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Histoire erotique : Prise par un inconnu dans une cabine de lingerie

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    Histoire erotique : Prise par un inconnu dans une cabine de lingerie

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    cunnilingus

    La boutique de lingerie


    Je m'appelle Karine et j'ai 52 ans. Divorcée depuis peu, j'ai compris ce que vivre veut dire. Et quand je dis vivre, je veux dire jouir de la vie. Enfin... surtout jouir. Bien sûr que je jouissais avant, avec mon mari. Mais là je me suis redécouverte femme et chasseuse. Je ne supportais pas le regard vicieux que pouvaient avoir les hommes sur moi. Je mettais des cols roulés pour cacher ma grosse poitrine. Aujourd'hui, J'ai appris à aimer mon corps. Il faut bien avouer qu'à mon âge je suis encore bien faîtes. Un gros cul, des gros seins, et quelques charmantes rondeurs, mais rien de flasque ou dégoulinant. Et comme je suis secrétaire, j'aime bien rentrer dans ce rôle jusqu'au bout. Tailleur, jupe fendue, bas couture, talons aiguilles, chignon et lunettes. La panoplie de la parfaite secrétaire cochonne. Autant assumer ce que je suis. Quand un homme me regarde d'un air gourmand mon affolant décolleté, je ne me sens plus salie, bien au contraire. S'il me plaît, je lui souris et parfois même, j'en fais mon quatre heure. Et ce jour-là en sortant du travail, j'avais bien envie de me mettre quelque chose sous la dent.


    En sortant du travail, je passais donc par la place des terrasses à la recherche d'une proie. Et ce ne fut pas très long. Beau mec, la quarantaine, cheveux poivre-et sel, barbe de trois jours, de petites lunettes lui donnant un air intellectuel avec son triplé jeans-t-shirt-basket. Je m'assois. Il ne me voit pas. Il ne me remarque même pas. Il regarde au loin, tapote nerveusement sur la table

    et vérifie sans cesse son téléphone. Un lapin ? Quelle conne. Moi je ne le laisserai pas passer. Je remonte un peu ma jupe, que l'on devine le haut de mes bas. Je lis un livre, sirotant mon café. L'air de rien. Puis la proie mord à l'hameçon. Il a repéré mes bas, s'y attarde, puis longe mon corps délicieusement. J'avance un peu sur ma chaise pour faire remonter encore un peu jupe. le nez dans mon bouquin, il n'y voit que du feu. Dans sa tête, il a déjà dû me baiser 15 fois. Il doit se demander ce que je porte en-dessous. Il s'imagine sans doute que je n'ai pas de culotte. Et il a bien raison. Je l'ai dit, je suis une secrétaire cochonne.

    Il fait mine de ne pas s'intéresser à moi les yeux plongé dans son téléphone. Mais je le vois bien qui m'observe du coin de l’œil. Je remonte encore alors un peu ma jupe. Il s'étire alors un peu sur sa chaise pour essayer d'en apercevoir plus, tout en ayant l'air décontracté. Mais sous son jeans je suis sûr que ça frétille déjà. Je me sers de ma main comme d'un éventail pour montrer que j'ai chaud et je déboutonne le haut de mon chemisier. Soudain son regard se fait moins discret lorsqu'il lorgne sur mon décolleté. Je le fixe et alors il replonge dans son téléphone et ses regards deviennent à nouveau plus furtifs. Mes gros nichons ont fait leur effet. Je croise et décroise les jambes. Il essaie de voir sous ma jupe. Il est à point. J'écarte les jambes quelques instants lui offrant une vue imprenable sur ma fente et ne plus lui laisser aucun doute quant à mon caractère. Bam! Pris en flagrant délit de matage. Je lui fais mon plus beau sourire et m'en vais. Quelques instants plus tard, il me suit, l'air de rien.


    Je déambule dans les rues, me retournant de temps à autres. Il est toujours là, faisant mine de se balader. Mais quand je lui souris, il me répond. Il est joueur, j'aime beaucoup ça. Devant la vitrine d'une boutique de lingerie me vient une idée. Je pousse la porte et entre. Je ne doute pas qu'il me suive. Dans la boutique je fais mine de regarder les soutien-gorge. "Nous allons bientôt" fermer me lance la vendeuse. Je lui réponds "C'est compris". Pendant ce temps ma proie arrive. Il ne sent pas le piège qui se referme. Je me faufile dans une cabine et le voilà qui me suis.

    Je l'agrippe, l'enlace et l'embrasse langoureusement. Il remonte ma jupe et saisit mes fesses. Il alterne entre malaxage et caresses sensuelles. Il remarque que je mouille déjà comme une folle lorsque son doigt longe ma fente. Il déboutonne mon chemisier et libère mes gros seins qui ne demandent qu'à être embrassés. Et lorsqu'il veut parler je pose mon index sur sa bouche et lui susurre: "Je ne veux rien savoir, je veux juste que tu me baises". Il s'attèle donc à caresser mes nichons. Il a de grandes et douces mains. Il connaît l'art de la caresse. Lorsqu'il frôle mes tétons durcis de plaisir, je frissonne. Voilà maintenant qu'il les lape, les suces. Toujours avec attention et délicatesse. Je mouille comme une chienne. J'ai envie de rencontrer sa queue, alors je m'agenouille. Il dézippe son jeans et là sous le caleçon, une queue énorme apparaît. Belle, droite, fière et prête à exploser. D'une main je caresse ses couilles et de l'autre je parcours sa tige tendue. Du bout la langue je lèche son gland. Il attrape ma tête et enfourne sa queue. Il fait des mouvements de va-et-vient. Ce n'est pas moi qui le suce, c'est lui qui baise ma bouche. Bestial mais pas brut. Je suis à sa merci et j'aime ça. La proie devient le chasseur. Tout en lui caressant les couilles, je plonge un doigt dans ma chatte terriblement trempée. Alors qu'il sent qu'il va venir il se retire et m'ordonne "Assied-toi!" Je prends place sur le petit tabouret et c'est à son tour de s'agenouille. Du bout de la langue il longe mes lèvres et tout en douceur vient sur mon clito. Putain, je crois que je vais jouir tout de suite. Il parcourt maintenant ma fente de haut en bas. Comme c'est bon. C'est un expert en léchage de minou. Je frissonne de partout, je me mords les lèvres. Dans l'entrebâillement du rideau je vois la vendeuse qui nous observe. Elle me fait signe de ne rien dire alors je ferme les yeux et profite de cette délicieuse caresse. Je gémis doucement alors qu'il enfonce deux doigt dans mon trou, ça glisse tout seule. Il appuie sur mon point tout en continuant de sucer mon clito. Cerise sur la gâteau, il me fourre un troisième doigt dans le cul. Oh putain! je jouis! C'est trop bon. J'en tremble. Je sens mon corps qui s'électrise. Je n'en peux plus. Oh mon dieu ce que c'est bon. Je laisse s'échapper un râle. Je jouis encore et encore. Je retire sa bouche et sa main en hurlant "Stop!" j'ai l'impression d'avoir rêvé quand j'ouvre les yeux. Je n'étais plus là mes au 7ième ciel. Il m'aide à me relever et me retourne. Je 'n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que déjà sa queue me taraude. Des coups de reins puissants et rythmés. Il me plaque contre le miroir. Je ne réponds plus de rien. Je jouis encore. Je n'en peux plus. Tout en me défonçant il malaxe mes seins. Il me malmène avec délice. "Alors chienne, tu aimes ça ?" me lance-t-il. "Oui", je gémis. "baise-moi, baise-moi fort!" Alors que je suis toujours en transe de sa queue qui me remplit, il me l'enfonce dans le cul. Il faut que ça s'arrête ou je vais hurler. Il me lime comme jamais. Je sens mon corps en sueur. Je ne suis plus rien. Juste un trou pour satisfaire ses désirs. Et mon dieu que j'aime ça. Soudain sans crier gare il se retire. Et d'un jet puissant il asperge mon cul de son sperme chaud.

    Je ne tiens plus, je glisse et m'effondre de plaisir. "Alors ? tu as aimé ça, chienne ?". "Et même encore plus" je lui réponds en reprenant ma respiration. Je ne sais plus qu'elle jour on est, ni où je suis. Je sais juste que c'est la proie qui m'a tiré. Je peine à me remettre de mes émotions. Il m'aide à me relever et m'embrasse avec une tendresse tout en contraste avec la façon dont il vient de me défoncer.

    "Tu en veux encore ?" me demande-t-il d'un regard séducteur et conquérant. Je hoche la tête timidement pour dire oui. Il me tend sa carte "Viens chez moi ce soir et je te promets que ce que tu viens de vivre n'est que l'apéritif." Quel programme! Nous sortons de la cabine comme si de rien était. La vendeuse nous raccompagne vers la sortie d'un air complice. Sa jupe est encore retroussée. La cochonne, elle avait fermé la boutique et s'était branlé en nous matant."Au-revoir. J'espère que notre boutique a pu vous donner entière satisfaction." dit-elle en ouvrant la porte. "Pleinement" lui répondis-je, "nous reviendrons". "Avec grand plaisir" glissa-t-elle avec malice.

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