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Recit erotique : Diana nous raconte son dernier samedi soir

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    Recit erotique : Diana nous raconte son dernier samedi soir

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    histoire érotique dans un bar

    Mes soirées du samedi soir
    Je marche lentement, sûre de moi, je sais d’avance ce pour quoi je sors ce soir. J’ai besoin de me sentir belle et désirée. Demain, je me sentirais tout aussi mal, je le sais, mais pour le moment, c’est la seule chose qui me rend vivante. J’ai enfilé une de mes robes favorites pour ce genre de soirée, elle est moulante, noire, juste au-dessus du genou. Elle n’a rien d’original, mais généralement, elle fait passer mon message à la perfection. Je ne suis pas là pour rencontrer l’homme de ma vie ou me faire des amis, voilà ce que je veux dire.
    Le taxi me dépose devant le pub plutôt sélectif. Parce que ce que je ne veux pas c’est de rencontrer des gens que je pourrais connaitre ou qui me connaissent. Peu de personnes ne m’adressent la parole à cause de mon caractère, mais ils pourraient tout de même me reconnaitre et je ne veux pas prendre le risque, ni me justifier, ni de me voir gâcher la soirée par une conversation inutile. Et ce que je veux par-dessus tout, c’est un homme plus âgé. S’il est là en voyage d’affaire ou juste pour se changer les idées, il sera là pour la même raison que moi : passer une bonne soirée. Autrement dit, aucun futur, aucune attache. Quelques fois, j’ai eu du mal à me comprendre, mais au final tout rentre dans l’ordre. Je ne donne pas mon nom de famille, je ne donne pas mon adresse ou ce que je fais dans la vie, je viens en taxi pour ne pas me faire suivre.
    Je m’assois au bar ; ça fait paraitre moins solitaire. Je ne repère pas les hommes dans la salle, je me prends d’abord un verre pour me détendre seule. Je demande un pina-colada, c’est l’un de mes cocktails favoris. Je porte la paille à mes lèvres rouges en ignorant les regards du barman. Il est sympa et mignon, mais si je me mets à discuter avec lui, tout mon plan tombera à l’eau. La première fois que j’ai fait ça, je me suis sentie bizarre. J’ai eu l’impression d’être une fille délurée, pourtant lorsque j’ai senti le regard de Stan sur moi, je n’ai pas regretté une seconde. Je me souviens parfaitement des hommes avec qui j’ai couché, chacun, sans exception.
    Je termine mon verre lorsqu’un homme vient s’asseoir à côté de moi sur l’un des tabourets libres. Je tourne le visage vers lui en l’examinant attentivement. L’avantage de ce pub c’est que la plupart des hommes ont entre 25 et 40 ans, et qu’ils sont assez classes. Certains plus que d’autres. Il m’est arrivé de ne pas poursuivre à cause de mes goûts, mais cela est très rare, car je ne suis pas difficile et je ne suis jamais partie bredouille. Ce n’est pas si choquant, aucun homme ne sort ici seul ou entre amis (purement masculins) juste pour boire un verre. Et ils ne vont jamais passer devant du sexe gratuit sans au moins tenter le coup. Je ne dis pas que l’expression « free sex » est tatouée sur mon front, mais une fille seule, un samedi soir à un bar n’a pas de tonnes de raisons d’être là.
    - Je vous offre un verre ? Le vôtre est fini…
    Dans ce genre de moment, il ne faut pas analyser les répliques au risque de prendre la fuite ou de se mettre à rire. Il n’a pas beaucoup d’inspiration, il sait pourquoi je suis là, pourquoi il est là. Il cherche juste à discuter pour ne pas paraitre malpoli.
    - Pourquoi pas ! Je vais reprendre la même chose, merci.
    Il passe ma commande et se prend un verre de vin. Il marque déjà un point. Je déteste les hommes qui boivent du whisky, ça laisse une haleine déplaisante. Il me regarde en souriant et lorsque je fais de même, ses yeux se posent sur mes lèvres. Je devine déjà les pensées qui lui trottent dans la tête. Il me demande mon nom et j’apprends que mon « expérience du samedi soir » comme j’appelle ça, se prénomme Paul. Il me dit qu’il a 31 ans, mais je sais qu’il ment. Je lui dis que ce n’est pas nécessaire de se rajeunir avec moi et il sourit. En plein dans le mille.
    - Tu es très perspicace Diana, je me serais bien vexé, mais c’est malheureusement vrai. J’ai 35 ans.
    - Pourquoi mentir ?
    - Tu as quel âge ?
    - 22 ans. Et si je ne voulais pas d’hommes plus âgés, je ne serais pas venue ici, tu ne crois pas ?
    Je le tutoie aussi puisqu’il en fait autant. Si la première fois j’avais rencontré un homme de 35 ans, j’aurais été gênée. Maintenant que c’est devenu habituel, je ne m’arrête plus sur ces détails. Cet homme est assez beau, assez drôle et bourré de charme.
    - Tu viens souvent ici ?
    - Ça arrive, mais je change de pub généralement.
    - Tu ne te livres pas beaucoup. Je peux te demander ce que tu fais dans la vie ?
    - Et toi tu poses trop de questions. Je vais être honnête, toutes ces attentions et ton intérêt pour moi c’est très gentil, mais tu n’as pas besoin d’en faire autant.
    Je reste très aimable, mais je ne veux pas qu’il se fatigue pour rien. Je connais son prénom, le courant est bien passé, il n’y a rien à ajouter.
    - Bien j’ai une chambre dans l’hôtel d’en face, on va boire un autre verre là-bas.
    - Pourquoi pas.
    Il me sourit. Paul porte un costume noir et une chemise blanche. Il me donne la main et nous prenons l’ascenseur en silence.
    - Je commande du champagne, ça te va ?
    - Parfait.
    Il ouvre la porte et me dit de me mettre à l’aise.
    - Tu es très désirable Diana
    - Merci, dis-je en sirotant ma coupe.
    - Je te le dis, tu ne partiras pas rapidement d’ici
    - Vraiment… et pourquoi ?
    Son caractère se révèle enfin et je relève un sourcil en signe d’incompréhension
    - Parce que je vais te baiser toute la nuit. Il est hors de question que je me contente de faire ça vite avec toi.
    Je souris en terminant ma coupe et je la pose sur la table. J’attends un ordre de lui. Je reste debout, de plus en plus excitée. Cet homme doit faire tomber toutes les femmes avec ses yeux bleus, son teint hâlé et ses cheveux légèrement grisonnants. Je le soupçonne même de ne pas être marié pour cette raison. Certains cachent leurs alliances, mais avec l’expérience, je devine qui est marié ou pas. Certains sont nerveux, d’autres assument pleinement, mais je les rembarre. Je suis contre l’infidélité même si l’homme en question finit par le faire avec une autre, je ne veux pas faire partie de ça.
    - Déshabille-toi, lentement.
    Je retire ma robe sous ses ordres. Je dégrafe mon soutien-gorge, je fais glisser mon string le long de mes jambes ; très lentement. Je n’ai plus que mes chaussures et mes bas noirs.
    - Reste comme ça… bon sang, t’es vraiment bandante.
    Il s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche en jouant avec ma langue. Il tire sur mes cheveux et me regarde dans les yeux.
    - De quoi t’as envie bébé ? Dis-moi ce qui t’excite. Je ferais ce que tu veux.
    - Je veux ta tête entre mes cuisses.
    - T’es une petite coquine, et j’aime ça.
    Il me fait m’asseoir au bord du lit, mes fesses à l’extrémité. Il s’agenouille devant moi et me fait jouir une première fois. Toute la nuit il me prend. Je le prends dans ma bouche et il jouit aussi une première fois. Il me prend contre le mur, brutalement. Il me parle de manière crue, mais j’ai l’habitude. Il me dit que ma chatte est parfaite pour sa queue, qu’il va me démonter, me culbuter toute la nuit et que je n’arriverais plus à marcher demain. Il me dit qu’il va me prendre par tous les trous, dans toutes les positions. Je le laisse faire parce que les hommes ont besoin de se défouler de la sorte et de se donner confiance en eux à travers le sexe.
    Il me retourne, me pousse sur le lit et me prends par derrière. Ça fait mal, mais je prends bien conscience de ce qu’il se passe. Je prends même du plaisir à travers la douleur. Je passe une nuit comme je les aime, passionnée, intense. Nous poursuivons nos ébats toute la nuit, sans arrêt, je suis exténuée, mais je tiens jusqu’au bout. Je m’endors vers 5 heures du matin et il me réveille vers 8 heures en murmurant que je peux rester ici jusqu’à 11 heures. Il me demande s’il peut avoir mon numéro et comme à mon habitude, je m’excuse en lui disant que ce n’est pas mon truc.
    - Tu es très intéressante Diana, merci pour cette nuit. J’espère qu’on se reverra un jour.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par james :
Diana,

j'ai lu avec intérêt votre récit charnel avec cet inconnu rencontré dans un pub et vous aimez vous sentir désirer par la gente masculine.
Vous choisissez l'homme avec qui vous allez avoir des relations charnelles et c'est normal, vous êtes une belle jeune femme désirable mais vous cherchez l'homme idéal, vous me faites penser à ce film "bonsoir M. Goodbar" avec Richard Gere, c'est l'histoire d'une jeune femme qui n'est pas très joli et pour se rassurer de sa séduction va avec des hommes qui lui plaisent, donc elle prend le danger de l'inconnu lors de ses ébats charnels, jusqu'au jour où elle rencontre dans un ce même pub un homme qui a envie d'une femme , elle le suit dans une chambre d'hotel et malheureusement, elle tombe sur un homme désaxé, je vous laisse réfléchir à la morale de ce film.

james1050
Posté le par foufou :
pourtant j'essaye de faire pareille de même façon que vous mais ma femme ne jouis pas comme vous . J'adore lire vos histoire érotique je me vois dedans merci BISOUS
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