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Histoire de sexe : Stephanie la cochonne
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1Histoire de sexe : Stephanie la cochonne
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 03/08/2024
Publié le 03/08/2024
Salut, je publie en auto-édition des livres érotiques sur des plateformes. En surfant sur le web, je suis tombé sur dialogue69 et je me dis pourquoi ne pas essayer de devenir auteur ici.
Pour ce faire, je vais raconter ma propre histoire parmi mes nombreuses parties de plaisirs sexuels que j'ai eu en guise de partager une histoire tirée de la pure fiction.
Je me présente, je m'appelle Jean, brun mais crâne rasé, au moment des faits, j'avais 32 ans. Je suis informaticien de profession mais je suis e-commerçant comme préoccupation financière. Je suis haïtien. Je mesure 1,80m pour 140 kg de muscle, merci de faire du sport, je m'entraîne beaucoup. Pour ce qui est de ma bite au maximum de son érection, 25x7cm.
L'une de mes préférées histoires de sexe personnelle est celle avec une fille nommée Stéphanie. Elle est très ravissante, mesure environ 1,70m, de longs cheveux noirs, ses grands yeux marrons, sa bouche est l'un de ses plus grands atouts de séduction. Sa voix est douce et elle est très affectueuse. Elle est aussi Haïtienne. Elle a connu plusieurs hommes dans sa vie à l'instar d'une prostituée privée, je dis ça mais c'est sans préjugé. Elle menait cette vie comme prétexte afin d'assouvir aux besoins de sa mère maladive et à ses propres besoins.
C'est un moment que j'ai ADORÉ, superbe expérience.
On s'est rencontré un soir, j'étais en congé. Je me suis permis d'aller boire un verre dans un bar pas trop loin de mon quartier. Elle était accompagnée d'une amie. J'ai d'abord pris le temps de vérifier si réellement elles étaient seules ensuite j'ai demandé la permission de les rejoindre, ce qu'elles ont accepté avec le plus grand plaisir. Son amie Johanne a de gros seins mais elle est moins belle. Du coup, Stéphanie était ma véritable cible.
Après quelques échanges, son amie a vite compris que nous étions près à passer à l'action. Elle nous a signalé qu'elle devrait rentrer chez elle, puis elle a embrassé son amie Stéphanie pour nous quitter dans un tête à tête. Nous avons abordé ensemble des sujets sur le sexe et peu de temps après nous avons eu quelques attouchements de complicité.
Elle m'a embrassé contre toute attente et ainsi elle a commencé à m'enflammer. Déjà, en érection, je lui ai fait savoir l'état de ma situation en lui montrant le monstre sous mon pantalon. Elle a souri en se mordillant ses belles lèvres sucrées et m'a demandé avec une douce voix charmante :
Elle : Comment puis-je bien t'aider dans une telle situation cher monsieur ?
Moi : Comme bon te semble madame.
Elle : Je pense pouvoir t'aider d'une façon particulière mais ce ne sera pas possible ici.
Moi : Je connais un endroit sympa…
Elle : On fait quoi alors ?
Moi : Partons d'ici.
Elle a vite pris sa petite bourse et son téléphone pour m'accompagner au parking où je me suis garé. Nous sommes arrivés dans un hôtel 15 minutes plus tard. Nous avons pris une chambre sans plus tarder et commencé à s'embrasser sauvagement comme si nous n'attendions que cela tous deux depuis un bail.
Je l'embrasse alors avec force tout en lui tenant les bras. Elle ne peut pas bouger mais elle me rend mon baiser avec encore plus de fougue que celui que je lui ai donné.
J'abandonne un de ses bras pour pouvoir lui caresser, je me colle à elle pendant que ma main lui prend par le cou puis descend doucement vers ses seins. Je les palpe à tour de rôle, faisant rouler ses pointes entre mes doigts par-dessus le tissu de son haut.
Mon sexe à travers le jean est collé à son ventre. Elle peux sentir la dureté de mon envie sur son nombril. Elle pose une de ses mains sur mes hanches pour me serrer encore plus contre son corps. Ma respiration devient saccadée tellement la tension sexuelle devient étouffante. Ma main pénètre doucement sous son haut noir et viole l'intimité de son soutien gorge.
La douce peau de ses seins me met dans un état indescriptible. Son souffle devient plus rapide, elle arrête de m'embrasser pour profiter de cette caresse intenable. Sa tête, posée sur mon épaule, me permet de sentir dans mon oreille la chaleur de sa respiration. Ma main caresse désormais franchement sa poitrine et libère un de ses seins.
Ma bouche ne tarde pas à s'occuper de celui-ci, ma langue sur son téton provoque chez elle une série de frissons. Ses ongles commencent à se planter dans ma chair, symbole du plaisir que je lui procure véritablement.
Pendant ce temps, ma main gauche s'occupe de son sein gauche et ma main droite défait un à un les boutons de son jeans. Lorsque celle-ci a fini sa tâche, elle glisse lentement vers sa vulve gonflée de désir.
Elle est trempée, des gouttes de son intimité perlent le long de ses cuisses…
De quelques mouvements nous nous sommes retrouvés nus. Et d'un mouvement assez brutal et osé elle m'a poussé sur le lit, je suis tombé sur le dos et tout à coup elle me chevauche et me gifle en poussant un grand éclat de rire cimme une folle. Cet action m'a laissé tout penaud au début mais lorsqu'elle s'est rapidement mise à me caresser je frissonnais de plaisir ardent sous l'effet de ses inédites caresses.
Elle m'a ordonné de ne pas bouger car elle va bien s'occuper de moi en caressant de la tête aux pieds. Ses douces mains parcourent mes fiers pectoraux puis mon abdomen en atterrissant finalement sur ma bite déjà bien trop en érection.
Toujours avec une folle sourire aux lèvres, elle saisi d'une main mon engin de 25×7 cm bien dur et la lèche tendrement avant de la filer dans sa bouche puis en faire une pleine gorge.
Que c'était bon !
En cet instant encore je ressens ces folles sensations extrêmement torrides rien qu'en les décrivant. Après cette gorge profonde avec ma bite, c'était le tour de mes testicules. Peu de temps après ce serait le tour de mon anus. Elle a dirigé sa langue vers cet orifice comme je l'aurais fait à son clitoris, elle s'est bien occupée de mon anus. Et c'était la toute première fois que j'ai reçu un tel plaisir dans cette partie de mon corps. On appelle ça "oignon" en Haïti le baiser noir ou anulingus. Je dois avouer que j'ai connu le plaisir de tous les plaisirs au monde en recevant mon premier "oignon" (anulingus).
Après un certain temps, elle est montée sur moi en s'asseyant sur le duc de mon corps charnel. La pénétration s'est faite lentement selon sa volonté car c'était elle la maîtresse de cette cérémonie. C'est elle qui menait le jeu. Elle me chevauche en faisant très sensuellement un mouvement des reins accompagné d'un aller retour hors du commun. Ses cris me laissent croire qu'elle est tout aussi aux anges, comblée par autant de plaisirs infernaux.
Après une vingtaine de minutes, je lui ai fait signe d'un changement de position, ce qu'elle a approuvé. Je l'ai mis à 4 pattes pour un doggy style infernal puis je la pénètre comme un sauvage. Pendant que mes coups de reins se font accélérer, je lui ai pris par les cheveux en la forçant à regarder vers le plafond.
Plusieurs coups de reins ont eu lieu avant que je ressente une forte sensation de mon éjaculation qui arrive. Je lui dis que j'arrive et elle m'a demandé de lui verser tout sur le visage ce que je n'ai pas hésité de faire. Je me suis déversé sur le visage en poussant un grand cri de plaisir. Elle s'est fait un masque avec le sperme en appliquant tout sur le visage. C'est là que j'ai su qu'elle était une vraie cochonne.
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Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
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