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Recit de sexe : Baisée par l'artisan
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21Recit de sexe : Baisée par l'artisan
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 24/02/2012
Publié le 24/02/2012
Bonjour à tous, Je m'appelle Annie, j'ai eu 40 ans le 23 janvier et malgré ça, je me sent encore très jeune dans ma tête. J'aime profiter de la vie et le me le permet dès que j'en ai l'occasion. Mon métier m'intéresse beaucoup (je suis formatrice dans le domaine médical et paramédical).
Lorsque je me suis mariée, il y a 17 ans, je trouvais mon mari beau, intelligent, brillant, plein d'ambition... il me plaisait énormément et j'étais fière de sa réussite professionnelle (il dirige un grand supermarché).
Aujourd'hui, c'est clair, il a réussit mais c'est tout. Il s'est concentré uniquement sur son boulot, ses affaires, sa propre vie.
Cela fait des années que je fais partie du décor et que je ne l'intéresse plus le moins du monde.
Pourtant j'ai su m'entretenir, je suis très sportive, coquette, soignée. Mais rien n'y fait, il n'y a plus que le boulot qui compte.
Pendant des années, je l'ai supporté à cause de nos garçons (j'en ai deux) mais aujourd'hui ils commencent à être grands, je les vois moins et je m'ennuie ferme dans mon beau pavillon.
Donc pour m'occuper en dehors du boulot, je fais des travaux, je fais rénover toutes les pièces de la maison dès que j'en ai envie, ce n'est pas l'argent qui manque et j'en profite.
J'avais décidé de faire refaire la faïence de la salle de bain du haut. J'ai donc contacté un artisan, un peu au hasard dans l'annuaire, comme à chaque fois.
Nous avons pris rendez-vous pour la semaine suivante.
Le jour dit, j'étais en train de peindre un cache-pot à l'autre bout de la maison lorsque j'ai entendu la sonnette. Merde!!! L'ouvrier...
J'ai donc ouvert la porte un peu en vitesse, les joues rouges et essoufflée, dans ma salopette ridicule, affublée d'un tablier plein de peinture.
Un homme un peu plus jeune que moi au visage fin, un beau sourire et des mains de travailleurs attendait sur le paillasson.
Il ne ressemblait pas aux ouvriers que j'avais l'habitude de voir. Il n'était pas petit, rougeaud et ventru comme la plupart de ceux qui venaient chez moi.
Je l'invitai donc à entrer.
Il me répondit avec une voix grave et un peu rauque, un petit accent (Espagnol je pense) qui allait bien avec ses cheveux noirs et épais et sa peau légèrement basanée.
Je le regardait avec un air stupide je pense.
"-Madame?? Euh, vous me montrez la salle de bain?
-Euh, oui oui, bien sûr, où avais-je la tête. Venez suivez moi."
Nous sommes donc montés à l'étage.
Il inspecta les lieux rapidement, pris des mesures et me promis de revenir dans une semaine pour m'apporter le devis.
La semaine suivante, un quart d'heure avant j'étais déjà prête, j'avais mis une jupe un peu fendue, une chemise légèrement transparente qui laissait apparaître la naissance de ma poitrine généreuse.
Cette fois, j'étais tout à fait à mon avantage.
Comme la fois d'avant, il sonna à l'heure dite. Lorsque j'ouvrit la porte, il eut un petit mouvement de recul et l'étonnement se lut sur son visage.
"Bonjour, excusez moi je ne vous avais pas reconnue, vous étiez très différente la semaine dernière non?
Sa voix me faisait fondre, et son sourire...
"-Euh oui, je n'étais pas dans une tenue très décente la semaine dernière, je voulais être plus présentable cette fois.
-C'est très bien... vous êtes... magnifique."
Je crois que j'ai rougit malgré moi, je me sentais ridicule.
Nous nous sommes malgré tout assis sur le canapé du salon pour étudier le devis.
La somme était beaucoup plus importante que ce à quoi je m'attendais.
Il remarqua ma surprise et me dit:
"-Quelque-chose ne va pas?
-Si si, je pensait juste que ça ne dépasserait pas 1500 euros, c'est tout. Je suis un peu étonnée.
-Ah, c'est le tarif qui ne convient pas. Je comprend."
Il y a eu un long blanc. Ni lui ni moi ne parlions.
"-Vous savez, me dit-il avec un demi sourire, il y a toujours moyen de s'arranger.
-Comment ça?"
Il paraissait plus amusé que gêné lorsqu'il me dit:
-"On peut trouver un arrangement tous les deux, si vous voyez ce que je veux dire..."
Honnêtement je m'en foutais pas mal du prix, j'avais largement les moyens de payer, mais ce type m’intriguait et même si je trouvais que sa proposition était un peu dégoûtante sur les bords (quand même, coucher pour de l'argent c'est limite) je ne pouvais pas m’empêcher d'avoir envie, d'être excitée à l'idée de voir ce beau corps musclé nu, à l'idée de l'imaginer me serrer fort contre lui et surtout à l'idée de prendre du plaisir...
Je l'ai donc regardé droit dans les yeux et je lui ai dit:
"D'accord."
J'ai vu son visage se déconfire, il ne paraissait plus du tout sûr de lui et ma réponse l'avait bluffé...
"-Non mais je rigole, vous n'allez pas faire ça, je suis désolé, je blaguais un peu."
Il bafouillait et ça m'amusait beaucoup.
"-Quel dommage que vous n'ayez pas été sérieux parce que moi je vous ai répondu honnêtement, j'ai vraiment envie.
-Sérieusement?
-Oui très sérieusement, et je ne le fais pas pour l'argent, rassurez-vous je n'en manque pas."
Il m'a donc regardé incrédule et m'a dit, un peu naïvement:
-"Vous êtes très belle".
Entendre ce bel homme me dire que j'étais belle me faisait plus plaisir que n'importe quoi d'autre. Cela faisait des années que personne ne s'intéressait plus à moi.
Je me suis levée et j'ai fermé un peu les rideaux, juste au cas où.
Il s'est approché de moi, par derrière et j'ai senti son souffle dans ma nuque.
Il passa sa main sur ma poitrine puis la glissa sous ma chemise. Je fermais les yeux tellement c'était agréable de ressentir à nouveau ces sensations. Il ôta son T-shirt et je sentais ses muscles puissants dans mon dos. Il défit les boutons de ma chemise, un à un et apparu face à moi. Il approcha ses lèvres des miennes et commença à m'embrasser doucement, la bouche, le cou, puis les seins qu'il fit sortir de leur petit cocon de dentelle.
Je me sentais désirable et c'était incroyablement bon.
Ses mains parcouraient mon corps tout entier, elles vinrent soulever ma jupe et caresser mes cuisses recouvertes de mes bas noirs.
Il semblait très excité et ses caresses se firent de plus en plus pressantes.
Il me fit reculer jusqu'au canapé pour m'allonger parmi les coussins.
Je le regardais, magnifique, sculpté lorsqu'il enleva son pantalon, puis son boxer moulant. Ses fesses étaient superbes et son sexe, dressé, lisse, fier me plaisait énormément.
Je l'empoignai donc avec une main et commença à le sucer. J'aspirais le gland puis le faisait rentrer jusqu'au fond de ma gorge. Je donnais de grands coups de langues, de ses boules jusqu'à l'extrémité de sa queue. Je le branlais doucement en même temps.
Quand elle fut parfaitement luisante de salive, il m'installa à quatre pattes sur le canapé, les jambes bien écartées.
Il décala la ficelle de mon string pour introduire son sexe féroce entre mes petites lèvres.
C'était des sensations incroyables que je pensais avoir oubliées...
Il était puissant et robuste. Ses mains expertes me parcouraient toute entière jusqu'à mon anus. Je fut un peu surprise au début mais je me laissai faire tant j'étais excitée et avide de nouvelles sensations.
Il rentrait sa queue dans ma chatte, en même temps que des doigts dans ma rondelle. Il crachait pour la lubrifier et au bout d'un moment, j'ai eu l'impression qu'elle aurait pu accueillir n'importe quoi tant elle était dilatée.
C'est le moment qu'il choisit pour me la mettre dans le cul.
J'ai eu très mal pendant un instant mais plus il rentrait et me bourrait, plus je prenais du plaisir en même temps. C'était dingue!! Et il m'avait fallut attendre 40 ans pour connaître ça!
Il me secouait violemment, suspendu à mon cul, mes seins ballottaient dans tous les sens, tapaient contre mes bras. Il avait une main dans ma chatte, me titillant le clitoris en même temps. Soudain j'eux un orgasme fou, je sentit monter en moi une vague de plaisir incontrôlable et j'halletais comme une petite chienne. Mes cris emplissaient le salon vide.
Lui continuait de plus belle de me défoncer le cul et j'aimais ça comme si je n'avais jamais rien connu!
Lorsque j'ai eu retrouvé un semblant de calme, il me retourna et inséra son sexe entre mes deux gros seins. Il fit quelques va et vient et gicla en un instant sur ma poitrine tout le contenu de ses bourses.
Il y en avait partout mais c'était bon de le voir jouir comme ça.
Nous nous sommes retrouvés tous les deux, moitié nus, affalés sur le canapé et encore un peu sous le choc de ce que nous venions de vivre.
Voilà, j'espère que ce qui m'est arrivé vous excitera autant que moi quand vous le lirez.
De mon coté, je ne l'ai pas encore revu, il ne vient commencer les travaux que dans quelques semaines, et je suis très curieuse de ce qui va se passer...
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Commentaires
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Annie
Demoiselle d'honneur
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Elle est amoureuse d'un jeune homme
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 29/04/2012
Publié le 29/04/2012
Annie va certainement donner envie à beaucoup de jeunes hommes. Elle trompe son mari avec un jeune minet et je crois qu'elle est amoureuse.
Kévin a beaucoup de chance, car Annie doit certainement se lâcher au lit et il doit vraiment prendre son pied ! - 1033 154
Elle couche avec son élève
Publié sur notre site le 10/03/2012 et enregistré le 08/05/2013
On a l'habitude des profs qui couchent avec leurs petites élèves, mais on avait jamais eu sur notre site les confidences d'une prof qui couche avec son élève au masculin.
C'est extra, Annie se lache et ça fait plaisir. Attention Annie, car à lire votre petite histoire, j'ai l'impression qu'il pourrai y avoir plus que du sexe avec votre élève.
Merci Annie super lecture.
Cette histoire vécue par Annie, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
Pour l'écouter, compose leet fais-toi plaisir ;)
Code histoire 0059 - Durée : 07 minutes - 1033 154
Elle couche avec son élève
Enregistré le 08/05/2013
On a l'habitude des profs qui couchent avec leurs petites élèves, mais on avait jamais eu sur notre site les confidences d'une prof qui couche avec son élève au masculin.
C'est extra, Annie se lache et ça fait plaisir. Attention Annie, car à lire votre petite histoire, j'ai l'impression qu'il pourrai y avoir plus que du sexe avec votre élève.
Merci Annie super lecture.Ecoute cette histoire au
Code histoire 0059 - Durée : 07 minutes
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