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Recit de sexe : sexe en extérieur

Cette histoire de cul vécue par Winter, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
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Code histoire 0137 - Durée : 11 minutes
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    Recit de sexe : sexe en extérieur

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Ça s’est passé il y a quelques jours… C’était le 15 août et comme beaucoup de monde j’étais en congé. Nous devions aller à la plage avec quelques copines, mais à cause de soucis mécaniques sur une voiture, notre petite virée a été annulée. Je me suis donc retrouvée seule chez moi avec Winter. Winter, c’est l’amour de ma vie… Il y a deux ans, j’ai accompagné ma mère à la spa et j’ai eu un coup de cœur pour cette adorable boule de poil. Enfin bref, je ne vais pas m’étaler sur mon amour pour mon petit chien… je ne suis pas là pour ça.
    Il faisait beau et le temps était propice à une promenade. Winter et moi sommes donc allés au parc. Étonnamment, il n’y avait pas beaucoup de monde, mais ça rendait cette sortie plus agréable. C’était calme, paisible. J’en ai profité pour donner un peu de liberté à mon chien et je me suis penchée pour retirer sa laisse. C’est à ce moment que j’ai ressenti une sensation bizarre, comme si j’étais observée. Un craquement de branche m’a signalé que ce n’était pas seulement une impression. Il y avait quelqu’un derrière moi. J’étais seule dans un endroit isolé et mon cœur a commencé à battre la chamade. Avant que la panique ne m’envahisse, je me suis ressaisie et j’ai fait volte face. Un homme me fixait. De taille moyenne, brun, il avait des lunettes qui lui donnaient un côté intello sexy. Il tenait dans ses bras un yorkshire. Je ne sais pas pourquoi, mais le fais qu’il ai un animal à tout de suite apaiser mes craintes (oui, je sais, en y repensant, c’est complètement ridicule). Et puis il y avait chez lui quelque chose de familier, comme si je l’avais déjà vu quelque part.

    - Je suis désolé… Je crois que je vous ai fait peur… s’est-il excusé tout penaud.

    Je ne savais pas quoi lui répondre.

    - Il est trop mignon votre chien. Comment il s’appelle ? m’a-t-il demandé.
    - C’est Winter.

    En entendant son nom, ce dernier a aboyé.

    - Et le vôtre ?
    - Kobalt.
    - Adorable…

    Il a posé son chien par terre et s’est approché de moi.

    - Est-ce qu’on s’est déjà croisé ? l’ai-je interrogé.
    - Vous ne vous souvenez pas ?
    - Euh non…
    - Vous m’avez embauché pour refaire votre salle de bain, il y a trois ans…

    Je me suis soudain sentie très stupide. Il avait passé plusieurs semaines à bosser dans mon appartement et je ne l’avais même pas reconnu.

    - Ah, je me disais bien que je vous avais vu quelque part.

    Il s’est encore approché et a caressé la tête de Winter qui lui a donné un coup de langue en signe de gratitude.

    - Vraiment mignon… a-t-il commenté.
    - Oui, c’est vrai. ai-je confirmé en prenant mon chien dans mes bras et en le serrant contre moi.
    - Qu’est-ce que j’aimerais qu’on s’occupe de moi comme ça… a-t-il soufflé.

    J’ai ressenti une pointe d’excitation en pensant à ce que ses mots sous-entendaient. Nous étions tous les deux, loin des regards et il ne faisait aucun doute qu’il avait les idées mal placées. De légers picotements parcouraient mon entrejambe et un frisson a agité mes muscles. Cela ne m’était jamais arrivé avant, mais là… j’avais une envie de sexe… une envie de faire des cochonneries avec ce type que je connaissais à peine et qui me reluquait de la tête au pied. Le désir déferlait en moi et je ne me voyais pas sortir de ce parc sans qu’il se soit passé quelque chose.
    J’ai pris son chien et le mien et j’ai attaché leur laisse à un arbre, puis je suis revenue vers l’homme dont je ne me souvenais même pas du nom.

    - Vous aimeriez que quelqu’un s’occupe de vous comme ça ? ai-je murmuré.
    - Oh oui putain….

    J’ai baissé les yeux vers son entrejambe. Une érection déformait déjà son pantalon. La vue de cette bosse a décuplé mon excitation et sans aucune gêne, je lui ai collé ma main sur les parties que j’ai commencé à palper. Les traits de son visage se sont crispés. Il avait l’air de se faire force pour ne pas m’arracher mes vêtements et me baiser comme un sauvage. Je suis passée à la vitesse supérieure et j’ai déboutonné sa braguette pour libérer sa verge. Elle était tellement gonflée… Je me suis penchée et j’ai gouté son appétissante friandise, la léchant sur toute sa longueur puis l’enfournant toute entière. Il a empoigné mes cheveux pour m’imposer son rythme. Il a commencé à remuer ses reins puis très vite il s’est agité entre mes lèvres comme s’il était possédé. Il me baisait la bouche, son gland touchait mes amygdales et ça me faisait mouiller… J’ai toujours adoré sucer, mais là… C’était juste incroyable la sensation que me procurait les vas et viens de sa queue contre ma langue. Mon contact chaud et humide était prêt à le faire succomber, alors je l’ai repoussé avant qu’il ne se vide. J’avais encore trop faim pour que nous en restions là.
    Juste à côté, il y avait un tronc d’arbre qui semblait être tombé là pour que l’on s’assoit dessus. Je l’ai désigné à l’homme qui m’a tout de suite compris. Il a baissé son pantalon et s’est assis dessus. Sa queue était bien dressée et je me suis empressée d’enlever mon bas à mon tour pour aller m’empaler sur cette tige. J’étais tellement mouillée qu’en un seul mouvement, elle était au plus profond de moi. Je suis restée un moment figée, appréciant de sentir tous ces centimètres de chair dans mon vagin. Et puis j’ai commencé à bouger, m’appuyant sur mes jambes pour faire monter et descendre mon bassin. Lui a passé mes seins par-dessus mon tee-shirt et a caressé mes mamelons déjà durcis par le plaisir. J’avais l’impression que c’était moi qui avais le pouvoir. Je contrôlais la vitesse et la profondeur comme s’il n’était qu’un jouet sur lequel je m’empalais à ma guise. Il poussait des gémissements rauques et moi, plus je bougeais plus mes plaintes se faisaient fortes, tellement fortes, qu’elles ont attiré un passant. Un type avec un tee-shirt jaune a surgi de nulle part. Je ne sais pas s’il nous matait depuis longtemps, mais en tout cas, il s’est planté devant nous et nous a regardés. J’aurais dû avoir honte, j’aurais dû me rhabiller à toute vitesse, mais ce n’est pas ce qui s’est passé… Pendant un moment, je me suis stoppée… et puis j’ai repris mes mouvements en fixant le nouveau venu droit dans les yeux. Vous savez pourquoi ? Parce que c’était juste trop bon de me faire baiser tout en étant observée. Le voyeur n’est pas resté passif. Sous son short, on devinait qu’il bandait comme un âne et il ne lui a pas fallu longtemps pour sortir sa bite et se branler en nous matant. Terriblement excitée par le contexte, j’ai continué à bouger encore et encore. Mes muscles commençaient à fatiguer, mais je m’en moquais. C’était trop bon, tellement bon que j’avais l’impression de planer. J’ai senti les parois de mon vagin se resserrer autour de la verge sur laquelle je montais et je descendais et puis j’ai joui… violemment… Des spasmes ont agité tout mon corps et c’était divin… Je ne pouvais plus bouger, j’étais paralysée par le plaisir. Alors, mon partenaire s’est retiré de moi. Il s’est redressé pour se positionner face à moi.

    - Ouvre ta bouche… m’a-t-il ordonné.

    Il me parlait comme si j’étais sa chienne et j’adorais ça. J’ai ouvert la bouche et il a frotté son gland sur ma langue tout en se masturbant. Il ne lui a fallu que quelques secondes avant qu’il ne m’asperge de son épais liquide blanc. J’en avais partout dans le décolleté…
    Quand je me suis redressée en m'essuyant la bouche, le mec au tee-shirt jaune avait filé… Et quand j’ai regardé nos chiens, je n’ai pu m’empêcher de sourire. Eux aussi étaient en train de copuler… Ce qui vérifiait le dicton, tel chien, tel maître…
    Après nous être envoyés en l’air comme des sauvages sans aucune pudeur, nous étions gênés et avons échangé quelques banalités, ainsi que nos numéros de téléphone. Il ne m’a pas appelé depuis, et je ne lui ai pas fait signe non plus… J’avoue qu’en y repensant, j’ai un peu honte d’avoir été aussi… chienne… même si jamais dans ma vie, je n’ai pris autant de plaisir.

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