Recit sexe : Une jeune pucelle mouille abondamment en allant voir le gyneco

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Recit sexe : Une jeune pucelle mouille abondamment en allant voir le gyneco
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 04/01/2014
Publié le 04/01/2014
Bonjour à tous,
Et surtout bonne année avec tous plein de bonnes choses pour tout le monde.
Je m’appelle Dorine et j’ai 19 ans. Ce que j’ai à vous raconter n’est pas un truc extraordinaire mais j’aimerais savoir si d’autres filles ont vécu la même chose que moi. Car j’ai fait un peu le tour des histoires coquines sur le net et je n’ai pas vraiment trouvé ce que je cherchais. C’est pour ça que je suis sur dialogue69 et j’espère me sentir moins seule dans mon témoignage.
Je suis une fille plutôt ordinaire. Je suis châtain, les cheveux courts, des yeux noisette et il parait que j’ai un sourire irrésistible. Des formes plutôt généreuses, j’ai été très vite formée à l’adolescence. J’ai fait « jeune fille » assez tôt alors que mes amies avaient encore leur corps d’enfant.
Je suis étudiante en histoire de l’art et je fais partie du journal de ma fac. J’ai beaucoup d’amis avec qui je sors souvent. J’aime faire la fête, danser, m’amuser comme tous les jeunes de mon âge. Mais j’ai un blocage avec les mecs.
J’ai pourtant des parents très cools qui ont toujours été très ouverts. Parler de sexualité avec ma mère par exemple n’a jamais été un problème. Mais j’avoue que les histoires d’amour je n’en ai jamais vraiment eu. Quelques flirts mais rien de bien excitant. Ce n’est pas que je n’aime pas les garçons mais ma priorité pour moi ceux sont mes amis et m’éclater avec eux.
Dans ma tête, je suis un peu garçon manqué. Et puis les mecs, je m’en méfie, faut dire aussi. Combien de fois j’ai ramassé mes copines à la petite cuillère parce qu’elles s’étaient faites larguer… alors je dois sans doute attendre le vrai prince charmant. Celui pour lequel je me dirais en le voyant : « c’est lui ! »
Alors comme je vous le disais, je ne suis pas pressée et j’ai une vie très bien remplie. Bon je ne vous dis pas que cela ne me titille pas des fois. Il m’est arrivé de me masturber mais ma vie n’en dépend pas lol
Donc voilà je suis vierge à 19 ans (je ne l’ai d’ailleurs jamais caché à mes amis proches) mais ce n’est absolument pas un problème pour moi. Ça l’est plus pour ma mère. J’ai l’impression que c’est une tare pour elle des fois. Ou alors elle panique à l’idée que je devienne vieille fille, je ne sais pas. Moi, j’attends le bon c’est tout.
En parlant de ma mère, cela fait un moment qu’elle voulait m’envoyer chez le gynéco. Elle a toujours les mêmes trucs en tête : me faire prendre la pilule et me faire ausculter. Je n’ai jamais voulu. A quoi ça sert vu que je n’ai pas de relations sexuelles… C’était ma réponse.
Et puis avant les vacances de Noël, comme elle me rabâchait toujours la même chose, j’ai fini par accepter. Elle m’a eu à l’usure. Elle voulait même m’accompagner. Non mais ça va pas ! Je ne suis plus une enfant ! Bon c’est vrai, c’est quand même elle qui m’a pris le rendez-vous. On reste enfant pour ce que l’on veut…
Et donc je m’y suis rendue de mauvaise grâce la semaine de Noël. J’avais bien d’autres choses à faire pendant ce temps mais bon…
Je me suis présentée à la secrétaire qui m’a dirigé vers la salle d’attente. Y’avait une femme assise. Je me suis dit : « il est même pas à l’heure, ce con ».
Au bout de 10 mn, la porte s’est ouverte sur le docteur. Il a invité la femme à le suivre. Mais j’ai eu le temps de l’apercevoir et je suis restée scotchée. Waouaahh il était trop canon le doc ! Un beau brun, le teint mat, grand, moulé dans un jeans avec une chemise à petits carreaux de couleur rose comme ça se fait maintenant. Je me suis dit qu’il était à la mode « jeune » malgré ses 40 ans (à vue de nez).
Tout d’un coup, je n’étais plus maussade. Il me tardait presque ma consultation. Je piaffais d’impatience, je voulais voir si je ne m’étais pas fait un film et que peut être en le voyant de plus près, j’allais être déçue. Je feuilletais les magazines sans trop y prêter attention, le temps me semblait long. Et enfin la porte s’ouvrit. Avec un large sourire il me convia dans son bureau.
Il me fit m’assoir et tandis qu’il pianotait sur son ordi les informations qu’il me demandait, j’eus tout le loisir de le détailler. C’était clair qu’il était trop craquant. Ça ne m’est jamais vraiment arrivé de craquer physiquement sur un mec mais là c’était le cas.
Alors je répondais machinalement à ce qu’il me demandait mais j’avais l’impression d’être comme dans les dessins animés, vous savez quand les personnages restent la langue pendante à terre devant une jolie fille. Il a dû sentir que je le fixais car il a fini par lever la tête de son écran pour me regarder. Et moi, comme une bécasse, j’ai senti le rouge me monter au visage.
Il m’a observé un instant, j’ai senti de l’amusement dans son regard et j’ai détourné les yeux. Il a repris son questionnaire. Quand j’ai dû lui dire que j’étais encore vierge, et bien pour la première fois, j’avais honte de l’être encore à mon âge. Et à nouveau je suis devenue rouge comme une écrevisse. Je n’ai pas senti de jugement dans son regard et cela m’a un peu rassuré.
« - Bien nous allons passer à l’examen maintenant. Vous pouvez vous déshabiller. »
Allez, j’avais même oublié ça ! Voilà maintenant qu’il fallait que je me mette en petite culotte devant lui et j’étais affreusement gênée alors que je n’ai pas de complexe d’habitude! J’ai enlevé mon jeans et mon pull et j’ai attendu, debout devant la table d’auscultation.
« - Vous devez tout enlever ! Culotte et soutien-gorge. »
Ma mère m’avait bien dit comment cela se passait et les copines aussi, mais j’étais tellement mal à l’aise que j’en perdais toute logique. Mon dieu qu’il était craquant. En enlevant ma culotte, j’ai vu qu’un peu de cyprine avait coulé dedans. La honte que je me tapais. J’étais en train de mouiller rien qu’à la vue de cet homme. Cela ne m’était jamais arrivé.
Je suis vite allée m’installer sur la table. Il s’est lavé les mains et il a commencé alors à me palper les seins. Un grand moment de solitude. Mes tétons s’étaient insolemment dressés et ses gestes précis et appuyés sur mes seins me rendaient folle d’excitation. J’essayais de réprimer tout ça mais je ressentais des picotements dans le bas-ventre que je n’arrivais pas à contrôler. Et Oh comble de l'horreur, j’ai senti du liquide se rependre entre mes jambes. Je mouillais grave. J’ai serré les jambes le plus fort possible mais ma liqueur continuait de dégouliner de mon minou en feu.
Quand la palpation a été finie et qu’il m’a dit de mettre les pieds dans les étriers, je suis devenue cramoisie. Mais quoi faire ? Il a vu que j’étais embarrassé au plus haut point mais quand il est allé ausculter mon intimité, j’ai senti qu’il avait mis un temps de pause.
A nouveau, il m’a regardé avec amusement. Moi je ne savais plus où regarder et il a vraiment compris que j’étais très mal de me retrouver dans cette situation alors il a tenté de me mettre un peu à l’aise.
« - Votre lubrification est abondante, c’est bien.
« - euh oui docteur, merci ! » (Pourquoi je suis allée lui dire « merci », je ne sais même pas). Il a vraiment dû me prendre pour une godiche.
Mais il m’a souri et plus il me souriait et plus je sentais ma chatte se liquéfiait. J’avais l’impression d’avoir une fontaine entre les jambes dont je n’arrivais pas à arrêter le flot. Et cette chaleur qui m’envahissait, ce plaisir qui montait crescendo en moi alors qu’il farfouillait dans mon orifice.
« - Ne soyez pas gênée, ce sont des choses normales. Ce n’est pas une chose anodine de voir un gynéco pour la première fois. On s’habitue, c’est comme tout.» Me dit-il avec un large sourire.
Tu parles si on s’habitue ! C’est lui qui m’a mis dans cet état-là ! Pas parce-que c’était la première fois. Ça ne devrait pas exister des gynécos mignons !
La consultation s’est enfin terminée, je me suis rhabillée hâtivement. Je n’avais qu’une envie : fuir ! J’ai dû avoir les joues en feu (et pas que les joues) du début à la fin du rendez-vous.
Je suis rentrée chez moi. Mes parents étaient encore au boulot.
Et je n’ai eu qu’une envie. Assouvir cette tension sexuelle qui crispait tout mon corps depuis cette entrevue. Je me suis allongée sur mon lit et je me suis caressée en pensant à mon beau gynéco. Et j’ai joui comme jamais, en un temps record. Et depuis, tous les jours, je me masturbe en pensant à lui.
C’est fou ! Moi qui voyais le sexe avec beaucoup de distance, je ne peux plus aujourd’hui passer une journée sans me donner du plaisir en pensant à lui.
Voilà, je ne sais pas si mon témoignage sera publié mais je l’espère car j’aimerais bien avoir d’autres témoignages en ce sens.


Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
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