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Histoire de sexe : Un fantasme vivant, ce mec !
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9Histoire de sexe : Un fantasme vivant, ce mec !
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/11/2015
Publié le 09/11/2015
Le mec qui m'a le plus excité au monde ressemblait à Elvis. Il bossait dans la même entreprise que moi et chacune de ses apparitions me donnait des suées. Il était grand et baraqué. Il avait les cheveux noirs, bien gominés avec une super banane. Il avait les joues creuses et les lèvres épaisses. Il portait bien sûr le blouson de cuir et les tiags à bouts recourbés. Ses jean's lui collaient au cul et au paquet. C'était un vrai rocker et moi je fantasmais comme un dingue. Je ne savais même pas son nom. Tout ce que je voulais, c'était me le tirer. En fait, j'étais même persuadé que c'était pas possible. Je voyais mal ce mec-là emboucher un zob et le pomper à fond. Quand même, des fois, on se trompe !
Un jour, il est arrive ce truc auquel je ne m'y attendais pas. Il est quatre heures de l’après-midi, et je prends ma pause pipi. Je vais dans les chiottes, j'ouvre une porte au hasard, et qu'est-ce que je vois ? Mon rocker est assis sur la cuvette et il se branle. J'en suis pantois. Le pire, c'est qu'il s'est entièrement dessapé à part ses tiags et son blouson. Il me fait un signe de tête agacé.
- Entre ou tire-toi !
Je n'étonnerai personne en disant que je choisis d'entrer. Il me dit de verrouiller la porte pour qu'on soit tranquilles. Il se branle lentement et sa tige est bien épaisse avec un beau gland gonflé. Il tend les doigts vers ma braguette et me fait sauter les boutons un à un. Puis il fouille, me palpe le slibard, le baisse et extirpe ma bite. Il se met à la branler, bien tranquillos pendant que je tends la main vers la sienne. Il acquiesce, et se met même à fredonner pendant qu'on se branle mutuellement. Pour moi, c'est déjà le pied total de branler le rocker. Mais voilà qu'Elvis s'approche de ma pine. Sa banane graisseuse (gomineuse) me caresse le ventre. Je vois les lèvres épaisses du mec qui se retroussent. Il me dit qu'il a envie de sucer ma pine. Là, je n'ose même pas y croire. Je m'écarte un peu pour le regarder faire. Je trouve ça tellement dingue de me faire sucer par le mec qui me fait fantasmer depuis des lustres !
L'odeur de sa gomina m'enivre. Je regarde ses cuisses musclées, j'écoute le bruit du cuir. Sa pine est vachement grosse contre son ventre et il faut absolument que j'y goûte…
Je finis par m'avachir entre ses jambes. J'avale la grosse queue d'un seul coup en me demandant si celle du véritable Elvis avait le même goût. En même temps, je pelote ses grosses couilles. Je finis par les gober, juste avant de m'attaquer à son trou après qu’il se soit retourné pour me présenter ses deux belles fesses musclées. Il est un peu poilu dans la raie du cul et les poils rutilent. Gominés ? Elvis grimpe sur la cuvette des chiottes et j'ai son super cul devant les yeux. Je me mets à lui brouter la raie et à lui examiner l'oignon avec ma langue. Puis, j'essaie d'y mettre un doigt. Il gémit. Un deuxième doigt ? Il gémit encore plus fort !
Très vite, il réclame ma bite. Il me tend une capote. Bien organisé, le mec ! Je l'enfile, la lubrifie et je vise son cul. Je m'enfonce doucement en regardant les fesses musclées s'écarter. Son beau trouduc se dilate et gobe lentement ma pine en rut. Peu à peu, je me mets à le trombiner de plus en plus vite. La salope en redemande !
Ses couilles butent et ballottent contre les miennes. J'empoigne nos quatre gros œufs et je les tords très fort. On gueule de bonheur. Je regarde sa banane un peu dégominée. Il faut dire qu'à chaque coup de pine, je lui cogne un peu la tête ! Mais il me dit d'aller encore plus vite. Il veut que ma pine lui explose le cul ! Je caresse ses cheveux, j'empoigne ses pecs. Je voudrais passer ma vie à le tirer. Je sens le cuir chaud contre mon ventre et mon torse.
J'empoigne son zob pour le branler à fond. Je le branle à la même vitesse que j'encule. Le mec commence à pousser des cris un peu dingues. Je me dis qu'il va me chanter un peu de rockabilly pendant que je lui jouis dans le cul, mais non. Il grogne que c'est bon. Sur mes paumes, j'ai son sperme bien juteux. Je lui essuie le gland et j'essuie ma paume avec du p-q. Je jette ça dans la cuvette. Je jette également ma capote enfoutrée dans la cuvette.
Le rocker se redresse, se tourne vers moi. Il m'attrape et m'embrasse à pleine bouche. J'aime sa langue qui me viole la gueule. J'aime ses fesses rondes et dures que je pétris de mes mains. J'aime sentir que mon doigt glisse dans sa raie et lui pénètre le trou. Je le sens qui rebande et je me décide à le rebaiser. Même si je n’ai plus de foutre en réserve dans les couilles, ma pine est de nouveau très dure, encore plus dure qu’avant. J’attrape l’une de ses jambes et la soulève pour mieux le piner, pour le tringler plus profond. À chacun de mes coups de queue au fond de son cul, il râle comme une bête. Je le baise en profondeur et il en redemande. Il me dit que je suis un bon baiseur et que ma queue lui fait le plus grand bien. Je le tringle comme ça pendant une dizaine de minutes, à toute vapeur et c’est vraiment trop bon.
Je me souviens qu'avec mon beau rocker, on a baisé des tas et des tas de fois comme ça, à la sauvette, dans des chiottes, dans des parkings. Ça m'excitait de l'entuber alors qu'il avait ses tiags, son blouson, sa banane et ses pattes... Je pouvais le tirer des heures durant, vraiment !
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