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Histoire de sexe : Mon mari cocu.
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10Histoire de sexe : Mon mari cocu.
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 20/07/2017
Publié le 20/07/2017
Mon mari cocu.
Nous avions commencé à surfer sur Internet. Nous avions passé une annonce intitulée: " Couple 15-20 cherche Homme âge indiff bisex actif et directif pour s'occuper de Monsieur. Madame spectatrice". Eh oui un reste de pudeur (?) nous faisait envisager notre première expérience. Eventuelle sous l'angle des envies homosexuelles de mon époux. C'est en tout cas comme ça que j'avais (officiellement en tout cas) accepté de faire paraître cette annonce sur différents sites. Mais je crois que mon époux n'était pas dupe et qu'il savait que mes infidélités allaient bientôt commencer.
Nous avons reçu un courrier innombrable, et nous avons dû refouler un nombre tout aussi innombrable d'offres. Nous étions, à ce moment là, en Juillet. Nous avons correspondu avec un certain Fabien, des environs de Paris. Il nous avait envoyé des photos, (pas mal Fabien, la quarantaine, gueule carrée, une vraie icône- en tout cas pour moi), et la machine s'est enclenchée. Depuis deux mois, je fantasmais déjà sur cette rencontre. Il avait bien précisé qu'il était dominateur et qu'il n'était pas question de subir la sodomie ou même de sucer un homme. Il n'aimait que la possession et la pénétration. Il exigeait aussi que je sois présente et me demandait, à moi, quelles étaient mes envies.
Après avoir lu son mail, mon mari et moi nous sommes regardés, le moment était venu de se déclarer. J'ai pris la parole en première et j'ai dit:
- Ton fantasme c'est d'être cocu, et bien, je suis d'accord même si ca ne sera pas cette fois-ci. Puisque ici, c’est pour te faire plaisir.
Je me souviens très bien de ce qu'il m'a répondu:
- C'est uniquement pour me faire plaisir?
- Non, ça pourra être le mien aussi, j'ai envie de te voir être pénétré.
Maintenant avoue le, tu n'arrives plus à suivre et il ne serait que normal que je m’envoie en l’air aussi ; si toi tu peux le faire, non ?
- Cela va sans dire (j’adore son français ampoulé).
Le fantasme récurrent de mon mari: être appelé cocu et l'être aussi, fantasme que je partageais de plus en plus et que je souhaitais réaliser au plus tôt. En effet, c’est d’une véritable envie tant intellectuelle que physique dont je parle. Toutes ces années, avant mon mariage avaient couvert le feu qui sommeillait en moi. Feu qui a été attisé par Jean-Noël. Ne vous y trompez pas, Jean-Noël est l’homme de ma vie ; si je suis arrivée à ce stade de plénitude et de confiance, c’est parce que nous sommes un couple.
Quand je dis que Fabien aimait posséder, je voulais bien entendu parler de soumission à ses ordres, devenir des objets de plaisir. La version officielle était que mon mari allait être pénétré par un homme, moi, j’étant spectatrice. Mais je rêvais de tout autre chose. Dès lors, j'ai correspondu individuellement avec Fabien afin de réaliser les fantasmes que mon cher époux avait fait surgir dans ma tête. Nous avons construit un scénario où je serai offerte à mon futur premier amant. Nous avons convenu d'un rendez-vous chez Fabien qui possède à la campagne une demeure tout à fait tranquille.
Mon mari s'habille sport avec un string; moi lingerie fine (dim-up, soutien à balconnet, string coquin) une robe "sage" en V sur le devant et l'arrière. Après quelques apéritifs, la discussion se fait plus précise et les questions directes commencent, entre autres sur nos envies. Mon mari confirme nos échanges sur internet et son envie d'être sodomisé en ma présence. Fabien demande alors si Jean-Noël est d'accord pour lui obéir en tout et lui précise qu'il n'y aura pas de violence et qu'il pourra toujours dire le mot qui arrêtera tout. Jean-Noël me regarde pour chercher mon approbation mais je garde une attitude neutre. Il dit:
- Oui, je suis d'accord mais il faudrait aussi avoir l'approbation de France.
Se tournant vers moi Fabien me pose la même question, je réponds après un petit moment d'hésitation ( eh oui nous pouvons être parfois hypocrite):
- Oui je suis d'accord pour t'obéir.
En fait c'était ce que nous voulions, Fabien et moi, dans notre scénario mis au point. Fabien se lève et rejoint mon mari, assis dans le divan. Je suis en face dans un fauteuil. Il se débraguette et présente sa queue au niveau du visage de Jean-Noël et lui dit, d'une voix soudain changée:
- Suce-moi la bite pédé! Voilà me dis-je c'est parti. Jean-Noël ouvre la bouche et engouffre le sexe (de belle dimension!) de Fabien; une main sur la hampe; l’autre lui massant les couilles. Jean-Noël semble au comble du bonheur. Je vois la queue aller et venir dans la bouche de Noël qui y mettait vraiment du sien; les yeux grands ouverts, les narines dilatées - et oui pour lui aussi c’était une première.
Pauvre chou s'il savait que ce n'est qu'une mise en bouche (sans jeu de mots) et qu'il va avoir ses premières cornes ce soir-là. Après un certain moment, Fabien dit que ça suffit pour l'instant et qu'on va ouvrir une bouteille de champagne pour fêter les heureuses dispositions de notre rencontre. Il se réajuste et va chercher la bouteille en question. Nous trinquons en parlant de tout et de rien.
Tout à coup il s'adresse à Jean-Noël:
- Tu m'as bien dit que tu allais m'obéir en tout, sans discussions ? (On y était enfin dans notre scénario)
- Oui, répond Jean-Noël, je vais t'obéir en tout. Se tournant vers moi, il dit:
- C'est vrai que depuis ton mariage, tu n'as jamais trompé ton mari, tu n'as jamais été baisée par un autre que lui?
- Ni depuis mon mariage, ni avant d'ailleurs, je réponds.
Je mouillais. Cette manière de parler m’excitait au plus haut point. Il s'adresse à Jean-Noël:
- Eh bien, je veux que tu m'offres ta femme, que tu la pousses dans mes bras; ensuite, ne crains rien tu seras enculé comme tu le souhaites mais auparavant, je veux être le premier à te rendre cocu. Je gardais obstinément le regard baissé comme quelqu'un qui n'a pas droit à ce genre de chose, tout en me disant pourvu qu'il dise oui. Je commençais à être sérieusement excitée. Voir mon mari sucer cette queue m'avait donné envie d'en faire autant.
- Si France n'est pas contre, je suis prêt à t'obéir et à faire ce que tu m'as ordonné.
A ce moment-là, nous savions que le processus de cocufiage était en route car moi aussi j'avais le mot pour arrêter tout et je ne l'avais pas prononcé (mais ça mon mari ne le savait pas !)Après un court instant, Fabien s'est levé et s'adressant à mon futur cocu et en le regardant droit dans les yeux:
- Voilà comment je vois les choses. Je suis ici debout, tu vas prendre ta femme et l'amener dans mes bras face à toi. Ainsi je serai dans son dos. Jusqu'au moment de la pénétration c'est toi qui dirigera nos ébats; tu prendras mes mains, les siennes et les déposeront là où tu veux qu'elles soient. De même pour nos bouches et nos corps. De plus, je veux que ce soit toi qui guide ma bite dans la chatte de ta femme. Compris?
- Oui, oui, j'ai compris. Il se lève et vient me prendre par la main pour me mettre debout. Il me regarde avec beaucoup de tendresse et d'humilité (soumission?) dans le regard et me pousse doucement vers Fabien. Je m'arrête soudain et d'une voix un peu méprisante lui lance:
- C'est vraiment ce que tu veux? Attention Jean-Noël, une fois qu'il aura posé une main sur moi, il n'y aura plus de marche arrière même si tu demandes d'arrêter, moi je ne le voudrai plus. Tu veux vraiment être cocu ? Réponds clairement !
- Oui je veux vraiment être cocu pour la première fois ce soir et je ne compte pas t'arrêter en cours de route.
- Eh bien, continue ce que tu as commencé alors !
En me prenant les deux mains, il m'a alors poussé complètement contre Fabien. Il m'a lâché les mains, je restais immobile comme exigé par Fabien; c'est Jean-Noël qui devait prendre l'initiative de l'action. J'avoue que la situation m'excitait au plus haut point, j'avais déjà envie de cette queue que je sentais contre mes fesses, mais il fallait suivre les instructions de Fabien. Jean-Noël a pris les mains de Fabien et en a posée une sur un de mes seins et l'autre sur mon ventre. Immédiatement, Jean-Noël a introduit la main dans mon décolleté pour qu'il puisse me caresser le téton que j'ai extrêmement sensible. Il a pris l'autre main et lui a fait remonter ma robe pour qu'il puisse rentrer en contact avec mon pubis, pour ensuite glisser la main dans mon string.
C'était sublime, je crois que je tremblais tant c'était fort. Il a pris mon visage et l'a tourné vers le visage de Fabien en disant:
- Sors ta langue et embrasse-le, s’il te plaît mon amour.
Nous nous sommes roulés une pelle qui me rappelait mes amours adolescentes. Il a ouvert la braguette de Fabien et en a sorti un sexe déjà bien dur. Il a guidé ma main vers l'objet en question et l'a fait coulisser sur ce membre qui me faisait envie. Ca a duré comme ça quelques minutes où Jean-Noël savourait le spectacle et moi la montée du plaisir.
Puis, il a appuyé sur mes épaules; le signe était clair. Me retournant, je me suis retrouvée à genoux face au gourdin que j'ai commencé à sucer avec une folle avidité. Au gémissement de Fabien, je comprenais que j’avais toujours le tour pour faire bander un homme. Fabien voulait prendre les opérations en main et donc fait comprendre à Jean-Noël d'accélérer le mouvement. .
Celui-ci a reçu le message et a commencé à me déshabiller pour ne laisser que mes bas. Il a aussi enlevé le pantalon et le boxer de Fabien. Je remarquais qu’il avait une érection incroyable ; ça lui plaisait vraiment et en plus, il était toujours habillé. Il m'a fait allonger sur le lit, jambes grandes ouvertes et a commencé à me lécher. Fabien regardait en attendant de me pénétrer. Fabien m'a rejoint et m'a longuement embrassée.
Mon mari a pris la queue de Fabien qui s'est mis à genoux et l'a dirigé vers ma fente. Je me suis mise sur mes coudes pour savourer cette première; en regardant mon mari droit dans les yeux; il a frotté le sexe tout le long de ma fente et l'a immobilisé à l'entrée pour lui aussi savourer le moment fatidique. Il l'a ensuite fait rentrer dans ma chatte. Je me souviens lui avoir dit:
- Voilà Jean-Noël, tu es un mari cocu à présent.
Au même moment, David prenant mes fesses à pleines mains, s'est enfoncé d'un coup. Je ne sais plus combien de fois j'ai joui, mais c'était fabuleux. Sous les yeux de mon mari, Fabien qui se moquait gentiment de lui, le traitant de cocu content, de pédé ou d'expression style :
- Bienvenu au club des cornus, je suis le premier mais pas le dernier, hein France, dis lui !
Moi, prête à tout de lancer:
- Oh que non, maintenant que j'y ai gouté je ne vais pas m'arrêter là.
Bref c'était le délire le plus total. Jean-Noël a pris quelques photos non-compromettantes et s’est ensuite assis dans un canapé nous faisant face à nous contempler. La bosse toujours présente dans son pantalon. Je le regardais avec amour je pense car il m’encourageait en me disant que c’était fabuleux et qu’il n’en pouvait plus tellement il était excité. Il a voulu ouvrir son pantalon, mais… trop tard, il a joui dans son string sans même se toucher !! Je ne pouvais rêver de meilleures preuves de son réel plaisir à être cocu.
Fabien m'a prise en levrette, puis moi sur lui, contre le mur, sur ses genoux face à mon mari. Pour finir il m'a joui dans la bouche et j'ai tout avalé ; chose que j’adore (l’habitude de mes jeunes années, sans doute) ; sous l’œil brillant de mon mari. Voilà c'est un peu long, mais il fallait que je relate en détails ma première expérience de cocufiage. Pensez donc, le deuxième homme qui me pénètre alors que j'avais 30 ans et fidèle à mon mari depuis mon mariage. En plus pour une première, on a fait fort ; d’autant que nous sommes restés « dormir » là et que les jeux ont continué.
Mais ceci, et seulement si ça vous intéresse, pourrait faire l'objet d'une suite.
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