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Histoire erotique : Surpris en pleine masturbation
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2Histoire erotique : Surpris en pleine masturbation
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 01/11/2024
Publié le 01/11/2024
J'aime venir sur ce site lire vos histoires et vous imaginer, mesdames, nues, vos corps, vos poitrines, vos sexes, épilés ou non, tendus et crispés, sous vos caresses ou celles de vos amants et amantes, les pénétrations de doigts, objets ou sexes. Ces mots et ces images suscitent de l'excitation, du désir et un sentiment un peu pervers de voir la vie humide et agitée d'autres personnes. Elles donnent un aperçu de ce que l'on aimerait avoir l'occasion de voir et d'entendre plus souvent que lorsque des voisins font bruyamment l'amour et dont les échos se répercutent sur les murs de la résidence ou lorsque vous surprenez vos compagnes ou votre compagnon, votre colocataire, en pleine séance de masturbation.
Je vous écris aujourd'hui pour vous raconter une de mes anecdotes. Elle est simple, banale, une histoire de masturbation en pensant à vous qui écrivez sur ce site, dans l'espoir de vous rendre hommage et vous dire à quel point, souvent, on aimerait être à vos côtés pour vous voir, parfois plus que ça. Une envie de dire aux femmes qui écrivent ici à quel point vos récits sont plus beaux et excitant que certains grossiers et fabriqués. Le mien sera plus court, à l'image de moments parfois lorsque l'on vous lit et que vos mots nous capturent et nous emportent.
Ces derniers mois c'est le calme plat dans mon couple, nous faisons peu l'amour, sous quelque forme que ce soit, la frustration s'accumule donc et le nombre de séance de masturbation sont proportionnelles à celle-ci. Je suis un homme donc, à peu près un mètre quatre-vingts, quatre-vingt-cinq kilos, plutôt musclé, sportif mais pas trop et surtout j'aime la lecture et l'écriture.
J'étais donc en train de lire une de vos histoires, une femme racontant ses aventures un peu exhibitionnistes mais surtout très excitante. J'aime laisser l'excitation monter, le flux sanguin et mon imagination bouillonner. Je la sens rugir en moi et mon sexe grossir dans mes sous-vêtements. La chaleur dans mon boxer devient étouffante et il est rapidement nécessaire de libérer le phallus qui se forme prend de la place dans ma main et appuie de tout son poids dans ma paume. Dans mon autre main je serre et caresse mes bourses de manière hachée et saccadée, comme elle. J'ai presque la sensation qu'on se regarde faire. Ce n'est pas pratique et il faut parfois que je m'interrompe pour continuer à lire ces mots aussi érotiques.
La jeune femme dont je lisais l'écrit en était à une séance de masturbation intense sur son lit, caressée seulement par sa libido, une brise estivale et le regard de son voisin. Nous nous masturbions à l'unisson, le liquide pré-séminal s'écoulait sur mes doigts alors que ma verge grossissait à vue d’œil, dépassant de plus en plus entre mon index et mon pouce. Elle se caresse le clitoris, trois doigts naviguant furieusement à sa surface, je la vois presque ses deux bras tendus, le bas de son dos légèrement arqué, sa poitrine bougeant au rythme des saccades qu'elle imprime à son corps. Son souffle discret mais marqué, les légers gémissements qu'elle ne peut s'empêcher de laisser échappait. Elle me fait penser à une amie chez qui un soir j'ai dormi et que j'avais surpris dans une position similaire. Mon sexe à l'époque avait réagi vivement, ma main avait trouvé d'elle-même le chemin de mon bas ventre et sans bruit je m'étais caressé.
Assis sur ma chaise d'ordinateur je laissais mon dos s'appuyer sur le dossier et mes fesses glisser. La tête me tourne légèrement. Excitation, chaleur, mon imagination, voir dans mes pensées cette femmes accélérer son mouvement et une douloureuse envie d'être avec elle, pour l'aider à accomplir son irrépressible besoin, lui dévorer la peau, la lécher, la baiser et jouir avec elle. De la manière qu'elle désire. Il fait chaud, j'ai enlevé mon T-shirt, mon tore et couvert de sueur due à l'excitation, les mouvements répétés et la chaleur ambiante, moite. Je porte un pantalon de coton fin large et ample qui me permettais au départ de simplement glisser ma main à l'intérieur mais à force de lecture, à force d'images et de son imaginés, à force d'excitation ça ne suffit plus. Mon sexe est plutôt gros, je pense, je ne l'ai jamais mesuré mais il dépasse ma main qui est assez grand elle aussi je ne peux donc pas le branler confortablement sous une couche de tissu aussi fine soit-elle.
Il faut qu'il soit à l'air libre, les rideaux, de toute façon, sont tirés pour nous protéger du soleil. Ma compagne fait la sieste.
Je suis seul avec cette femme qui livre son récit à mes yeux et mon esprit. Seul avec cette femme qui avec quelques lignes arrive à provoquer chez moi des élans d'excitation brûlants. Une envie dévorante de jouir, sans me cacher ou avoir honte, simplement laisser couler mon sperme et apprécier la sensation de relaxation qui suivra.
Je la vois cette femme, blonde ou brune, mate de peau ou blanche, aucune importance, elle est belle, nue sur son lit, les mains sur son sexe et sa poitrine.
Je ne la connais pas. J'ai envie d'elle.
Envie de la regarder, de m'allonger à ses côtés, de la toucher, la lécher, la mordre et la prendre, avec douceur et avec énergie. J'ai envie de passer mon sexe sur ses mamelons, son ventre sa bouche et ses joues. J'ai envie de sentir le sien se promener sur le mien et se poser sur ma boucher, le lécher et le titiller, le caresser et le doigter. Et enfin exploser sur elle ou en elle.
J'en étais à l'apogée de mon excitation, je sentais l'orgasme venir dans un glorieux moment qui jaillirait entre mes doigts et s'écoulerait sur ma main et pendant lequel je m'imaginerais l'entendre, la voir, la sentir s'arquer, se contracter, sa respiration s'accélérant, sa poitrine se soulevant, son vagin de se contractant autour de se gode lorsque j’aperçus ma compagne m'observant silencieusement, une main glissée dans son mini short.
La coquine jouissait elle aussi, debout, légèrement appuyée contre le mur.
Je vous laisse mesdames, vos écrits et mon excitation m'attendent.
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