Recit sexe : Sodomisée par un client

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Recit sexe : Sodomisée par un client
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 23/10/2013
Publié le 23/10/2013
Mes nuits au Club Aphrodite se suivent, mais ne se ressemblent pas. Tous mes clients arrivent dans ma chambre avec des histoires et des motivations différentes. Contrairement à ce que j’imaginai à mes débuts, les hommes qui fréquentent ce genre d’établissement ne sont pas nécessairement des dépravés sexuels. Nombre d’entre eux sont simplement à la recherche d’une forme d’affection particulière. Certains profitent du moment d’intimité que je leur offre pour se confier à moi comme ils le feraient avec une assistante sociale ou une psychologue. Quelques uns me troublent, tandis que d’autres me font rire. Dans tous les cas, aucun ne me laisse indifférente !
Ce travail qui devait n’être qu’un simple moyen de subsistance est devenu une réelle source de satisfaction. Je me sens toujours honteuse d’être contrainte de vendre mes charmes pour pouvoir poursuivre mes études. Toutefois, je suis contente que dans mon malheur, je puisse tout de même rencontrer des personnes vraiment intéressantes. L’homme assis sur mon lit compte parmi ceux-ci. Élégamment vêtu d’un costume cintré de couleur anthracite sur une chemise blanche, il ajuste le nœud de sa cravate avant de se lever pour m’accueillir. Il prend mes mains dans les siennes et je peux en apprécier la douce chaleur.
Un sourire radieux fend mon visage, car je dois admettre que j’ai affaire à un très bel homme. Je déglutis silencieusement avant de dire : « Je m’appelle Magali et je suis à votre service.
- Vous m’en voyez sincèrement ravi, se réjouit mon client. »
Sur ces mots, il m’attire vers lui pour me prendre dans ses bras. Son parfum envoûte mes sens et ma gorge devient affreusement sèche lorsque je lui demande d’un ton manquant d’assurance : « Que puis-je faire pour vous être agréable ? » Les lèvres de mon client s’approchent lentement des miennes, puis bifurquent vers mon oreille pour murmurer : « Je souhaite vous sodomiser. » Mon cœur fait un bond dans ma poitrine et une brusque appréhension s’empare de moi. Je me flatte d’être une experte dans l’art de la fellation, mais je n’ai jamais expérimenté la sodomie. Je suis une parfaite novice en la matière !
Je balbutie quelques mots incompréhensibles avant de m’écarter d’un pas en disant : « Je ne suis pas sûre d’être la personne qu’il vous faut. Je n’ai jamais essayé une telle chose et…
- Faites-moi confiance et vous n’en éprouverez que plus de plaisir. Vous avez besoin d’argent, n’est-ce pas ? »
J’acquiesce d’un hochement de la tête, tandis qu’il revient vers moi pour glisser l’une de ses belles mains sous ma jupe. Il palpe la chair de mes fesses comme s’il appréciait la fermeté d’un fruit, puis me demande d’une voix suave : « Seriez-vous assez aimable pour retirer votre string, mademoiselle ? » Je bâts plusieurs fois des paupières avant de m’exécuter. Je me tortille maladroitement pour faire glisser mon sous-vêtements jusqu’à mes chevilles, puis je me bats avec les talons de mes escarpins pour m’en débarrasser.
En me redressant, je remarque que mon client s’est emparé du tube de gel lubrifiant posé sur ma table de chevet. Il me fait signe d’approcher en disant : « Je vous serai gré de bien vouloir vous allonger à plat-ventre sur ce lit. » Sa manière de s’habiller et sa façon de parler m’intimident. Aussi, c’est le cœur battant la chamade que j’obéis à mon client. Ce dernier ne tarde guère à me saisir par les chevilles pour m’obliger à ramener les jambes sous moi. Il retrousse ma jupe en l’enroulant autour de mes hanches. Le rouge de l’embarras me monte rapidement au visage. Dans cette position, je lui offre une vue imprenable sur mon séant et sur ma vulve.
La joue posée sur les draps de satin, je ne peux que deviner le regard de cet homme séduisant. J’entends le bruit caractéristique d’une fermeture à glissière, puis le froissement du tissu. Les secondes qui suivent me paraissent durer une éternité jusqu’à ce qu’une main enduite de gel se pose sur moi. Je frémis à ce contact et la main glisse jusqu’à la raie de mes fesses pour trouver mon anus. Du bout du doigt, mon client en éprouve l’élasticité tout en y introduisant une généreuse quantité de gel lubrifiant. Je me mords les lèvres pour ne pas crier lorsque son doigt s’introduit plus profondément en moi.
Cet index inquisiteur s’extrait de mon rectum, mais son gland se présente aussitôt à l’entrée de mon conduit anal. Les mains de cet homme se referment sur mes hanches, tandis que je creuse les reins pour m’offrir à lui. D’un mouvement lent et régulier, il me pénètre entièrement. Le diamètre de son sexe est nettement supérieur à celui de son doigt. Le gel facilite le passage, mais n’en apaise aucunement l’intense brûlure.
C’est douloureux et je fais preuve d’un extraordinaire effort de volonté pour ne pas hurler. Je refoule mes larmes, tandis que mon client débute un va-et-vient rythmé. Je suis surprise de constater que la brûlure se change bientôt en une forme étrange de plaisir. Mon anus s’assouplit sous les assauts qui progressivement, se font plus puissants et plus rapides. Une sensation proche de l’orgasme s’empare de moi ! Je ne savais même pas qu’il était possible de jouir par le fondement. C’est une découverte déroutante !
L’homme ne tarde guère à se répandre en moi en poussant un grognement. Il demeure fiché dans mes chairs quelques instants avant de se retirer. Je reprends mon souffle, puis j’étends mes jambes et roule sur le dos. Mon client s’est déjà rhabiller et je le surprends à jeter un mouchoir en papier dans la petite poubelle de chambre se trouvant au pied de ma table de chevet. Il ajuste la veste de son costume sur ses épaules, puis hausse un sourcil en me toisant de toute sa hauteur. Incapable de savoir quelle attitude adoptée face à un tel homme, je me contente de lui sourire timidement.
Il plonge une main dans une poche de son pantalon et en sort une carte de visite. Il baisse les yeux sur celle-ci, puis hausse les épaules avant de me la remettre. Il me souhaite une bonne nuit, puis quitte la chambre sans ajouter un mot de plus. Je jette un rapide coup d’œil à la carte de visite où figure le nom équivoque de Boite aux Masques et une adresse perdue dans la Flandre belge.
C’est seulement le lendemain matin que je découvre sur Internet que l’établissement en question est un club d’échangisme !


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Corrigé et résumé par Dialogue69 le 11/11/2013
Publié le 11/11/2013
Magali qui travail dans un club pour adulte (une maison close) en Belgique, nous fait part qu'elle a couché avec l'une de ses collègues.
Une chose est certaine, Magali a l'air d’apprécier son travail et nous on apprécie sa manière de nous le raconter. - 542
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Corrigé et résumé par Dialogue69 le 08/10/2013
Publié le 08/10/2013
Oups, une jeune femme travail dans un club belge, un bar à pute en quelque sorte, et c'est avec son cousin qu'elle se retrouve nez à nez.
Cela ne s’appellerait pas de l'inceste ?
Au passage je dois dire que Magali écrit très bien, elle ferait des études dans la littérature que ça ne m’étonnerai pas.
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!