Recit de cul : masturbation en voiture
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Recit de cul : masturbation en voiture
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 12/09/2016
Publié le 12/09/2016
La masturbation pour moi est essentielle, presque vitale. J’ai commencé très jeune adolescente par de timides touchés, des caresses, un doigt que je rentrais dans ma chatte encore vierge. Je me souviens, c’était granuleux et à peine ouvert. Mais quelle sensation déjà. Je me touchais aussi les seins, les pointes, mais ils étaient petits à l’époque donc je ne ressentais pas grand-chose. Ou peut-être est ce que je ne savais pas faire et je m’y prenais mal.
Mais alors ce doigt que j’introduisais dans mon intimité, ça c’était merveilleux, je mouillais légèrement. Et je savais que plus je plongeais mon doigt à l’intérieur, plus j’allais ressentir une moiteur quelque chose de coulant et enfin un je ne sais quoi qui me faisait me sentir différente.
Très vite j’ai pu entrer un deuxième doigt et j’étais comme plus réceptive encore aux sensations, j’apprenais à frotter contre mes parois, à entrer et sortir avec rythme pour augmenter ou au contraire diminuer la cadence. Je su très vite que je pouvais encore jouer explorer et découvrir mon corps et me donner encore plus de plaisir.
Puis vint la période où je m’intéressais plus aux garçons, et où je perdis ma virginité. Alors là, je ne sais pas pourquoi, mais je cessais immédiatement de masturber. Je ne jouais plus avec mon sexe mais avec celui des garçons. Je devais m’imaginer qu’une fois que l’on avait connu les relations sexuelles entre deux individus, il était inutile de se donner du plaisir seul.
Comme je me trompais, même si le sexe à deux est bon et merveilleux, parfois je sentais comme une insatisfaction, un manque, une frustration. Et le seul moyen que je trouvais pour combler ça, ce fut de me masturber à nouveau. Et là je connu le Nirvana l’apothéose, je n’avais jamais ressenti cela auparavant même dans mes plaisirs solitaires. J’étais plus ouverte, plus profonde et j’en connaissais plus sur le sexe, alors mes doigts devient mes meilleurs amis, je me masturbais où je voulais, il suffisait d’être discrète.
Ainsi j’ai appris à me masturber dans ma voiture, dans le train, au hammam, à la plage…et le lieu comme la situation décuplaient encore mon excitation et rendait encore ça plus sensationnel. Puis, j’ai découvert les objets. Comme les godes, les boules de Geisha, un œuf vibrant, autant d’objets hétéroclites que je pouvais utiliser comme je voulais pour me donner du plaisir. Le gode reste mon préféré, il va loin, il est large et a un incurvé qui vient frotter contre mon point G. Un vrai délice.
Voilà mais les objets on ne les a pas toujours sous la main. Je me vois mal me promener avec mon Rabbit Violet dans mon sac à main. Alors comment faire lorsqu’on est très excitée, que ça commence presqu’à couler entre les cuisses, que notre culotte est trempée et que l’on se trouve dans la voiture ? Je n’arrêtais pas d’y penser, je n’avais qu’une envie, m’arrêter et me masturber jusqu’à la jouissance suprême. Je me contractais et bougeais sur mon siège mais non, rien n’y fit, il fallait que j’obtienne la délivrance.
Je me suis engagée dans un petit chemin de terre et j’ai roulé jusqu’à un petit bois à l’abri de la route. J’ai ouvert les fenêtres tant j’avais chaud et j’ai reculé mon siège pour être plus à l’aise. Les jambes écartées, j’ai fais glissé ma culotte mouillée le long de mes jambes et l’ai enlevée. Là les jambes bien écartées j’ai frotté mon clitoris avec mon doigt, il était déjà tout ressortis et vibrant de plaisir. J’étais impatiente d’explorer mon intimité et de pouvoir enfin calmer ce feu qui couvait en moi.
Très vite, j’ai entré un doigt dans ma chatte en feu, puis un second sans tarder non plus. Je les coulissais avec rythme dans mon antre, au plus profond, le plus loin possible en moi. Mes parois s’écartaient encore, ça glissait tout seul, j’enfilais vite un troisième doigt tant j’étais ouverte, écartée, écartelée. Ce va-et-vient incessant me fit prendre un plaisir certain, mais malgré que j’augmente la vitesse, que je pousse un maximum mon bassin que j’introduise un quatrième doigt, frustrée, presqu’énervée, je n’arrivais pas à obtenir satisfaction.
Il me fallait quelque chose de plus long, de plus large, de plus dur surtout. Je rêvais de m’empaler sur un pieu, sur quelque chose de stable. Je regardais autour de moi, presque désespérée, faisant déjà le deuil d’un orgasme oh combien souhaité. Et là je le vis, dressé, dur, long, large, magnifique et surtout très stable. Oooh si j’osais.
Sans réfléchir, je me redressais, et je me positionnais au dessus du ….levier de vitesse ! Je n’en pouvais plus, je frottais ma chatte trempée dessus, hummm c’était délicieux, cette vigueur, cette rudesse…et doucement, tout doucement, en écartant mes jambes à fond, Là je glissais que ce gode improvisé, tout droit dressé, et je le rentrais entièrement dans ma chatte écartelée. Il rentrait sans difficulté aucune. Ooooh comme c’était bon, juste adapté à l’ouverture de mon sexe. Assisse confortablement dessus, je bougeais légèrement d’abord pour m’habituer.
Rapidement, je fus parfaitement à l’aise dessus, et montais et descendais de plus en plus vite sur ce gode superbe et si dur. Il était tellement profond dans mon intimité que j’avais presque l’impression que ça montait jusque dans mon ventre. Aaaaah, je poussais des gémissements incontrôlés à califourchon sur cette matière froide et dure que je recouvrais de ma cyprine dégoulinante. Je sautais un peu dessus aussi, ou j’allais plus doucement pour m’emplir pleinement de cet objet dur.
Mon corps n’était plus que sensations, que frottements, que coulées de mouille, que chaleur montante. J’entendais d’ailleurs le bruit délicieux de cette mouille qui s’étalait généreusement sur le levier mais aussi goûtais sur la bas du levier de vitesse. Je ne pouvais même plus m’arrêter, j’en étais incapable tant c’était bon. Ma chatte de plus en plus écartelée, je montais et descendais de plus en plus vite, je m’empalais encore et encore, la chaleur montait, je sautillais comme une acharnée sur ce levier que je trouvais de plus en plus magique par le plaisir qu’il m’apportait.
Je poussais encore quelques cris de plus en plus rapprochés, au rythme de mes fesses qui s’affalaient sur ce gode improvisé, mon corps se tendis et là dans un dernier cri, dans un dernier saut je jouiiiiiiis comme une folle en retombant lourdement sur le levier de vitesse.
Longtemps je restais empalée dessus comme si je ne pouvais plus me détacher de cet objet merveilleux !
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le et fais-toi plaisir ;)
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