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Recit de cul : Vacances inoubliables

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Télephone rose récits érotiques
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    Recit de cul : Vacances inoubliables

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    femme envoutante

    Je m’appelle Sophie, j’ai 40 ans, et je suis assaillie de fantasmes depuis toujours. A tel point que j’ai moi aussi passé de longues heures devant Internet à me faire des scénarios tout en me masturbant de l’autre main. Avec des hommes ou des femmes suivant les cas, quoique mon expérience en manière de femmes soit fort réduite dans le réel.
    Les situations les plus insolites m’attirent également. J’en ai vécu beaucoup dans le monde virtuel et quelques unes aussi dans le monde réel. C’est une de celles-ci que j’aimerais vous raconter aujourd’hui. J’avais trente ans à l’époque et je venais de divorcer. Je m’étais donc offert une quinzaine de jours de vacances dans un hôtel. Soleil et plage…C’était tout ce qu’il me fallait pour me remettre de mon divorce. Je n’avais pas eu de contact physique avec qui que ce soit depuis de longs mois, mon mari et moi ne nous supportions plus depuis bien longtemps avant de prendre la sage décision de nous séparer. Me voici donc libre mais toujours seule dans cet hôtel. Et la solitude n’étant pas l’ami du plaisir, j’avais pris l’habitude de m’allonger à moitié nue sur mon balcon et de me laisser aller à contenter ma chatte de mes doigts. Souvent je fermais les yeux, j’imaginais quelques situations insolites et me masturber en y pensant. Toute la première semaine ainsi sous la chaleur du soleil matinal, posait le panneau «Ne pas déranger avant midi» à la porte de la chambre pour être certaine d’être tranquille et de pouvoir me laisser aller à mon plaisir solitaire. L’après midi était lui consacré aux excursions ou à la plage. Quant aux soirées, je les passais en boîte à me faire draguer par quelques hommes d’affaires. Mais sans jamais aller plus loin car je ne trouvais rien d’original ni d’émoustillant dans ces petits machos! C’est donc toute seule que je rentrais à mon hôtel et si parfois l’envie me prenait à nouveau de m’y caresser sous la douche, c’était plus par désir d’évasion que parce que j’avais vu était digne d’intérêt.
    Mais voila qu’un matin, alors que je suis allongée nue dans mon relax sur la terrasse, cuisses largement ouvertes et doigts en train de me titiller le bouton, soudain un bruit dans la chambre d’à côté, comme un fauteuil qui venait de tomber. Perturbée et aussi intriguée par ce bruit, j’ai regardé par la balustrade pour voir l’espace d’un instant un jeune homme affalé sur la moquette. Je me suis caché aussitôt priant le ciel pour qu’il ne m’ait pas vue. La situation était fort simple à comprendre, le petit garçon d’étage était en train de m’espionner et s’était ratatiné en faisant un faux mouvement sans doute. Mais depuis quand me regardait-il ? Et les jours précédents, il était là aussi ? Après tout, je me suis dis pourquoi pas ! Je n’étais pas spécialement attirée par les jeunots mais il était mignon et c’était une occasion, non ?
    Si ça lui plaisait de me mater ainsi en train de me branler, pourquoi ne pas lui offrir ce spectacle. Je me suis donc remise en position, prête à parier que dès qu’il se sera remis de ses émotions, il allait revenir à la charge pour reprendre son activité de voyeur. Je prenais soin d’orienter la vitre différent et bientôt j’étais récompensée en voyant le reflet d’une ombre s’approcher. Du coup cela me stimulais et je me caressais de plus belle en me cambrant sous la caresse et en jouissant. Je me suis laissé totalement aller, heureuse de cette présence, heureuse d’être ainsi contemplée dans tous mes états. Et j’avais jouis sans retenue pour lui plaire.
    Le lendemain j’attendais que la porte d’à côté s’ouvre pour filer sous le balcon. C’était lui, j’en étais sure. Je lui ai sortis le grand jeu. Saisissant des bananes, je les avais enfoncé lentement en moi et mimait un va et vient lancinant. J’étais certaine qu’il n’en perdait pas une miette et qu’il était scotché à la vitre. «Hummm, il me faudrait quelque chose de plus gros, il y en avait un dans ma valise» que je l’ai dis suffisamment fort pour être sûr qu’il entende. Et du coup je me suis enfoncé une dans l’anus avec un maximum de perversité. Je voulais qu’il pense à moi toute la journée, qu’il pense à moi comme une vicieuse qui avait envie de tout, comme une perverse insatiable. L’après midi je l’ai croisé justement à la piscine. Il fallait voir son air lorsqu’il m’avait aperçu, je devais me pincer pour ne pas éclater de rire. J’étais certaine qu’il avait hâte de s’éclipser pour que personne ne remarque la bosse sur le devant de son pantalon.
    Le lendemain à mon réveil, j'avais une immense envie de baiser. Mais cette fois je me suis dis que ce serait vraiment un sacrilège de me satisfaire à nouveau en solitaire. J’avais besoin de lui pour assouvir mes ardeurs. Je l’ai attendu fébrilement derrière la porte, guettant chaque pas dans le couloir. J’étais entièrement nue sous un peignoir léger, prête à bondir dans le couloir à la moindre alerte. Vers les dix heures, j’avais entendu l’ascenseur, j’ai ouvert la porte mais ce n’était qu’un client qui regagnait sa chambre. Un peu plus tard de nouveau l’ascenseur et quelqu’un qui passait devant ma porte. Je suis tombé nez à nez avec lui en le laissant pantois. Sans aucune gêne devant lui, mon peignoir à moitié ouvert devant lui laissait entrevoir la naissance d’un sein ou le haut d’une cuisse. Je l’ai attrapé carrément par la main et l’a entraîné dans ma chambre. Le peignoir glissait sur mes épaules et je me suis retrouvé entièrement nue et offerte à sa merci. Et sans gêne, j’avais commencé à masturber face à lui en devinant son sexe en train de durcir entre ses cuisses. Et moi j’avais hyper envie de lui, de ce jeune homme un peu frêle qui me dévorait de ses yeux. Je me suis sentie toute moite entre les jambes, pleine de désir de me faire prendre. Alors, langoureusement, je me suis approchée de lui et lui ai donné ma bouche.
    Fébrilement, maladroitement, je l’ai senti prendre mes seins entre ses doigts, puis posé une main sur mon sexe en feu. De ma main j’ai libéré sa bite et l’ai tâtée pour m’apercevoir qu’elle était déjà bien dure entre mes doigts. Et tout en l’incitant à me pénétrer avec ses doigts, je commençai à doucement branler son engin. Il s’est laissé guider et à entrepris une douce pénétration de ma chatte, et ce faisant je le guidai vers mon clito afin qu’il le titille lentement. Nous étions ainsi tous les deux debout en plein milieu de la pièce en train de nous branler mutuellement et l’envie d’être prise était tellement forte en moi que je n’avais pas envie de traverser la pièce pour rejoindre le lit. Je me suis allongée là, sur la moquette en l’attirant à moi et j’étais tellement trempée qu’il a glissé sans peine d’un coup au creux de mon ventre. Il s’est mis à bouger lentement, puis plus vite. Par bonheur il n’était pas puceau comme je l’avais cru au départ. Et même à vrai dire très doué car il réglait au mieux ses mouvements pour que nos deux corps avancent ensemble vers la jouissance. Son membre dur me labourait désormais avec plus de force et je répondais à ses coups de hanches par des coups de reins. Il m’a baisé ainsi des minutes interminables, m’emmenant sans cesse presque au bord de la jouissance puis retardant notre orgasme. Un véritable expert, je n’avais encore jamais connu aussi bien. Et au terme de toutes ces allées et venues nos orgasmes simultanés ont été foudroyants. Et j’ai hurlé de bonheur en sentant un puissant jet de foutre en moi. J’ai senti le liquide chaud me remplir tandis que des tremblements secouaient tout mon corps.
    Nous sommes restés un long moment ainsi sur le sol, fatigués par tant d’effort. Puis je me suis penchée pour lui lécher le gland avec la langue. Il recommençait déjà à bander. Et moi je n’avais qu’une envie, celle de le voir à nouveau à nouveau m’asperger de sa semence. Aussi ai-je entrepris de le pomper en enfonçant toute sa queue dans ma gorge. J’allais et venais sur sa queue et lui jetant quelques regards et je sentais peu à peu monter la pression dans son membre. J’avais à cet instant envie de me faire asperger la figure de son sperme ou alors de tout avaler. Mais ce petit vicieux avait d’autres idées en tête. L’histoire de la banane lui avait sans doute donné des idées car il me retourna et, sans plus de ménagement enfonça sa queue raide dans mon anus. La violence de la pénétration me fit échapper un cri de douleur qui n’eut pour effet que celle de redoubler son ardeur. Me prenant par les hanches il entreprit de me sodomiser. Presque cinq ans que je n’avais pas été prise par là et cela n’avait jamais été vraiment mon truc. Mais, cette fois-ci, malgré la douleur, j’ai sentis la jouissance s’emparer de moi, une onde de chaleur intense s’emparer de tout mon bas ventre… J’explosai littéralement tandis que ressortant sa queue au dernier moment il m’aspergea le dos de jets de foutre avant de s’essuyer le gland sur mes fesses.
    Deux minutes plus tard il était dehors, sans doute quelque contrainte horaire due à son travail, me laissant pantelante et rassasiée à même la moquette. Inutile de préciser que mes trois dernières matinées de vacances furent similaires. Et que, même si je rentrai chez moi avec le cul et le minou éclaté, c’était en tout cas avec des images pleines la tête, qui me donnaient envie, quand j’y repense, d’y retourner ou tout du moins de me caresser.

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    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 25/08/2017

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    Cette histoire vécue par Jo, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
    Pour l'écouter, compose le
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    et fais-toi plaisir ;)
    Code histoire 0136 - Durée : 16 minutes
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    Enregistré le 20/09/2017

    Il était tendu à l'extrême, droit, le gland pourpre, la peau ambrée. Lorsque je me suis baissée sur son ventre, il a semblé surpris de mon initiative. Je ne le cache pas, si je n'avais jamais goûté d'autre homme que mon mari, l'avoir fait est un des moments les plus forts qui reste ancré dans mon esprit. J'avais envie de lui plaire mais aussi d'essayer.
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    Code histoire 0136 - Durée : 16 minutes
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