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Recit sexe : Touche-moi

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    Recit sexe : Touche-moi

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    masturbation


    Ma bouche a parlé sans que je puisse retenir le gémissement de désir apeuré. Oui touche moi. Touche-moi où je ne me retiendrais plus. Touche-moi où je t'arrache moi-même aux bras de mon frère. Touche-moi où je perds la raison et je ferai des bêtises devant tout le monde. Touche-moi où je sens qu'aux repas sous la table mon pieds ne s'arrêtera plus à caresser ta cheville en te dévorant du regard, mais qu'il se posera sur la chair délicate de ton sexe et que je te ferai rougir si fort que tout le monde le verra. Touche-moi.
    Elle passe sa main dans mes cheveux. J'ouvre les yeux et je l'attire violemment contre moi. Je mords ses lèvres. Je plonge ma langue dans sa bouche. Je sens son corps parfait qui se presse contre moi. Ses seins qui rencontrent les miens. Je mords son cou. Elle gémit doucement. Oh ce gémissement produit un torrent entre mes jambes. Je la vois, se détachant dans le sombre de la chambre, à califourchon sur moi, frottant son sexe contre le mien. Je gémis à mon tour. Je n'ai pas l'habitude d'être discrète. Elle plaque sa main sur ma bouche. Ça m'excite. Mon frère est dans la chambre à côté et sa copine est en train de plonger ses doigts en moi. Je mords sa main pour ne pas hurler de plaisir. Cela faisait si longtemps. Si longtemps que j'attendais ce moment. Je perds le compte des doigts qu'elle plonge en moi, elle les agite au fond de moi. Je la sens partout. J'attrape son sein gauche entre mes lèvres. Je suce son téton jusqu'à ce qu'il durcisse sous ma langue. Ses cheveux ne parviennent pas à cacher son visage de jouissance. Elle approche sa bouche de mon oreille. Son sein trempé dessine des spirales sur mon corps. Je sens ma chatte se resserrer autour de ses doigts. Elle murmure mot à mot à mon oreille, entrecoupée par des soupirs de plaisirs.

    "Tu aimes ça alors ? Quand je plonge mes doigts profonds comme ça en toi ? Comme ça ? Encore ? Tu n'es jamais rassasiée toi... comme ton frère..."

    Qu'elle parle de mon frère m'excite encore plus. Comme un défi. La posséder elle. La faire jouir plus fort que lui. Je l'imagine la pénétrer. Je la vois gémir. Je la plaque contre le matelas, sur le dos. A moi. J'approche ma bouche de son sexe. Je vois son désir liquide. Je tourne du bout de la langue autour de son clito. Je vois son corps qui tremble déjà. Je le suce doucement. A-t-elle de ne pouvoir retenir sa voix. Je veux la faire crier si fort que mon frère se réveille. Je veux la faire jouir si fort qu'il entre dans la chambre. Je veux qu'il la voie nue sur le dos, les jambes repliées vers elle en train de hurler mon prénom et moi nue, le dos cambré, ses mains dans mes cheveux pressant ma bouche contre son sexe trempé.

    Le bruit de quelqu'un qui toque à ma porte me fait brusquement ouvrir les yeux et le charme se rompt. Retour à la réalité, j'ai trois doigts dans mon sexe trempé, et de l'autre main je me pince le téton droit.

    "J’entre !"

    J'ai à peine le temps de recouvrir le bas de mon corps avec la couette, pour cacher mes doigts qui ne peuvent s'arrêter de s'agiter en moi. Le plaisir est si grand. Si proche. Voilà qu'elle rentre. Elle que je baisais avidement dans mes rêves. Le rouge me prend. Je suis à moitié nue dans mon lit. Elle me regarde un sourire en coin.

    "Je venais juste chercher le livre que je t'ai prêté."

    Elle n'a aucune gêne. S'approche de mon lit où est resté le livre. Je sens son regard sur mon corps excité. Il s'attarde sur ma poitrine, mes seins qui pointent vers elle, fous de désir. Puis elle plonge ses yeux dans les miens et chuchote en se penchant juste assez pour que je devine le rond parfait de sa poitrine.
    "Merci."

    Puis elle se retourne, repars, s'arrête à la porte de dos, comme pour m'offrir la vision de ses fesses à peine cachées par son minuscule short de pyjama. Je sens l'orgasme monter. Mes doigts vont et viennent à l'intérieur de moi. J'imagine ma tête entre ses fesses. Ma langue qui la pénètre. Mes lèvres s'ouvrent malgré moi pour pousser un cri, c'est à ce moment-là qu'elle se retourne vers moi et murmure :

    " Je t'ai entendue gémir mon nom."

    Son regard me transperce. Je jouis.

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