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Histoire de sexe : Soirée de Saint-Valentin

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : Soirée de Saint-Valentin

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Hello tous !
    Mes ami(e)s m’ont reproché de ne parler que de sodomie dans les histoires que je vous raconte (est-ce ma faute si je n’arrive à l’orgasme que par là, en plus du cunnilingus ?). J’ai donc pris le parti de vous raconter quelque chose de moins hard et de véritablement plus doux : une soirée romantique. Enfin presque : la Saint-Valentin de jeudi.
    Mon copain devait venir me chercher au travail vers 19h30 afin que nous allions manger dans un restaurant sur le port (je rappelle que nous vivons à Barcelone). Il avait réservé une table, commandé des roses, bref une soirée comme dans les comédies romantiques américaines était prévue. Nous avons commencé une balade ultra-romantique sur la plage, mais comme il y avait beaucoup de vent qui venait de la mer, je l’ai entraîné entre deux baraques pour nous protéger. Il m’a abritée avec lui dans son manteau et nous sommes restés là longtemps à regarder la lune. Au bout d’un moment, frigorifiée, j’ai passée les mains sous son pull et nous nous sommes embrassés longtemps. Mais, vous commencez à me connaître, je n’ai pas pu m’empêcher de faire descendre ma main gauche sur son jean pour le caresser doucement. Il a pris ma main et l’a retirée pour la remettre sous son pull. Je pensais que c’était un jeu donc j’ai continué à le caresser sous son pull. Au bout d’un moment, j’ai frotté ma cuisse entre ses jambes : il l’a gentiment repoussée. Je commençai à me demander ce qui se passait, alors j’ai lâché sa bouche et je suis carrément descendue, accroupie, pour embrasser son sexe à travers son jean. Même scénario : il m’a saisie par les épaules pour me remonter.
    « Mais qu’est-ce qui se passe à la fin ?
    - Ecoute ! Un homme n’est pas toujours focalisé sur son activité sexuelle. Je veux que nous passions une VRAIE soirée romantique SANS que tes prouesses sexuelles ne viennent perturber ça ! »
    Je dois vous avouer que j’étais sonnée. Ok ! bon, rien ce soir. J’étais tellement vexée de m’être fait grondée comme une petite fille que nous sommes rentrés en silence. En arrivant à la maison, je boudais. Je me dirigeai vers la salle de bain.
    « Tu vas où ?
    - Dans la douche.
    - Tu m’attends ?
    - (Je me suis retournée pour crier) Alors ça il n’en est pas question ! Tu restes tout seul ! Laisse-moi prendre la douche tranquille ! »
    Il a haussé les épaules et je suis entrée dans la douche, en prenant bien soin de verrouiller la porte derrière moi. C’était délicieux de sentir l’eau chaude me couler dessus. J’ai entendu la porte taper « Allez ! Laisse-moi entrer ! –NON ! »

    L’eau chaude ! La fleur de douche comme une caresse ; les sels de douche qui sentent bon. Et ma colère qui commençait à se transformer en libido (n’est-ce pas le meilleur moyen de passer sa colère ?). Tout doucement, je me suis savonné les seins pour que ça glisse, les caressant tendrement au passage ; puis les fesses, les cuisses. J’aventurais mes doigts un peu partout, très rapidement. J’ai rincé tout le savon et j’ai continué à faire couler l’eau chaude sur moi. Mmmmm ! la chaleur de l’eau… J’ai réglé le jet d’eau sur « jet fort » et je l’ai rapproché à bonne distance de mon pubis. J’ai doucement écarté les lèvres de mon sexe avec mon pouce et mon index gauches et j’ai orienté le jet d’eau directement sur mon clitoris, tout en me caressant l’entrée du vagin avec le majeur. Je commençai à gémir. J’arrivai doucement mais sûrement au plaisir le plus intense. Je fermais à demi les yeux, je me laissais aller. Tous les doigts de ma main gauche excitèrent l’entrée de mon vagin qui s’ouvrit de plus en plus. Le jet d’eau continuait à chatouiller mon clitoris. Je retirai ma main gauche pour me caresser les seins, et je portai mon téton gauche à ma bouche (je vous rappelle que j’ai des seins suffisamment gros pour pouvoir faire ça !). J’agitai le jet d’eau en allers-retours du point G au clitoris et je gémis de plus en plus fort. C’était le moment : je remis mes doigts gauche à faire des allers-retours dans mon sexe pendant que le jet d’eau faisait son boulot et que mon corps tout entier se tendait, tous nerfs à fleur de peau. Orgasme ! « Haaaaaaaaannnn ! »

    Dernier gémissement, retour à la douche, retour dans la chambre. Mon copain : « C’était bien ? je t’ai entendu ! » Je le regardai avec mépris, haussai les épaules et me couchai en pyjama. Je ne vous raconte pas la créativité dont il va devoir faire preuve pour se faire pardonner !

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Commentaires

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Posté le par evamcsherry :
Bien fait pour lui!
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