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Recit de sexe : Plaisir solitaire

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 20 3

    Recit de sexe : Plaisir solitaire

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    plaisir solitaire

    Je fermais la porte derrière moi et allumais la lumière. Comme toujours dans mon minuscule appartement, il faisait froid, malgré les températures plutôt douces de ce mois d’Octobre. J’étais épuisée. Comme celles tous les étudiants fauchés, mes journées étaient très longues. Après l’université, j’allais directement au travail, servir des capuccinos à la chaîne dans un « café/bar littéraire ». Malgré tous mes efforts, j’avais du mal à joindre les deux bouts, et ne pouvais pas me permettre d’allumer le chauffage pour l’instant. Mais en contrepartie, je ne payais pas l’eau chaude, et étais donc au moins libre de prendre un bain sans culpabiliser !
    Alors que le torrent d’eau chaude se déversait dans la vasque, je commençais à me déshabiller. Je lançais mon manteau sur une chaise, bientôt suivi de mes chaussures. Défaisant la fermeture éclair de ma robe, je me libérais enfin de tous mes lourds vêtements, ne laissant entre ma peau et l’air pour seul obstacle qu’une fine couche de dentelle noire. Je me détaillais devant le miroir. J’avais maigri. Mes bas remontaient le long de mes jambes, jusqu’à mes cuisses, où ils rencontraient les attache d’un porte-jarretelle. Ma culotte, dont le fin tissu était tendu sur la courbe de mes fesses, se pressait contre l’humidité de mon intimité. Plus haut, ma peau s’étendait, pâle, sur mon buste courbaturé, jusqu’au dessous de mes seins. Je les avaient toujours trouvés un peu trop imposants. Je posais ma main sur mon soutien-gorge, tentant d’en englober un, mais il en débordait inévitablement. L’air froid faisait pointer mes tétons sensibles, que l’on sentait durcir sous la dentelle rugueuse. J’attrapais à ma droite mon kimono de soie, que j’enfilais négligemment le temps d’attraper une bouteille de vin dans un placard. Je me servais un verre que j’emmenais dans la salle de bain.
    Cette fois, j’étais totalement nue dans la petite pièce remplie de vapeur. Un pied encore sur le carrelage froid, je m’aventurais de l’autre à la rencontre de l’eau brûlante. Avec délectation, je me laissais peu à peu glisser dans la sensualité infinie de la vasque. Tout était silencieux, et je sentais le vin qui réchauffait ma gorge. J’avais enfin l’impression de me débarrasser de ma journée, de la tension, de toutes les apparences. A l’université, j’étais l’élève studieuse. Au travail, j’étais une serveuse parmi d’autres, dans un quartier inconnu. Ce n’est pas qu’on me remarquait pas, au contraire. J’avais un visage qui semblait accrocher l’œil. J’avais des cheveux d’un roux assez sombre, et les yeux d’un vert assez foncé, ce qui ne passait pas inaperçu. A la fac, on m’abordait souvent, et il n’y avait pas un jour où je ne me faisait pas draguer par quelques clients. Mais je m’efforçais de garder une ligne de conduite, quelque chose de socialement acceptable, une forme de sérieux qui ne me correspondait pas du tout, en réalité.
    Je n’aimais pas être sérieuse. Ce que j’aimais, c’était le sexe. J’aimais la désobéissance, l’interdit, la chaleur brûlante des corps qui se mêlent. Depuis ma jeunesse, où j’avais commencé à me caresser sous les couvertures, j’avais toujours été fascinée par le charnel. Je sentais en moi un désir qui grandissait, qui s’intensifiait et me dévorait. Et pourtant, j’étais toujours vierge…
    Je plongeais ma tête sous l’eau chaude. Les bruits étaient étouffés. On n’entendait plus l’air. Ma peau était douce. Je ressortais la tête de l’eau et, de la main droite, commençait à caresser un de mes seins. Le téton, malgré la chaleur de l’eau, était ferme sous mes doigts. J’aimais, quand j’étais nue, imaginer comment se passerait la perte de ma virginité. Serait-ce avec un homme ? Brusque, doux ? Une femme ? Tout me faisait envie. J’imaginais un inconnu, aux mains puissantes, m’arracher mes vêtements.
    Sa bouche m’embrasserait violemment, alors que ses mains se jetteraient sur mon corps avec voracité. Sans soucis de ma pudeur, il me déshabillerait totalement, fouillant mon corps, pétrissant mes seins avec vigueur. Je n’aurais même pas le temps de me sentir gênée. Sa bouche descendrait le long de mon cou jusqu’à pouvoir atteindre ma poitrine, qu’il croquerait comme un fruit bien mûr. Sans plus de ménagement, il commencerait à approcher mon intimité de ses doigts rugueux. En me pétrissant les fesses d’une main, il commencerait à caresser ma toison, délicatement d’abord, s’approchant de plus en plus de la zone brûlante et humide qu’elle cachait. En imaginant cela, je commençais à me toucher dans mon bain. J’avais des gestes précis, et mes doigts caressaient l’entrée de mon vagin avec expertise. De temps en temps, je titillais mon clitoris gorgé d’excitation, pour faire durer le plaisir. Ma respiration devenait de plus en plus haletante, et je laissais échapper un gémissement. J’imaginais un sexe me pénétrer, brusquement, me remplir, me prendre. J’imaginais ma chatte écartée par la virilité d’un homme bien plus brusque et grossier que ceux que je fréquentais. Je me voyais déjà secouée par ses coups de reins, gémissant de plaisir, alors qu’il me tenait les cheveux. Le plaisir montait en moi, et mes gémissements étaient accompagnés du clapotis de l’eau au rythme effréné de mes doigts. J’en voulais plus, tellement plus… Je voulais qu’on possède mon corps, qu’on me triture, je voulais sentir un sexe brûlant en moi. Je voulais que les deux mains qui parcourraient mon corps se transforment en milles, qu’on me passe de sexe en sexe, de milles tailles et milles formes, dans un cercle rituel qui convertirait les jeunes filles en déesses lubriques, ondulantes, les seins parcourus par des milliers de langues… Je tressaillais dans l’eau, tremblante malgré la chaleur, secouée par mon désir inassouvi. C’est en imaginant un coup de rein final, plus intense que tous les autres, que j’atteignais l’orgasme, poussant un cri déchirant alors que tout mon corps palpitait.
    Mais j’étais pour l’instant destinée à rester sur ma faim… L’eau avait déjà commencé à tiédir. Je me relevais, mon corps dégoulinant d’eau, ma chatte de cyprine, et m’enveloppais dans une serviette. Aucun orgasme solitaire ne réussissait plus à me satisfaire. Me masturber ne me soulageait plus, mais ne faisait qu’accentuer la frustration. J’attendais avec impatiente le jour où j’aurais le courage d’envoyer se faire foutre les conventions pour me faire foutre à mon tour…

    -- A suivre, bien sûr.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par be_atrice :
On s'y croirait...
Pour moi, une journée sans jouir est une journée perdue, et je ne m'endors jamais sans m'être masturbée. Même si je viens de faire l'amour
Posté le par Coquin :
Bonjour je serais ravi de pouvoir satisfaire tous tes désirs je te promets que tu ne seras pas déçu en me dit bel homme la quarantaine sportif endurant sans tabou généreux écris-moi je te promets que tu ne regretteras pas

Legendreeric@yahoo.com
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