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Recit X : Un agent de sécurité et une petite voleuse

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    Recit X : Un agent de sécurité et une petite voleuse

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Espionnée dans la cabine d'essayage

    Je profite de mon statut d'agent de sécurité pour baiser une petite voleuse

    Je suis Romain, j'ai 27 ans et je suis agent de sécurité.
    Je travaille en ce moment comme vigile dans une grande surface et je peux vous dire que ce métier n'est pas simple tous les jours.
    On passe son temps à espionner les gens, à suivre parfois les mauvaises personnes et à rater les bonnes...à faire du vol à l'étalage notre cheval de bataille et à se choper des tendinites la plupart du temps lorsque les magasins que nous surveillons se trouvent sur deux étages sans ascenseur.

    Heureusement que nous avons parfois des distractions, plus ou moins litigieuses et pas souvent trop légales, mais amusantes quand même.

    L'autre fois, mon pote de taf Cyril a par exemple placé une mini caméra en haute définition dans les cabines d'essayage.
    Ce n'était que par pur objectif professionnel, pour surveiller les vols de soutifs et de vêtements en tout genre...Sauf qu'on passait notre temps à nous branler tous les deux devant certaines nanas super bien foutues qui essayaient les dessous coquins.

    Aujourd'hui je suis tout seul pour assurer la surveillance et choper les délinquants.
    Cyril est malade et personne pour le remplacer.
    Je dois donc passer de temps en temps au centre des moniteurs pour surveiller les caméras tout en faisant ma ronde dans les rayons du magasin pour tenter de dénicher les fraudeurs au petit bonheur la chance.
    En milieu d'après-midi, je remarque une jeune blondinette qui à la vingtaine.
    Ce n'est pas son agissement qui me m'incite à m'intéresser à elle de plus prêt, mais plutôt le fait qu'elle ait un cul bombé de déesse, bien moulé dans une mini-jupe.
    Cette minette me l'affiche en gros plan à chaque fois qu'elle le fou en bombe face à la camera, pour se baisser afin de chercher des produits hygiéniques en bas des rayons.
    Je n'ai même pas le temps de bien voir sa gueule que j'ai déjà une trique à travers le pantalon.
    Un cul comme ça, on le voit que dans des films pornos ou des dessins animés japonais. Je me voyais déjà en train d'y fourrer ma langue puis de le lui péter contre les boites de conserve.

    Je me ressaisis, tente de me calmer et d'adopter un comportement professionnel.
    De toute évidence, je commence à éprouver un manque sexuel flagrant, mais il ne faudrait pas que cela mette en danger mon poste actuel et mon emploi.
    Si jamais le directeur rentre dans le local de surveillance et me voit avec une trique infernale en train de mater un cul du feu de dieu en zoom sur les moniteurs...je ne donne pas cher de ma place...

    J'essaie de me calmer et dirige mon regard vers un autre moniteur qui filme deux petits vieux en train de comparer les prix sur des paquets de biscottes.

    Quand tout à coup, mon regard se retrouve à nouveau attiré sur la caméra de la blondinette.
    Elle est en train de balancer une boite de tampons dans son sac à main la petite coquine !
    J'en arriverai presque à la remercier de voler.
    Ça va me donner l'occasion de l'intercepter et de lui faire un peu peur.
    Ça me permettre également d'en savoir un peu plus sur cette petite chaudasse qui me fait triquer grave sans même me toucher.

    Elle passe la caisse avec un paquet de bonbons qu'elle règle et continue son chemin comme si de rien n'était.
    De toute évidence, elle avait réussi à retirer l'étiquette de sécurité sur la boite puisque le portique n'a pas sonné.
    Mais je fais confiance à ce que j'ai vu. Je me dirige vers elle, me positionne devant elle et l'interpelle dans les règles de l'art.

    « -Bonjour, mademoiselle, puis-je contrôler vos achats s'il vous plaît » ?

    La fille commence à rougir.
    Elle me tend le ticket et son sac en plastique avec son paquet de bonbons a 2 balles. Je lui demande alors d'ouvrir son sac à main.

    Elle n'avait pas qu'un cul parfait ! La voyant de plus près je pouvais constater qu'elle avait aussi une sacrée belle paire de nichons et un joli petit minois avec des petites taches de rousseur qui lui donnaient tout son charme.

    Je croise vite ma veste pour éviter qu'on voie que je me remets à bander comme un taureau et l'invite cordialement à m'accompagner dans le local de sécurité après avoir constaté qu'elle avait bel et bien volé le paquet de tampons.
    Elle me suit sans faire d'esclandres en marchant devant moi, qui ne peux pas lâcher du regard ce cul phénoménal qui se dandine sous ma surveillance des plus vigilantes !
    Nous entrons dans mon local, je ferme la porte et l'invite à vider complètement son sac sur le bureau pour voir si elle n'a rien caché d'autre.

    Elle s'exécute.
    Je la réprimande et lui explique la procédure classique qui va s'en suivre.

    « -Mademoiselle, soit vous réglez le paquet de tampons que vous avez volé, soit je suis dans l'obligation d'appeler la police pour leur déclarer votre vol »

    La fille se met alors à paniquer légèrement....
    « -S'il vous plaît , ne faites pas ça, mon père est justement policier ici et ça risque de le mettre vraiment mal à l'aise. »
    « -Ça mademoiselle, il fallait y penser avant de tenter de voler ce gros paquet de tampons ! Vous avez de l'argent sur vous ? »

    Elle prend son prote-monnaie et l'ouvre devant moi. Vide.
    De toute évidence, les deux seuls euros qu'elle avait étaient juste là pour organiser son larcin.
    Je me dirige vers le téléphone et lui annonce que je n'ai pas d'autre choix que d'appeler la police.

    Elle pose alors sa main sur la mienne, pour m'empêcher de décrocher le combiner et me dit un truc plutôt surprenant.
    « Je n'ai pas d'argent, mais j'ai bien vu comment vous me reluquiez lors de votre interpellation...peut-être que je peux vous proposer autre chose pour qu'on oublie cette affaire ? »

    Je fais un pas en arrière, prends un air fier et lui déclare que je ne mange pas de ce pain-là...On se serait sûrement cru dans un mauvais film de cul tellement je ne devais pas être crédible à ce moment précis.
    La minette de 20 ans commence alors à poser sa main sur ma braguette et effleurant mon sexe qu'elle sent déjà bien gonflé. Elle me demande ensuite :
    « -C'est quoi que vous préférez chez moi ? Ma bouche ? Mes seins ? Mon cul ? »

    Je commence à sentir quelques gouttes de sueur perler sur mon front...
    Ma bite me serre de plus en plus dans le pantalon.
    Je lui dis avec assurance un truc du style « vous avez un cul magnifique ma toute belle ! À croquer ! »

    Elle se retourne alors, fais glisser sa culotte et la pose sur le bureau.
    Elle se fou à quatre pâtes sur le sol, cul face à moi et remonte sa petite jupe pour me montrer son royal fessier bien bombé et sa belle petite chatte fraîche bien rasée de près.

    « -Faites de mon cul ce que vous voulez en échange de me laisser partir ensuite sans que je sois inquiétée ! »

    Je n'en crois pas mes yeux.
    J'aurai vendu ma mère quelques minutes auparavant juste pour toucher ce divin cul et le voilà offert à mon bon vouloir, totalement ouvert à tous mes fantasmes.

    Je trouve le deal plus qu'intéressant.
    Je m'agenouille alors derrière elle et commence à approcher ma bouche de ses fesses.
    Je les embrasse tendrement. Elles sont si douces, si parfaites.
    Je commence à les lécher avant de les malaxer puis me permets une petite intrusion discrète de ma langue dans son petit trou du cul.

    Elle gémit et semble apprécier ça.
    Je continue alors en lui faisant un pétale de rose de feu.
    J'extirpe ma bite qui n'en peut plus d'être si compressée dans mon futal et commence à la diriger vers ce petit trou.
    Je souffle de plus en plus fort, sentant l'excitation monter.
    J'approche alors mon gland de son anus et tente de le rentrer en douceur.

    Elle ne se refuse pas à mon ambition de vouloir l'enculer. De toute évidence j'ai carte blanche pour faire ce que veux, à partir du moment où je ne salis pas l'honneur de son papa en appelant ses copains flics !

    Et bien je vais t'enculer ma beauté ! Je suis tellement excité que ça ne dura certainement pas trois plombes.

    Ma bite s' insère au fond de son petit cul et je commence à lui balancer des coups de reins de plus en plus rythmés.
    Mes boules viennent frapper sur sa chatte alors que ma queue se fraie un chemin de plus en plus dans cette cavité lisse, humide et chaude, dans l'intérieur de son cul.
    Je crois que je vis le fantasme de tous les vigiles qui ont dû croiser la route de cette petite garce.
    « -Tu ne voleras plus hein vilaine ? » lui demandai-je alors pendant que je l'enculais de plus en plus fort.

    « -non monsieur ! Je suis bien punie ! Je ne recommencerai plus ! »
    Intérieurement je souhaitais qu'elle recommence aussi souvent que possible.
    Surtout si c'était moi qui la choppais !
    Elle est là, à quatre pâtes au sol en train de prendre du plaisir à se faire reluire la turbine à chocolat et à y prendre plaisir.
    À croire qu'en fait c'est tout bénef pour elle !
    Elle couine de plus en plus fort au fur et à mesure que je lui pilonne le joufflu. Je suis même obligé de parfois lui mettre la main sur la bouche pour l'empêcher de faire trop de bruit et éveiller les soupçons des caissières ou du directeur qui possède son bureau pas trop loin d'ici.
    Je suis bien en elle ! Je la domine, je suis le chanceux qui a gagné le ticket d'entrée dans ce cul digne des plus belles stars du x !
    Le spectacle est trop excitant !
    Je sens que je viens et je ressors vite ma teub qui ne tardera pas ensuite à éjaculer sur son joli petit cul.
    Le sperme chaud dégouline le long de ses cuisses, je lui tends un mouchoir qu'elle saisit pour s'essuyer.
    Elle récupère sa culotte sur le bureau, la remet et range calmement ses affaires dans son sac à main.

    J'ouvre la porte en me rhabillant rapidement et en lui déclarant d'un ton solennel.
    « -Vous pouvez y aller mademoiselle. Je tire un trait, mais que je vous y reprenne plus ! »
    Elle passe devant moi pour sortir, et me déclare :
    « -ça dépend, vous êtes en poste ici tous les vendredis c'est bien ça ? »

    Puis elle me fait un clin d’œil avant de partir au loin en faisant rouler avec charme son beau cul qui lui a valu de ne pas finir au commissariat...


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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
j ai adoré ton histoire de cul j attends une autre
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