Menu
Histoire porno : Plaisir intense dans le train
- 16
1Histoire porno : Plaisir intense dans le train
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 27/09/2024
Publié le 27/09/2024
Il est 21h30 et mon train est en retard. Me voici résignée à attendre encore de longues heures avant de pouvoir enfin m’installer dans mon compartiment et de m'affaisser dans une couchette. J’ai envie de fermer enfin mes paupières lourdes de nombreuses nuits d’insomnie et de tourments insupportables.
Aujourd’hui, je retourne à la case départ, après une misérable petite année d’amour qui devait durer toute la vie. Malheureusement, si j’ai tout quitté pour un homme, si j’ai abandonné famille, travail et amis en France pour aller vivre une vie que je pensais merveilleuse de l’autre côté de l’océan, celui qui devait devenir mon époux n’a pas changé un iota de sa routine bien rangée. Il y a un an, je partais le rejoindre le cœur léger, certaine qu’il n’attendait que moi alors qu’il n’attendait rien du tout et que je n’étais qu’une option dans son quotidien.
Aujourd'hui, le rêve est brisé et je repars avec ma valise et mon cœur lourd sans même avoir essayé quoi que ce soit car pour essayer il faut être deux et j’ai toujours été seule dans ce couple qui n’en était pas un. Perdue dans les méandres de mes pensées nébuleuses, je n’ai même pas remarqué que mon train venait enfin d’entrer en gare. Enfin quitter ce Londres maudit, tombeau de mon amour et revenir à mes sources, seule et le cœur en miettes mais chez moi.
Dans le compartiment couchettes, nous sommes deux : un jeune homme en uniforme militaire et moi. Il me salue avec un petit sourire timide et je lui rends sa politesse avant de m’allonger sur la banquette et de fermer les yeux tandis que le train redémarre pour m’emporter loin d’ici. Cependant, j’ai beau être exténuée, le sommeil ne vient pas. J’ouvre à nouveau le livre que je tentais de lire à la gare sans imprimer la moindre phrase, comme si mon cerveau était atrophié. Mon voisin de compartiment s’est assis sur sa couchette avec un journal mais je le vois très vite lever discrètement les yeux vers moi pour guetter mon activité. Je sens son regard de désir posé sur moi car bien qu’une quinzaine d’années au moins nous séparent, pensé-je, je sens sa convoitise lorsqu’il m’observe.
Ma vision en train de lire, légèrement vêtue d’une robe de flanelle courte et quelque peu transparente, laissant deviner mes formes généreuses sans soutien-gorge, doit l’émoustiller car j’aperçois qu’il s’est mis à se caresser doucement à travers son pantalon. Je décide de jouer franc jeu et je baisse mon livre pour lui sourire. C’est alors que mon jeune voisin s’enhardit et me rejoint sur ma couchette pour se glisser contre moi et replier l’une de ses jambes sur les miennes. Nous sommes face à face, nos bouches se touchent presque et je meurs soudain d’envie de l’embrasser, oubliant mes déceptions passées et ma vie londonienne. J’ai soudainement envie que ce jeune homme me prenne dans ses bras et me fasse du bien pour me faire tout oublier. Il pose alors ses lèvres sur les miennes tout en se faufilant sous ma robe et promène ses mains douces dans mon dos nu, me procurant des frissons de plaisir.
-Tu es une très belle femme me susurre-t-il à l’oreille dont il me mordille et me lèche le lobe.
Je suis troublée et flattée que ce jeune Apollon admire autant la femme d’âge mûr que je suis en train de devenir. Sa fraîcheur et sa beauté m’enchantent et je suis aux anges, abandonnée sans défense sous ses caresses expertes. Je sens ses mains descendre délicatement vers mes fesses et, durs d’excitation, mes seins se dressent et se tendent vers ses lèvres qui les effleurent puis les happent avec une délicatesse qui ne m’en rend pas moins ivre de plaisir.
-j’aime ton excitation me murmure-t-il, un peu malicieux. Je parie que tu es toute mouillée
Pour vérifier son impression, il glisse sa main dans ma culotte et la pose sur mon clitoris humide et enflé. Je suis complètement trempée ce qui l’excite lui aussi car son sexe est dressé et dur lorsque je le sors de sa prison de tissu pour le branler délicatement.
-Je suis fou de tes gros seins, halète-t-il entre deux baisers sur mes tétons et mes aréoles, ce qui me procure un bien-être incroyable.
-Mis j’ai très envie de goûter aussi à ton petit minou
J’avoue que je n’avais pas prévu et que j’ai laissé mon sexe au naturel, paré de sa toison d’hiver mais il n’a pas l’air de s’en offusquer au contraire. Il descend entre mes cuisses, prend mes fesses dans ses mains, et dépose sa bouche sur ma vulve pour la lécher délicatement en caressant les poils de mon mont de Venus. Il me regarde tout en mangeant ma chatte et caresse alternativement mes seins dont il agace les bouts et mes fesses jusqu’à titiller mon anus et enfoncer délicatement son doigt humide de ma mouille. Je n’en peux plus, je sens que je vais jouir dans sa bouche s’il n’arrête pas de me caresser et de me lécher ainsi. Je gémis de plus en plus fort et le supplie de me pénétrer lorsqu’un bruit se fait entendre et nous stoppe net.
C'est un troisième passager qui vient d’arriver. Il n’a pas l’air gêné du tout par la scène : moi presque nue les cuisses écartées sur la bouche de mon petit jeune qui me dévore la chatte en se branlant, le tout rythmé par nos grognements de plaisir qui résonnent. N’importe qui aurait changé de compartiment mais l’homme, à peu près de mon âge, s’installe juste en face de nous et nous dévisage sans gêne.
-ça m’exciterait de vous regarder continuer, nous dit-il d’une voix douce, l’œil émoustillé d’excitation. J’ai toujours rêvé de mater un couple et de me branler devant, ajoute-t-il en joignant le geste à la parole. Vas-y continue de lui lécher la chatte, lance-t-il à mon jeune amant du soir, ça me fait trop plaisir.
Et c’est là que mon jeune me surprend en lui répondant
-Ok mais tu participes. Moi je lui fais un cunni pendant que tu t’occupes de ses seins.
Cette proposition remporte l’adhésion générale, surtout la mienne. Tandis que le second inconnu du train se joint à nous pour participer à mon plaisir intense et que deux hommes caressent et embrassent les parties les plus érogènes de mon corps, je me sens parvenir peu à peu à ma destination en même temps que j’atteins dans un cri le septième ciel que j’avais perdu de vue depuis si longtemps.
Cette histoire de cul t'a excité ?
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire porno en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
