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Recit X : Une jolie black sexy suite

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit X : Une jolie black sexy suite

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    black ebony pipe

    Rebonjour

    Je reprends donc mon histoire avec ma collègue de boulot, cette prof qui m'a séduite et mené jusqu'a chez elle pour m'allumer comme peu souvent ça m'était arrivé. Je vous avais laissé hier avec nos préliminaires, qui se sont averés super sensuels, et dont j'avais du me retenir plusieurs fois sinon j'aurais joui dans sa bouche.

    Je la faisais donc remonter sur moi et nous continuons à nous embrasser fougueusement. Pendant ce temps, elle oscillait légèrement et amené sa chatte au dessus de ma queue dressée et s'amusait à la toucher, à l'effleurer; sans pour autant me pénétrer. Ceci mélé à sa langue qui fouillait ma bouche et ses tétons qui frottaient contre mon torse, j'étais fou de plaisir. Cette fille me rendait dingue. Je finis par attraper ses fesses, que je n'avais pas encore vu mais que je sentais fermes et musclées et je les forcais à descendre, appuyant ma queue sur sa chatte, pour la voir lentement disparaître dans son intimité. Une vague de chaleur monta alors en moi quand je la pénétrais. Elle était quand même assez étroite, et diablement mouillée et chaude, on aurait dit que ma bite entrait dans un volcan. Et là, elle se mit à bouger sur moi d'une manière absolument démente, en rythme, dans une cadence lente, appuyant bien ses fesses sur mes couilles, bougeant de haut en bas en s'appuyant sur ses genoux, ma bite ressortait presque en entier avant de se faire à nouveau engloutir jusqu'à la garde.

    Elle appuya ses mains sur ma poitrine, titillant mes tétons, les léchant elle aussi ; puis elle remontait vers ma bouche pour me la lécher d’un coup de langue ; je sentais qu’elle accélérait le mouvement car je sentais ses fesses taper contre mes couilles, je n’hésitais pas alors à claquer son petit cul ce qui la fit couiner ; son cul était vraiment dur comme du granit.
    Plus je la regardais et plus elle m’excitait, elle semblait comme en transe, ses yeux se fermaient, je ne voyais plus que le blanc et elle mordillait ses lèvres tout en gémissant, elle prenait son pied et elle contractait son bassin. Puis elle bougea de plus en plus fort sur ma queue et soudain je sentis dans sa respiration qu’elle jouissait, elle jeta sa tête en arrière et cria, avant de retomber sur moi, m’inonda de sa chevelure et me mordillant le coup.

    Nous restions comme ça, elle sur moi durant de nombreuses minutes sans bouger ni parler, collés l’un contre l’autre. Une odeur de sexe planait dans le salon c’était trop bon.
    Puis j’avais envie de continuer et je la faisais donc basculer sous moi, embrassant son corps encore chaud. Je savais ce dont j’avais envie et je la retournais sur le ventre, lui demandant de remonter ses fesses pour une belle levrette. Je vis alors son petit cul que j’avais maté des dizaines de fois quand elle donnait ses cours aux élèves, et là j’avais enfin la possibilité de le voir, nu, chaud ; je me mis à l’embrasser goulument, il sentait bon ; écartant ses fesses pour y glisser ma langue, descendant jusqu’à sa chatte pour vérifier qu’elle mouillait toujours et c’était le cas. Je la soulevai alors légèrement et je m’amusais maintenant moi aussi avec ma bite devant son intimité ; c’est alors qu’elle se recula et me prit par surprise et mon sexe entra en elle. Je commençais donc à mon tour à la baiser, mais à mon rythme désormais, je cramponnais mes mains sur tes hanches et j’entrai et ressortai d’elle. Spectacle magnifique de voir ma peau blanche se frotter et taper contre sa peau noire, le mix des couleurs me faisait chavirer, ainsi que son cul ferme bien entendu. J’accélérais la cadence et elle se mit à gémir encore, se retournant et sortant sa langue pour me demander de la lui bouffer encore, elle se releva assez pour que nous nous embrassions encore, pendant que je la pénétrais. Puis elle reprit sa position de petite soumise, la tête courbée dans l’oreiller et remonta son cul le plus haut possible pour me l’offrir. J’avais bien entendu très envie de la sodomiser mais pour une première fois je ne me sentais pas de lui en faire la demande, et elle était de toute manière suffisamment étroite pour me satisfaire, je lui donnais de grands coups de queue et je regardais ses fesses, les écartant le plus possible pour voir ce que je lui faisais. Cela dura de longues minutes, avec des petites pauses quand je sentais que j’allais jouir. Nous baisions déjà depuis deux bonnes heures et nous n’étions pas fatigués, ni l’un ni l’autre. Je me retirai alors de sa chatte pour venir sur elle, j’avais envie de jouir en la regardant. Je rentrai alors à nouveau dans elle et elle soulevait sa cuisse suffisamment haut pour que je la prenne profondément ; tout en continuant ses baisers fougueux. Au bout de dix minutes, je sentais que je ne pouvais plus me retenir, surtout lorsqu’elle avait décidé d’attraper mon sexe et le serrer dès qu’il sortait de sa chatte. A ce rythme là je ne tiendrai pas longtemps, je me retirai alors pour ne pas jouir en elle et je restai là, à la regarder. Elle m’attrapa alors la queue et se mit à me branler, non sans avoir mouillé sa main avec sa salive. Elle frottait le gland de sa main gauche tout en me branlant de l’autre. Au bout de quelques secousses je le prévenais que j’allais jouir et elle retira sa main gauche pour voir mon foutre sortir de mon sexe.
    Je jouis sur son sexe et elle continuait de me branler, plus lentement, pour faire sortir tout le sperme. Puis elle passa mon sexe sur mon foutre pour étaler tout sur son ventre. Je tombai sur le lit à côté d’elle et j’essayai de reprendre mes esprits. Ce fut ma première fois avec elle et je ne l’oublierai

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Frédéric

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