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Histoire de cul : Dépuceler par le père de son mec

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    Histoire de cul : Dépuceler par le père de son mec

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    J'aimerai revenir avec vous sur ma première fois, j'aimerai que vous puissiez comprendre alors mon attirance pour les hommes d'un âge plus mûr que le mien.

    J'étais encore en première année de fac, je venais d'avoir dix-neuf ans, comme beaucoup d'étudiantes de mon âge je découvrais ma sexualité.

    J'étais donc en première année de fac, mon petit copain Valère avait lui aussi dix-neuf ans.
    Très beau, un visage assez androgyne, tous les mercredis après-midi nous nous retrouvions chez lui puis nous allions dans la chambre de ses parents, et nous passions des heures à nous embrasser, et se frotter l'un à l'autre.
    Plus il s'excitait contre moi et plus mon corps était secoué de frissons, je sentais ma chatte brûler et mouiller, à cette époque je n'arrivais pas à faire la différence entre le bien et le mal.
    Lorsque nous étions là, dans le lit de ses parents, ce qui arrivait à me faire frissonner c'était de regarder la photo de son père, là, juste à côté sur la table de chevet.
    Un très bel homme, un agriculteur avec de grosses mains, la peau mâte, très bien fait.

    Un après-midi que nous devions nous rejoindre, je suis arrivée chez lui.
    Il n'était pas là, il avait dû partir avec sa mère quelques jours à l'étranger.
    Son père était là, il m'a invitée à entrer et m'a offert un thé.
    Je ne pouvais m'empêcher de regarder ses yeux, ses yeux bleus.
    "Qu'as-tu à me regarder"" me demanda-t-il, "tu es rouge comme une pivoine, c'est que ça doit te donner beaucoup de plaisir."
    La chaleur me montait, il passe derrière moi et je sens encore son souffle dans mon cou, il respire mes cheveux et qu'il tenait mon bras, mon désir grandissait...
    Il me lâche et je le rattrape, il ne paraît pas étonné et me dit calmement "Attention ma louloutte, laisse mon bras ou tant pis pour toi, j'ai le sang qui me monte là"
    Tout en me disant ces mots il attrape ma main et la plaque contre son sexe, il est très long large et dur, rien à voir avec son fils.
    Je n'avais plus de force, les secousses que je ressentais en regardant sa photo lorsque j'étais dans son lit, n'avaient plus rien à voir.
    Mon coeur battait, là entre mes jambes.

    Il m'a pris la main et m'a emmenée là-haut dans sa chambre.
    Il m'assied dans son lit et tombe à genoux, il retira ma jupe, releva mes sous-vêtements et arracha ma petite culotte.
    Je ne bougeais pas, lui non plus, sauf ses doigts, toujours en me fixant droit dans les yeux.
    Il me touchait comme je le faisais le soir seule dans mon lit.
    Puis ses caresses se faisaient plus profondes, et chaudes, moi aussi je l'étais, mon corps brûlait tout entier.
    Il avait ouvert brusquement mes jambes et la tête entre mes jambes il me dit "Je vais te boire, boire tout ton antre, regarde cette jolie petite chatte propre, douce, et vierge"
    Et son visage enfoncé dans mes cuisses il me caressait avec la langue, puis j'ai senti sa langue entrer en moi, toute humide, je sentais le petit bout de sa langue monter, descendre, rentrer et sortir, c'était doux et je ne pouvais m'empêcher de bouger les bas du rein.
    Puis il se releva et je sentis ses grosses mains lourdes et légères couvertes de poils entre mes jambes inondées de plaisir et de sa bave.
    Lorsqu'il entra son doigt dans mon vagin tout petit et humide, je voulais qu'il aille plus loin encore, au fond, j'en voulais plus.
    Toute nue sur le lit il toucha mes petits seins qui venaient de pousser.
    Il les mâcha tendrement et durement.
    C'était maintenant lui qui était nu contre moi, je sentais son sexe sur mon ventre, cette grosse barre que je voulais sentir contre tout mon corps, Je caressais sa grosse longue et dure queue toute brûlante.
    Comme je la voulais, je ne savais pas comment ni où mais je la voulais.
    Puis il m'a doucement ouvert les jambes et j'ai senti son gland contre mes lèvres toutes mouillées.
    Je ne sentais plus ma bouche c'est comme si elle s'était déplacée là, entre mes jambes, et avec mes lèvres mouillées, j'essayais de l'engloutir, m'approchant de lui et le tirant avec mes mains sur ses fesses contre moi.

    "Attention, me dit-il, tu risques d'avoir mal si tu y vas trop fort"
    Il allait doucement me tenant la tête avec ses grosses mains encore mouillées, plus il entrait plus je sentais que je me déchirais, j'avais mal, mais je le voulais tout entier en moi.
    Puis d'un coup de reins il a tout cassé, j'ai hurlé, mais il ne s'est pas arrêté il a posé sa main sur ma bouche et a continué ses allers-retours en moi, la douleur commençait à partir et je sentais là, sa queue en moi grosse encore plus grosse, mais cette sensation de sa peau contre mon mon vagin je voulais que ça dure des heures, il pouvait entrer et sortir comme dans du beurre.

    En allant de plus en plus vite son souffle dans mon cou me rendait folle, puis il a posé sa main contre mon clitoris, et l'a doucement caressé le pinçait entre ses doigts, il s'est retiré et a attrapé ma chatte avec sa grosse main, et m'a descendue pour que je suce sa grosse queue.
    Elle avait mon odeur.
    "Vas-y oui, c'est bien, comme une petite sucette, hum, oui... Doucement, respire par le nez. Oui vas-y lèche doucement mon gland, caresse le avec ton visage si doux, ma petite, oui, c'est bon ! Tu te débrouilles très bien dis-moi, ahhhhhh, oui, mon gland est une grosse sucette, je veux sentir toute ta bouche..... "
    Je m'exécutais comme il le voulait. Puis il s'est vite retiré et il m'a retournée sans difficulté.
    J'étais là, à quatre pattes, il caressait doucement mon anus, puis mon vagin avec son gland, doucement, je le sentais trembler, son sexe était brûlant contre le mien, puis il tapait la queue contre mon clitoris de plus en plus fort.
    Il est revenu en moi, je serrais mon vagin contre sa queue pour le sentir encore plus.
    Je n'arrêtais pas de mouiller, n'en pouvant plus, je voulais ne jamais arrêter.
    Il allait et venait de plus en plus fort en moi, mes fesses claquait contre son bas ventre, il hurlait en poussant de gros grognements ce qui m'excitait de plus en plus, et je bougeais contre lui en prenant son rythme.
    Brusquement il m'a retournée sur le dos et a joui sur mon vagin. Il ne s'est pas arrêté de bouger et il continuait de frotter sa queue contre mon vagin en étalant son sperme contre moi et il a ouvert mes lèvres avec ses doigts et frottait toujours son gland tout mouillé contre mon clitoris de plus en plus fort et c'était mon tour de jouir.

    "Je vais prendre une douche, me dit-il en m'embrassant le front"

    Voila donc, comment j'ai perdu ma virginité, voila donc pourquoi j'aime autant les hommes plus âgés

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
Je me suis caressé en te lisant...
Posté le par lovecate :
C'est dans les vieux pot qu'on fait la meilleure soupe gr biss
Posté le par cochon17 :
Profite de l'expérience du père pour baiser avec son fils, n'oublie pas également de lui offrir ton petit trou comme cela tu seras vraiment prête
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  • 245 44

    Baisée par un petit gros dégarni

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le 14/01/2013

    Publié le 14/01/2013

    Voilà une coquine qui ose aller au bout de ses fantasmes. Son mec annule un repas au restaurant, de son côté elle est dans un bar, seule...Un mec ose l'aborder et elle se laisse aller.

    Comme quoi Messieurs, même quand vous n'avez pas le physique de Bred Pit, il faut oser aborder les femmes, car parfois, nous avons juste envie de nous faire prendre et peu importe le physique...

    Biz coquine, Clara

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