposée impossibilité de trouver une réelle complicité spontanée.
Pied donné au nez de ces idées une fois de plus puisque Christophe était charmant en tous points, du moins dans le dialogue et le physique, et, rassurée, acceptait sa proposition de m'y emmener.
Je me vêtissais donc d'une paire de bas, un legging blanc serré par dessus, un petit top assorti, ma doudoune cintrée noire et une paire de baskets noires.
Christophe était chauffeur Uber donc encore plus rassurant, et sa voiture était une spacieuse berline aux vitres teintées à l'arrière, place que j'occupais pour plus de crédibilité en cas de contrôle.
Nous y fûmes en un rien de temps aux alentours des 1h du matin le dimanche.
Le parking était notoirement désert à l'exception de quelques véhicules semblant inoccupés et d'une autre berline qui nous offrit pour spectacle, en nous en approchant, d'une portière ouverte sur la scène d'un couple en pleine fellation, les deux semblant très âgés, et composé d'un homme et d'une travestie.
Un peu émoustillée et bien désinhibée par la consommation, certes faible mais régulière, d'alcool dans la soirée, je ne tardais pas à sortir de la voiture pour m'approcher de la scène, suivie de près par Christophe.
Il faisait très froid et l'exhibition serait limitée, mais j'ouvris néanmoins ma doudoune pour laisser apprécier la vue de ma poitrine dans le petit top.
Ce fut très efficace car en deux temps trois mouvements j'étais poussée dans les bras du sénior en couple, cherchant désespérément ma langue de la sienne collée à ma bouche, tandis que sa dulcinée s'évertuait encore un peu plus bas et que Christophe avait entreprit de me malaxer le fessier sur le legging.
La soudaineté de l'action me pris au dépourvu et un peu perdue je me laissais rouler une colossale et interminable pelle baveuse par le Monsieur, tandis que mon legging, suivi de mon string, terminaient sur mes chevilles.
Je n'eut pas véritablement loisir de ressentir la morsure du froid sur mes fesses dénudées, car Christophe, jusque là débonnaire, m'avait déjà enfoncé son pieu aux dimensions classiques dans l'anus, me pilonnant aussi rapidement que fermement; tandis qu'il malaxaient mes seins à présent découverts eux-aussi.
C'était vraiment étrange comme situation, moi qui d'habitude refuse quasi toujours les french kiss avec des inconnus et qui me faisait happer la langue dans un baiser passionné, et cette sodomie brutale et tout compte fait très excitante, pratiquée par surprise un peu à la manière d'un abus par cet homme plutôt placide.
Je gémissais bruyamment même la bouche occupée, le rectum fouillé par cette queue déchainée, durant un bon moment, qui vit s'arrêter une autre voiture et un homme en descendre plutôt séduisant, visiblement très attiré par moi, mais un peu timide dans l'approche.
Christophe explosa assez rapidement dans mes fesses agitées et le Monsieur fit de même dans la bouche de sa compagne, libérant ainsi la mienne pour exprimer ses râles de plaisir, et c'est sans répit que le dernier arrivé m'entraina par le poignet vers sa voiture garée assez loin, pour me placer en levrette sur le siège arrière, la croupe manipulée docilement et saillante de la portière, ce qui lui permit de me sodomiser à son tour virilement, d'un membre peu long mais très épais, qui m'écartelait le sphincter à chaque passage, ce qui était fort agréable au demeurant.
C'était la deuxième fois en peu de temps qu'un homme que je n'avais pas invité à le faire me pénétrait sans scrupules ni équivoque, me faisant ressentir la très humiliante mais néanmoins très excitante sensation d'être utilisée comme un objet de plaisir, un "vide-couilles" comme aiment parfois se définir certaines travesties à la recherche de ce type de plaisir.
Accrochée à mon sac à main, délestée de ma doudoune pour mieux apparaitre quasi nue devant lui, je le laissais me besogner longuement, en poussant de petits cris aigus à chaque accélération, puis il déchargeât en moi en poussant de lourds grognements.
Littéralement engourdie par l'intensité de cette saillie, je me laissais gentiment éconduire de l'enceinte du véhicule et abandonner à l'endroit, mon manteau et mon sac à mes pieds, haletante et un peu abasourdie, laps de temps qui lui permis de démarrer et disparaitre très vite.
C'est là que je réalisais que j'étais à présent seule sur le parking, mon chauffeur et le couple ayant eux aussi pris la poudre d'escampette!
Je me rhabillais un peu mieux, le froid soudainement plus palpable et la réalité reprenant enfin ses droits, j'étais seule dans une nuit glaciale en plein bois de Boulogne et je dû prendre sur moi pour ne pas paniquer et décider d'emprunter un chemin qui me semblait logique pour retourner à la porte.
Ce sont les voix de trois hommes, s'approchant de front mais cachés par le bois, qui me firent réaliser que d'une part mon sens de l'orientation laissait un peu à désirer, et d'autre part que ces lieux, même une telle nuit, sont loin d'être déserts.
Je ne me cachais pas mais adoptais une alliaire fière, droite et stoïque dans la démarche lorsqu'enfin nos routes se croisèrent.
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