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Recit X : Dressage intensif d'une esclave sexuelle

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    Recit X : Dressage intensif d'une esclave sexuelle

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Voici une histoire sexy... pleine d’orgasmes, de pipes, de plaisirs érotiques, de sexe, de sextoy, de sodomies, de soumissions...
    C'est l’histoire du long cheminement d’une femme, qui après s’être fait piéger, restera sans résistance et se laissera mener vers toutes les transgressions et donnera libre cours à tous ses fantasmes. Elle sombrera peu à peu dans les plaisirs, que certains trouveront sombres, que son sexe lui impose, jusqu’à devenir une indécente addict.
    Encadrée, esclave dressée par une jeune fille, puis par toute sa famille, père, mère, frère, elle subira tous les outrages, toutes les souillures… fouet, fessées, exhibée et pour finir vendue et mise sur le trottoir…

    Le piège
    Mme Blanche est assise à son bureau et corrige les devoirs de ses élèves de prépa. En cette fin de semaine, plutôt douce, elle n’est pas pressée de rentrer chez elle et lambine un peu dans la correction des copies. Mme Blanche est une femme mariée depuis 10 ans à Gabriel, un militaire de carrière qui est très souvent absent pour de longues périodes et cette fin de mois, en mission, il sera absent pour plusieurs semaines.
    Cette situation lui permet de disposer de beaucoup de temps libre et sans enfant, elle se retrouve fréquemment à flâner seule le week-end. C'est une jeune femme vraiment sensuelle et magnétique. Avec des cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules, des yeux scintillants, quelques taches de rousseurs discrètes, une bouche bien dessinée, de jolis seins fermes en forme de joli fruit, montre une poitrine épanouie et généreuse, elle attire inévitablement le regard, l'attention. Sa taille fine met en met valeur ses fesses et ses hanches remuantes toujours moulées dans une jupe élégante. Même si elle s’en défend, Mme Blanche avec ses airs bourgeois est bon chic bon genre.
    Elle porte ce jour-là, un chemisier blanc décolleté en tissu légèrement transparent qui laisse deviner le sillon de la naissance de ses seins, une jupe courte plissée accompagnée de très élégants escarpins à petits talons sur des bas couleur chair.
    À 35 ans elle entretient son corps avec régularité. Elle est fière de ses 45 kg pour 1 m 68, mince, sa superbe poitrine (95 C) attire les regards, même si elle ne fait rien pour cela. Ses jambes longues sont bien galbées et lorsqu'elle marche, ses hanches harmonieuses roulent, déplaçant la croupe en un balancement rythmique.
    Mme Blanche sort de ses pensées en entendant frapper à la porte. Elle voit entrer Léa Fournier, l'une de ses élèves de classes terminales. À 19 ans Léa est une élève intellectuellement brillante, un beau brin de fille, très grande, gratifié d’un très joli corps aux formes épanouies. Léa est aussi une jeune fille qui ne s'intéresse qu'à ses propres objectifs, son plaisir, sa satisfaction personnelle. Tranchante, capricieuse, elle est souvent brutale.
    - Rentre Léa, mais je n’ai pas encore fini la correction de vos copies.
    - Ce n’est pas ce pour quoi je suis là Mme Blanche. Il y a quelque chose que je veux vous montrer.
    - Bien entendu Léa, qu’est-ce ?
    - Regardez ce que j’ai trouvé chez un marchand de livres et revues anciennes,
    Léa cherche dans son sac et tend un vieux magazine à sa prof. Mme Blanche est suffoqué, elle reconnaît le journal vulgaire... un journal de nus de la fin des années 90 et Mme Blanche a toujours pensé que les traces de ce mauvais souvenir avaient disparu.
    Léa ouvre le magazine à la page central, on y voit Mme Blanche dévoilant complètement ses charmes, sans aucune pudeur. Mme Blanche a posé nue pour ce journal, il y a des années pour des photos bien plus qu’érotiques. Elle avait alors de gros besoins d’argent et avait espéré que personne ne le saurait. Mme Blanche essaye de se calmer et avale sa salive.
    - C’est bien vieux Léa et je ne suis pas fière de ce que j’ai fait, j’avais besoin d’argent pour terminer mes études, laissons cela, laissons le passé où il est. Léa reprit le magazine.
    - Non, non Mme Blanche. Il faut que nous en parlions sérieusement. Allez fermer la porte de cette classe, c’est un ordre ! dit-elle sèchement.
    Un peu agacée par le ton de son élève, Mme Blanche se lève et va fermer la porte le plus calmement possible.
    - À clef Mme Blanche, je ne veux pas être dérangée ! Dit Léa d’une voix forte avec autorité en s’asseyant derrière le bureau.
    Dès la porte close Mme Blanche se retourne et voit Léa à sa place. Elle va donc s’asseoir au premier rang des élèves. Ce qu’elle voit sur le visage de Léa ne semble pas encourageant.
    - Venez devant le tableau Mme Blanche !
    - Je peux m’asseoir ici Léa,
    - J'ai dit devant le tableau Mme Blanche ! Dit-elle d’un ton ferme.
    En prise aux doutes, Mme Blanche se dirige sur l’estrade, fait face à son élève assise dans le fauteuil de l’enseignante… ces rôles inversés sont inconfortables...
    - Aimez-vous enseigner ici Mme Blanche ?
    - Oui Léa, j’aime enseigner ici, mais que veux-tu ?
    - Vous comprenez ce qui arriverait si ces photos étaient connues de tous ?
    - C’est très improbable quand même,
    - Voulez-vous que votre mari les voie ? Demanda Léa en montrant les photos.
    - Non, bien entendu dit Mme Blanche prenant conscience de sa situation extrêmement vulnérable.
    - Mme Blanche, voilà, écoutez bien ce que je vais vous dire,
    - Nous allons faire un arrangement, désormais tu m'obéis, tu satisfais à tout ce que je te dis et je dis bien TOUT. Mes désirs sont prioritaires et impérieux. Si tu refuses ou si tu braves mes ordres, demande-toi ce qu’il peut se passer ? Plus de travail, ton couple en perdition... Je te laisse imaginer la suite...
    - Que voulez-vous Léa ? Demande Mme Blanche blafarde et d’une voix tremblante.
    - Toi, répliqua calmement Léa.
    Contre mon silence, je veux que tu m’appartiennes, je veux que tu sois mon jouet sexuel, ma femelle docile, ma chose, ma pute, ma traînée, mais pas n’importe laquelle, MA pute, compris ? Je veux que tu m’obéisses, que tu fasses tout ce que je t'ordonne sans poser de questions ! Désormais tu es mon animal de compagnie. Je vais te dresser pour cela Blanche. Je veux aussi une obéissante totale et sans condition ou négociation !
    Tu seras la femelle qui satisfait mes plaisirs, la petite chienne que je peux caresser quand il me plaît. Ta place est à mes pieds, au bout de la queue des hommes, dans un bordel, dans une décharge, dans un caniveau, dans un chenil pour te faire prendre à la chaine par tout ce qui a des couilles. Tu vas connaître le fouet, la trique et la cravache, je vais te fesser, t'exhiber, te domestiquer.
    J'aurais toute autorité sur toi et ton joli corps, sur tous tes orifices, bouche, anus et ton sexe, ton corps sera offert à la vue de tous, tes jambes écartées montreront à quel point tu as envie de sexe, de pénétrations et de jouissances. Tu seras abusée, car tu ne demande que cela ! Avec moi tu vas te redécouvrir, avec moi, tu vas jouir.
    Si un jour je suis fatiguée de toi, comme tu seras éduquée, formée en salope soumise obéissante et surtout disponible… je te vendrai... en Afrique du nord pour t'améliorer et faire tes « classes » dans un bordel. Là, c’est certain, tu devras supporter les assauts d’au moins cinquante hommes par jour, mais c'est le meilleur moyen pour apprendre.
    Après quelques années de ce régime, je te ferai revenir en France chez mon frère, complètement formées, soumises, sans autre désir que de bien faire ton travail.
    Si tu refuses ou si tu résistes, ce magazine sera rendu public et largement diffusé, à tes amis, tes parents, ton mari et à ses supérieurs. Représente-toi leur tête à la vue de ces photos… Mais si tu acceptes, cela restera notre secret.
    En entendant ce discours, les qualificatifs humiliants, Mme Blanche sentit ses genoux fléchir. Elle ne peut pas permettre que ces photos soient rendues publiques, elle ne veut pas voir ce passé dégradant, ce journal apparaître au grand jour. Ses pensées sont en vrac dans sa tête ne sachant comment s’en sortir, il lui faut obéir… pour le moment pense-t-elle...
    La voix de Mlle Fournier est douce et catégorique en même temps, elle marque son territoire. Mme Blanche comprend qu'elle n'a pas d'autres choix que de céder à Léa.
    - Blanche ! Ici ! Approche ton cul !
    Mme Blanche veut protester, mais ses protestations restent dans sa tête. Décontenancée, désemparée, humiliée, elle s’avance vers Léa.
    Léa a compris que le corps de Mme Blanche, lui, est déjà soumis. Léa a ouvert toutes les portes... D'un geste vif, elle soulève la jupe, descend le collant et le slip à mis mollets et glisse à l'intérieur des cuisses des doigts inquisiteurs. Docile, Mme Blanche spontanément écarte les jambes pour permettre à la main et l'index de chercher et pénétrer son sexe. C'est la première fois qu'elle se fait flatter le sexe par une femme.
    Les caresses de la main à l’intérieur de ses cuisses l'excitent, la sentent trempée, la tiennent proche de l'orgasme, mais la brident... La fouille dure... Le doigt glisse avec facilité dans son intimité humide, cajole le clito. Mme Blanche pantèle… son souffle s'accélère... haletante, elle ne peut plus cacher son désir.
    Léa maîtrise les signes annonciateurs de la jouissance de Mme Blanche.
    - Tu vois Blanche, avec moi ce sera que du plaisir et pour cela, tu dois te maintenir ouverte, en permanence, ton sexe toujours à ma disposition pour être travaillé, fouillé, trifouillé, comme ton cul et ta bouche… Tu dois être à la disposition de ceux qui veulent se servir de toi... dit Léa, la main enveloppant toujours fermement le sexe de Mme Blanche.
    - Ai-je été assez clair Blanche ?
    - Je ne comprends pas, dis une Mme Blanche déroutée, tu ne peux pas agir comme cela.
    - Écoute Blanche, je me fous de ce que tu penses, c’est très simple, si tu n'acceptes pas, tu ne seras plus la prof de personne, ni une épouse d’ailleurs. Tu comprends ?
    - Combien de temps cela durera-t-il ? demande Mme Blanche effondrée, anéantie,
    - Autant que je le veux Blanche… le temps de mon plaisir, le temps de ton éducation, le temps de te discipliner, le temps de faire de toi une bonne jouisseuse, une bonne chienne car je veux te donner à d’autres chiens...
    Bien ma jolie salope, dorénavant tu dois toujours m’appeler Mlle Fournier et me vouvoyer et je te tutoie. Sommes-nous d’accord ?
    - Oui Mlle Fournier, je comprends.
    Ne voulant surtout pas contrarier son élève, Mme Blanche, le plaisir en suspens, la main de Léa caresse toujours son sexe, acquiesce. Léa délaisse le sexe, se lève, lui tourne autour... Mme Blanche est ébranlée,
    - Tu comprends bien que si tu me désobéis, tu es perdue ? Lui dit Léa en la regardant dans les yeux… des yeux en pleurs.
    - Oui Léa,
    Mme Blanche, prise au piège de son passé sait qu'elle est perdue et se doute bien que se n'est qu'un début... Elle allais être la soumise de Léa... est-elle destinée à devenir une femme docile, asservie et craintive ?
    - Mauvaise réponse Blanche, c'est Mlle Fournier pour toi ! «Mains sur la tête!» ordonne-t-elle. À peine avait-elle posé ses mains sur la nuque que la première baffe cinglante marque son visage des doigts de la main de son élève sur toute la largeur de la joue, puis une autre à gauche. La tête de Mme Blanche bat sous les baffes. Elle gémis, implore,
    - Pitié !
    - Obéis alors, salope !
    - Ouvre ton chemisier et déshabille-toi, je veux voir comment tu es foutue ! Je veux te voir à poil !
    Léa savourait par avance l'idée d'en faire sa pute soumise, docile et fidèle...
    Mme Blanche hésite.
    - S’il vous plaît Léa, non, pas cela,
    Sautant de son siège, Léa la gifle de nouveau d’un violent aller et retour,
    - Il y en a encore d’autres à ton service ! C’est cela, ou je fais des dizaines de photocopies et tes photos seront diffusées ! Blanche, écoute-moi bien, tu es ma putain, tu fais ce que je dis et maintenant ! Dépêche-toi salope !
    Mme Blanche se sent comme gelée, par la situation, par la violence des mots utilisés, par l'attitude de son élève. Elle est tétanisée.
    - C’est bien, puisque tu refuses d'obéir, dès lundi les photos seront distribuées. Léa se dirigea vers la porte.
    - Attends Léa !
    Léa s’arrêta, se tourne devant sa prof tremblante.
    - Oui ?
    - S’il te plaît, Léa tu ne peux pas faire cela, je vais te donner l’argent, celui de mes économies, s’il te plaît Léa, larmoie-t-elle en larmes.
    - Eh bien au revoir Blanche, dit Léa calmement en se dirigeant vers la porte.
    - S’il te plaît, Léa... Mlle Fournier, excusez-moi, je vais le faire, ne partez pas, glapit-elle terrifiée.
    Léa s’arrête, se retourne devant Mme Blanche qui s’inclinait.
    - Eh bien ?
    Les mains de Mme Blanche se dirigent vers les boutons de son chemisier. Elle commence à les défaire et se tient droite devant son élève, le visage en feu, rouge de honte, rouge de cette humiliation,
    - Enlève-le, dit Mlle Fournier en retournant au bureau.
    Mme Blanche enlève son chemisier et le pose sur le bureau. Elle se tient devant son élève et se demande jusqu’où cela irait.
    - Maintenant le soutien-gorge Blanche !
    Mme Blanche fait sauter les agrafes du soutien-gorge et dévoile une poitrine généreuse avec de jolis seins, hauts, fermes et opulents avec de jolis tétons.
    - Allez, tu mets ton soutien-gorge dans la poubelle, c'est un cadeau pour l’homme de ménage, c'est bon pour ses fantasmes !
    Nue jusqu’à la ceinture, Mme Blanche se tient droite, les seins excités, instinctivement elle met les mains en cache sur ses seins,
    - Blanche, j'ai dit que je veux te voir à poil ! Retire tes mains, montre-moi tes pis,
    Le visage rouge, Mme Blanche s'exécute et met les bras le long du corps devant sa jeune élève. Elle est horriblement embarrassée, comment a-t-elle pu se retrouver dans cette situation... pourquoi a-t-elle accepté de poser pour ces photos ? Uniquement pour l'argent ?
    - Maintenant, Blanche, tu poses ta jupe sur le bureau.
    Sans plus réfléchir, Mme Blanche ouvre sa jupe, la laisse glisser sur le sol, puis la pose sur le bureau.
    - C'est bien Blanche, enlève immédiatement ces saloperies, collants, culotte et hop poubelle !
    Mme Blanche ôte son collant et sa culotte et de nouveau ses mains viennent cacher son sexe. Elle se tient debout, nue, devant cette fille de 19 ans... Elle cherche, mais ne voit pas comment se sortir de ce piège et pour quelle suite ?
    - Met tes mains dans le dos, tiens-toi droite, tu as une belle poitrine, il faut mettre tes mamelles en valeur ma salope !
    Léa se lève et effleure les tétons de sa prof et Mme Blanche, la tête en arrière ne peut se retenir de présenter son buste à l'appel de la main. Léa sourit en voyant la réaction et sort son téléphone !
    Photo !
    Léa fait le tour de Mme Blanche pétrifiée par cette déchéance et lui saisit un téton entre le pouce et l'index lui pince et commence à le faire rouler de plus en plus vite tout en le pressant de plus en plus durement,
    - Ils sont en érection, c’est bien ma petite pouffe, offre-moi tes seins avec tes deux mains dessous, en les relevant doucement, comme il faut... offre les bien, tu aimes cela Blanche ?
    Mme Blanche garde le silence, elle est très excitée mais ne veut pas l’admettre. Léa pince plus fort la pointe des seins jusqu’à ce que Mme Blanche râle.
    - Blanche, tu es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise,
    - Réponds-moi, Blanche,
    - Non, je n’aime pas cela, répondit-elle en rougissant.
    Bien qu’elle dise ne pas aimer cela, elle se sent inexplicablement troublée, électrisée, par ce traitement et son sexe suinte, s’humidifie. Léa lui relâche les seins.
    Photo !
    - Je pense que tu me mens Blanche et ce soir, tu seras battue pour ce mensonge. Tu me dois une obéissance absolue et surtout ne jamais me mentir.
    Ce weekend, sans ton mari, j’ai tout le temps pour te faire comprendre !
    Mme Blanche est terrifiée parce qu’elle entend.
    - Maintenant allonge toi, le dos sur le bureau mon animal et ouvre-moi en grand tes cuisses que je vois tes trous.
    Ne voulant pas provoquer la colère de Mlle Fournier, désemparée par cet ordre, Mme Blanche, nue, s’allonge sur le dos, écarte ses cuisses qu’elle tient de ses mains pour qu'elles soient bien relevées… elle dévoile ainsi son cul et son sexe accueillant. Elle s'arrête de respirer quand la main de Mlle Fournier se met à glisser sur ses cuisses, remontant imperceptiblement vers le sexe ouvert. La pointe de ses seins est dure et tendue. Elle ne sait plus qui elle est... d’habitude si réservée révèle-t-elle sa vraie nature ?... en se soumettant sans retenue aux désirs les plus obscènes de Mlle Fournier.
    - Je vais t’apprendre à obéir aux règles que tu dois observer en privé. Tu seras nue en permanence. Devant moi, ou tout autre de mes amis, tu dois montrer que tu es accessible et accessible, cela signifie que tu es disponible pour être baisée.
    À chaque fois que l'on s’approche de toi, tu te mets à genoux, bouche ouverte avec la langue sortie, les mains sur la nuque, les cuisses largement écartées pour montrer que tu offres l’ensemble de ton corps au plaisir de tes visiteurs et qu'ils peuvent te fouiller au plus profond de leurs désirs.
    - Cela fait longtemps que je veux te voir jouir… alors, j'ai apporté le matériel nécessaire, tu vas aimer, je vais mettre dans ta chatte de salope que tu vas devenir une belle tige vibrante…
    Léa sort de son sac un vibro, le graisse avec du gel et l'emboite sur un long manche, elle tend sa main pour mettre le vibreur en marche avant de le pousser pour bien l’enfourner sans façon dans le sexe de Mme Blanche déjà luisant. Léa regarde Mme Blanche trembler, se trémousser, son bassin virevolte en proie à cet orgasme forcé, son ventre bouillonnant tangue, en quelques minutes, transportée, elle explose de jouissance, sa mouille dégouline sur ses cuisses agitées de soubresauts…
    Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ! se dit-elle dans un sursaut de lucidité... avant de jouir intensément. Couverte de sueur, abattue, elle est terrifiée de s'être livrée, abandonnée, offerte ainsi au regarde Mlle Fournier.
    - C’est bien, tu es un bon animal, c'est une jolie performance, tu es une rapide, tu promets, les hommes vont aimer,
    Bon, maintenant je vais t'enfiler un plug dans le cul et quand tu l’auras porté un moment, nous le changerons pour un de plus grosse taille. Tu verras, c'est utile, tu as besoin d'être élargie ! Approche-toi, donne ton cul !
    et Léa attrape son tube de vaseline, enduit généreusement le trou qu'elle déride d'un coup sec Mme Blanche sursaute et proteste furieusement pendant l'introduction. Léa lui claque violemment les fesses,
    - Ta gueule salope, ou je t'attache ! Dans l'état, ton trou est inutilisable !
    Léa fait progresser l'introduction du plug, le sphincter se dilate sous la pression, c'est douloureux, le visage Mme Blanche n'est plus qu'un masque de souffrance. Le plug bien en place, elle est plantée jusqu’à la garde.
    - Je ne veux plus t'entendre, tu serres les fesses, tu remets ton chemisier, ta jupe et tes chaussures, tu déboutonnes ton chemisier, juste deux boutons, tes seins doivent toujours être libres pour que l'on puisse les voir, les peloter si l'envie vient... et tu me suis !
    Voilà, très bien comme ça complimente Léa, tu es super bandante !
    Sans soutien-gorge la pointe des tétons est érigée sous l’étoffe.
    Habillée ainsi, Mme Blanche se sent encore plus vulnérable. Nue sous son chemisier, ses tétons dansent sous le tissu, cela l'agace, l'aguiche, l'agite. Le courant d’air qui caresse ses cuisses, son cul rempli et son sexe nu sous sa jupe la déroute, l'émoustille... Elle est excitée...
    Mme Blanche regarde, les copies abandonnées, sur son bureau. Les deux femmes se dirigèrent vers la sortie…
    Elles commencent une nouvelle aventure...

    Prise en main
    Léa se dirige vers la porte, se retourne et dit à Mme Blanche,
    - Tu me suis à deux pas derrière et tu es normale,
    Comment peut-elle être normale ? À chaque pas, ses tétons sont excités par le tissu de son chemisier, sa chatte nue sous sa jupe commence à devenir humide pour sa plus grande humiliation. Avec les boutons ouverts de son chemisier, elle en montre plus qu’elle ne l’a jamais fait et que la respectabilité n’autorise.
    - Oui Mlle Fournier, répondit-elle soumise.
    Léa ouvre la porte et précède sa prof dans le hall de l’école vers le parking.
    - Tes clefs ! demande Léa.
    Léa s'assoit derrière le volant et Mme Blanche sur le siège passager.
    - Remonte ta jupe !
    Sans discuter, Mme Blanche remonte sa jupe à mi-cuisse.
    - Plus haut salope ! défense de resserrer les cuisses. C'est bien, écarte davantage les genoux, tu n’es qu’une pute ! Tu dois montrer la marchandise !
    Mme Blanche remonte si haut sa jupe qu’elle ne couvre plus sa chatte humide. Elle ne cache plus rien de son intimité... de son beau triangle doré. On peut voir ses cuisses blanches, bien ouvertes, exhibant son sexe, son pubis avec sa fente recouverte de bouclettes.
    Léa démarre la voiture et se dirige vers la maison des Blanche.
    - Nous allons faire des courses sur le chemin.
    Le cœur de Mme Blanche se serre en espérant que Léa ne l’oblige pas à courir dans les magasins, sans soutien-gorge et sans culotte.
    - Dites-moi Blanche. Qu’as-tu comme sextoys chez toi ?
    Mme Blanche ne peut croire que Léa ose lui poser cette question et pourtant elle répond,
    - J’ai un gode vibrant, Mlle Fournier.
    - C’est tout ?
    - Oui, C’est tout, Mlle Fournier.
    - Tu aimes la bite Blanche ?
    - Tu te branles ?
    - Oui Mlle Fournier, quelques fois dans les toilettes du lycée et le soir dans mon lit.
    Léa gara la voiture sur le parking, c’était un super marché avec un rayon bricolage.
    - Viens, nous avons des achats à faire, des bas, des porte-jarretelles pour mettre ton cul en valeur et plein d'autres choses, n’oublie pas, tu marches deux pas derrière moi !
    Mme Blanche abaisse sa jupe sur ses cuisses, l’air frais agresse ses tétons en érection et lorsqu’elle écarte les cuisses pour sortir de la voiture, son sexe dénudé s’ouvre en dévoilant des lèvres luisantes et roses.
    Léa veut qu'elle montre sa poitrine et ne l’autorise pas à mettre sa veste. Mme Blanche court pour la suivre et le ballotement, le frottement met les seins de la jeune femme à la torture.
    - As-tu une carte de crédit et de l’argent sur toi ?
    - Oui Léa, j’ai les deux.
    Léa s’arrêta et la fixa.
    - Je te l’ai dit deux fois! Qu'as-tu dit ? Comment m’as-tu appelée ?
    - Lé... Je suis désolée Mlle Fournier.
    - Ouvre un autre bouton !
    - S'il vous plaît Mlle Fournier, je suis vraiment désolée.
    - Tu ne veux pas ouvrir trois boutons ?
    - Si ! Si ! cria presque Mme Blanche en ouvrant le troisième bouton de son chemisier.
    Si elle bouge trop, Mme Blanche sait qu’elle va dévoiler entièrement sa généreuse poitrine. Elle va devoir faire attention, ses seins dardés ballottent en marchant,.
    - Prends un chariot animal ! commande Léa,
    Mme Blanche fait ce que Léa lui ordonne et la suit dans les rayons jusqu’au département des animaux.
    - Trouvons un collier pour toi mon bel animal. Essaye celui-ci, dit Léa en lui tendant un collier de chien en cuir blanc, un peu vulgaire, avec des pierres de couleurs, des pics en métal et quatre anneaux tout autour.
    - Ici ! ?
    - Blanche, je n’aime pas avoir à me répéter, si tu ne fais pas ce que je te demande, je te le répète une dernière fois, tu peux rentrer chez toi, mais dès lundi matin toutes les photos, les anciennes, mais aussi les nouvelles seront distribuées, maintenant veux-tu essayer ce collier ?
    - Oui, tout de suite Mlle Fournier.
    Regardant autour d’elle Mme Fournier plaça rapidement le collier autour de son cou.
    - Cela semble aller Mlle Fournier.
    - Mieux vaut s’en assurer, après tout c’est toi qui le porteras, ferme-le !
    - Maintenant, une laisse… attrape la longue rouge.
    Mme Blanche veut enlever le collier avant d'être vue, mais Léa lui tape durement sur les doigts.
    - Tu ne touches pas à TON collier de chienne ! C’est ton signe d’appartenance et de soumission !
    Mme Blanche leva les bras pour attraper la laisse qui était en hauteur, elle comprend qu’en faisant cela elle dévoile presque entièrement sa poitrine ! Mme Blanche prend la laisse d’une main, l’autre ferme son chemisier pour cacher ses seins exposés, une claque sur sa main. Ne touche pas à ce chemisier… et le chemisier s'ouvre laissant apparaître la poitrine et les superbes avantages de Mme Blanche, elle chouine.
    Léa accrocha la laisse au collier.
    - Cela te va à merveille. Met-le dans le panier, dit Léa en partant.
    Mme Blanche se dépêcha d’enlever le collier avant qu’on ne la voit et court pour rattraper Léa, pour ne pas la mettre en colère parce qu’elle ne suit pas à la distance requise.
    Léa va dans le rayon bricolage et achète des chaines, des barres de fer, des cadenas... Léa lui dit d’aller payer à la caisse et de ne pas traîner. Mme Blanche est gênée, car bien que ces objets semblent innocents, elle se doute de leur usage et de leur destination... et puis se présenter à la caisse avec son chemisier si ouvert... Elle paye le visage en feu, la chatte incroyablement humide et les tétons que l’on voit sous l’étoffe du corsage ont la pointe dure.
    Mme Blanche prend les achats et se dirige vers la voiture où l’attend Léa.
    - Soulève ta jupe et pose ton cul directement sur le siège, dit Léa et Mme Blanche remonte vite sa jupe au ras de son volcan et au-dessus des fesses.
    - Nous allons dîner, que veux-tu manger ?
    - Je n’ai pas faim.
    Une claque.
    - Mlle Fournier ! ! ! Oh, je suis désolée Mlle Fournier…
    - Lève bien tes fesses, je veux ta jupe autour de la taille,
    Blanche, tu dois comprendre que tu y perdras toujours quelque chose lorsque tu ne me feras pas plaisir et bien sûr, tu sais ce qui t’arrivera si tu refuses complètement de m’obéir. Léa quitta le parking pendant que Mme Blanche remontait sa jupe si haut qu’elle dévoilait complètement son sexe nu, son visage était rouge brique. Elle se sentait comme une enfant punie pour avoir mal agit.
    Elle commence à paniquer en voyant Léa entrer dans le parc de stationnement d’un « drive in ».
    - Ne touche pas à cette jupe Blanche, que veux-tu manger ?
    - Rien Mlle Fournier.
    La prof morte de honte plonge dans son siège pendant que Léa commande un sandwich, des frites et deux glaces au chocolat. En arrivant au guichet de paiement, Léa tend sa main vers Mme Blanche pour avoir de l’argent, Mme Blanche ouvre vite son sac et donne à Léa l’argent demandé en espérant que personne ne la reconnaisse. Il fait noir et l’employé ne doit pas y voir grand-chose, mais elle veut mourir en l’entendant dire :
    - Bonjour Mme Blanche,
    Le type reconnaît la voiture,
    - Bonjour, répondit Mme Blanche. Elle aurait voulu disparaître.
    Léa gara la voiture dans un coin sombre et commença à manger son sandwich.
    - Ouvre complètement ton chemisier.
    Mme Blanche ouvre avec appréhension son chemisier et dévoile sa poitrine nue.
    - Pendant que je mange, je veux que tu me distraies, tu couvres tes seins avec cette glace au chocolat. Fais attention de ne pas salir ton chemisier...
    Humiliée, assise dans la voiture sur un emplacement de parking, le chemisier grand ouvert, elle obéit à Léa et commence à se frotter la glace sur la poitrine. Mme Blanche ne veut pas contrarier l’adolescente, elle sait que celle-ci peut lui imposer encore pire, le froid de la glace sur les seins gonfle les tétons.
    - Tu en mets aussi sur ta chatte.
    Les doigts de Mme Blanche pleins de chocolat posèrent le bâton de glace sur son sexe.
    - Rentre le dedans !
    Son cœur se serre lorsque le chocolat glacé stimule sa chatte brûlante, ses doigts semblent échapper à son contrôle... cela dure dix minutes, le temps que Léa termine son repas, Mme Blanche joue avec elle-même, se masturbe et elle se sent de plus en plus chaude, malgré elle, elle arrive au point de jouissance… mais Léa lui dit d’arrêter et de lécher ses doigts pour les nettoyer.
    - Ne touchez plus à rien ! dit Léa en remettant la voiture en route.
    Mme Blanche est là, torse nu, sa chatte exposée, bien visible et son corps couvert de chocolat... Elle lèche ses doigts pour les nettoyer comme lui a ordonné son étudiante et le goût du chocolat et de sa jouissance la trouble, son sexe est en feu, sa chatte veut être satisfaite ! Elle veut du sexe, elle veut être saillie.
    La maison des Blanche est un peu en retrait de la route, le jardin est derrière, avec un jardinet sur le devant. Léa sort de la voiture et jette un regard et dit,
    - Pas de chocolat sur tes vêtements ma salope, sinon c'est le fouet !
    Léa rentre dans la maison et laisse Mme Blanche, la poitrine à l’air, la jupe retroussée et le corps couvert de chocolat…
    Ne voulant pas être châtiée, Mme Blanche sait qu’elle ne peut pas s’habiller et comme elle ne veut pas contrarier de nouveau Léa, elle regarde autour d’elle, il n’y a personne dans la rue, elle ouvre la portière et se précipite nue vers la maison sous le porche, elle essaye d’ouvrir la porte...
    Fermée !
    Mme Blanche, sonne et frappe, un vent glacial court sur son corps nu, elle commence à paniquer.
    - S’il vous plaît Mlle Fournier, laissez-moi entrer !
    Léa se tient derrière la porte et quand elle l'ouvre enfin...
    Photo
    - Tu as pris tes paquets Blanche ? Passe par derrière, par la porte de service !
    Et Léa lui claque la porte au nez.
    Mme Blanche court pratiquement nue vers la voiture. Elle prend son sac et les achats, une voiture s’approche, de justesse elle peut atteindre la porte de service avec ses bras surchargés. La porte est ouverte et elle trouve Léa confortablement installée dans le salon.
    - Léa, je ne veux plus que vous preniez de photos !
    Léa se lève et la gifle magistralement,
    - Combien de fois, faudra-t-il te dire d’appeler ta maitresse par son nom de famille ! Et je n’ai rien à faire de ce que tu peux vouloir ! Tu va recevoir la trique ma salope,
    - Maintenant va déposer ton barda dans la chambre et viens me rejoindre dans la salle de bains, vite fait ! Tu n'es qu'un tas de merde Blanche !
    Mme Blanche, toujours pratiquement nue, court dans l’escalier jusqu’à sa chambre, dépose les achats sur le lit et rejoint Léa dans la salle de bains. Là, coule déjà une eau chaude…
    - Déshabille-toi mon animal et file dans le bain rapidement.
    - Laisse la porte ouverte !
    Mme Blanche se déshabille et se glisse avec délice sous l’eau,
    - Pour être sûr que tu ne profites pas de cet instant pour te toucher, je t'attache.
    Léa prend la ceinture d'un peignoir et ligote les mains de Mme Blanche au robinet puis quitte la salle de bain en l'abandonnant dans l'eau un bon moment. À son retour, elle vide la baignoire, la détache puis ouvre le robinet d'eau froide pour la rincer. Mme Blanche bêle au contact de l'eau glacée. Léa la gifle et lui rappel, « c'est pour t'être caressée sans mon autorisation », tu n'as pas le droit de jouir sans mon accord, tu dois être en manque de jouissance pour être toujours chaude… pour les queues qui passent... puis incrédule, elle voit Léa s'approcher, baisser la puissance du jet d'eau, démonter le pommeau de douche, lui demander d'écarter largement les jambes, puis fait remonter l'embout du tuyau verticalement pour lui nettoyer les orifices. Avec la main enduite de savon, elle lui lubrifie la rondelle et d’une main ferme, la penche pour qu'elle présente son cul en l'air, ses fesses bien rondes, bien écartées. Léa enfonce l’embout du tuyau au plus profond de l'anus... Mme Blanche geint, Léa la prépare pour la sodomie en lui nettoyant le cul.
    Photo !
    - Tes ouvertures doivent être, en permanence, irréprochables ! Voilà de cette façon tu es prête pour te faire enculer par des mâles bien épais qui te dilateront ton tendre et joli cul !
    Quelle humiliation d'être ainsi traitée.
    Après le nettoyage des trous de Mme Blanche, Léa lui dit en lui détachant les mains,
    - Maintenant, assure-toi que ta moule est aussi propre mon animal !
    Les mains de Mme Blanche savonnent son pubis en insistant sur le vagin. Elle passe une main dans son sexe pour s’assurer d’avoir bien enlevé tout le savon.
    Photo !
    Une sorte de choc électrique la parcourt lorsqu’elle effleure son clitoris. Qu’est-ce qui m’arrive, je deviens folle ! pense-t-elle en retirant vite son doigt de sa chatte.
    Léa sourit et lui ordonne de sortir de la douche.
    - La trique à présent, trois coups pour t'apprendre à répondre !
    Léa frappe les fesses de Mme Blanche qui se marquent de stries rouges, elle pleure...
    - Maintenant, lubrifie-toi le trou du cul avec ce gel et changes ton plug anal. Tu prends le gros, tu dois être aussi large qu’une porte de garage pour laisser la voie aux bites des clients.
    Mme Blanche comprend sa déchéance et que son avenir est celui d'une prostituée...
    - Pose tes fesses sur le lavabo !
    Mme Blanche s’assoit sur le lavabo, le plug bien enfoncé et se demande pourquoi,
    - Écarte tes cuisses, aussi grand que tu peux,
    Mme Blanche fut choquée, mais obéissante, elle écarte les cuisses.
    Blanche je te dis d'ouvrir tes cuisses, le plus grand possible ! Écarte plus... Ouvre-toi plus chienne ! La voix était calme, directe, péremptoire...
    - Tu veux encore goûter de la trique ?
    Bien sûr, Mme Blanche obéit immédiatement, elle a peur de se faire battre et en tremblant, écarte au plus grand ses cuisses…
    Photo !
    Léa pose une chaise entre les jambes ouverte de Mme Blanche, s'assoit et avec dans les mains le rasoir et la crème à raser de monsieur Blanche…
    - S’il vous plaît Mlle Fournier, ne faites pas cela, bafouille la pauvre prof.
    - Silence Blanche, dit Léa en couvrant avec insistance la chatte de Mme Blanche avec de la crème à raser.
    Cette caresse la fit tressaillir, Mme Blanche sent de nouveau ses tétons se dresser et une étrange sensation délicieuse l’envahir pendant que Léa, fait courir le rasoir sur son pubis, à mesure que la mousse disparaît, Mme Blanche distingue ses lèvres vaginales complètement nues. Léa lui demande de se retourner, elle lui enlève le plug et c’est le rasage au tour de la raie, entre les fesses. Lorsque tous les poils sont coupés, Léa passe une lingette tiède sur le sexe de Mme Blanche et lui replante l'écarteur de trou.
    Mme Blanche se regarde, elle est toute lisse. Léa s’approche d’elle et lui passe la main entre les cuisses et lui caressant le sexe, Mme Blanche écarte automatiquement les cuisses, Léa remarque que Mme Blanche est fendue très haut, elle frémit sous la caresse... Que m’arrive-t-il, suis-je folle ?
    Léa se recule et lui dit,
    - Sourire Blanche,
    Photo !
    - Ouvre ta chatte, écarte tes lèvres,
    Mme Blanche sait qu’elle n’avait pas le choix, elle ouvre son sexe rasé comme le lui demande son étudiante.
    En fait, elle est surprise de désirer d’être ainsi offerte.
    Photo !
    - Blanche, ta chatte coule... dit Léa en lui montrant la mouille qui s’écoule du sexe rasé de sa prof. La mouille fait briller les lèvres.
    Léa tend un miroir à sa prof humiliée.
    - Regarde bien Blanche.
    Mme Blanche regarda et voit son sexe rasé et étouffe un sanglot d’humiliation. Son corps lui semble étranger et ne plus lui appartenir.
    - À partir de maintenant, en permanence, c’est un ordre, tu dois toujours avoir le sexe parfaitement lisse. Compris ?
    - Oui, Mlle Fournier.
    Photo !
    Léa lui tend la laisse et le collier de chien,
    - Met le Blanche, tu dois le garder toujours avec toi, c’est ta marque de soumission. Lorsque tu es seule ou avec moi, tu le portes avec la laisse, c'est un ordre et dans le cas contraire, garde le dans ton sac, c'est un bon moyen d'avoir la main sur toi et te rappeler ta condition d'animal !
    - Oui Mlle Fournier, répond la prof confuse en mettant le collier autour de son cou.
    Photo !
    Léa attacha la laisse au collier.
    - Faisons le tour de la maison Blanche,
    - Oui Mlle Fournier, répond la prof en laisse, en se levant pour aller à la porte. Elle est arrêtée rapidement par un coup sec sur le collier.
    - À genoux devant moi petite traînée,
    Mme Blanche se met à genoux et regarde respectueusement Léa,
    - Maintenant faisons la visite,
    - Oui Mlle Fournier,
    - Oui! C'est bien, chienne!... Allez, on va descendre. Reste à quatre pattes.
    - Commençons par la cave. La descente est pénible pour la pauvre prof. C'est un endroit froid et désagréable. Mme Blanche nue, les genoux sur le béton, tremble, elle suit Léa sur le côté et Léa souriante admire la poitrine qui danse et les fesses qui se tordent dans l’escalier.
    - Tu as un beau cul et il te faut apprendre à bien le mettre en mouvement pour tes admirateurs mon animal,
    - Remontons maintenant et visitons les chambres.
    Mme Blanche rampe jusqu’au premier étage, toujours tenu en laisse par son élève. Elle sent le regard de Léa sur ses fesses, ses seins qui ballotent avec ses tétons dressés… Léa examine les chambres d’amis et ordonne de voir celle de Mme Blanche.
    En entrant, Léa ordonne à sa prof, vêtue du seul collier de chien, de venir au pied du lit pour être attachée, de rester à genoux, cuisses ouvertes et de mettre les mains sur la tête.
    Léa ouvre les armoires, elle ne fait pas attention aux vêtements d'homme, mais trouve les sous-vêtements de Mme Blanche, ses slips, ses soutiens-gorge, tous sont jetés au milieu de la pièce.
    - Comme tu es faite pour vivre nue, tu n'as pas besoin de tout cela !
    Léa s’intéresse à l’autre tiroir qui contient des bas, des porte-jarretelles et des collants. Les collants sont jetés sur le sol, le reste remis en place dans l’armoire. Le dernier tiroir, est celui des chemises de nuits et des déshabillés, même sort, jeté, excepté un petit ensemble, haut et string. Léa, lui ordonne de le passer et dans cette tenue... Mme Blanche est encore plus nue...
    Photo !
    Léa la détache et lui ordonne de marcher autour de la pièce. C’est un petit ensemble en dentelle noire, le haut est très moulant et contient avec peine son 95 C, ses tétons pointent au travers du fin tissu. L’ensemble s’arrête juste au-dessus de sa chatte épilée. Le string très serré disparaît dans ses fesses en leur donnant encore plus de galbe. Le devant dans un tissu trop fin, moule son sexe et ne laisse rien ignorer de ses lèvres nues…
    Léa s’intéresse ensuite aux chaussures de sa prof, elle écarte ballerines et autres chaussures du même type, pour s’intéresser à une paire de sandales à talon haut... ainsi qu’à des chaussures de soirée noire au talon vertigineux…
    - Dis-moi Blanche ces talons ?
    - Je ne les ai mis qu’une fois, mais ils m’ont fait si mal aux pieds que je ne les ai plus jamais portés, dit la prof, à genoux.
    Léa lui ordonna de se lever et de les mettre. Son étudiante, tourne autour d’elle en la regardant attentivement.
    - Ils sont très jolis, ils te font de jolies et grandes jambes et tes fesses sont encore plus rebondies, ton cul devient bien plus tentant, marche un peu !
    Léa prend la laisse et fait tourner en rond sa prof, comme lorsque l'on mène un cheval dans un manège,
    Mme Blanche se met à marcher. Animal montré, elle essaye de faire attention, mais ses fesses se balancent en un mouvement dansant, sa poitrine nue ballotte à chaque pas. Ses pieds la font souffrir immédiatement et pour sa grande honte, elle sent que son sexe rasé commence à mouiller… Mais que m’arrive-t-il ? se demandait-elle. Qu’est ce qui se passe ! Suis-je faite pour être traitée ainsi ?
    - Mlle Fournier, je ne peux pas marcher avec ces chaussures…
    - Ne t’inquiète pas mon animal, tu vas prendre l’habitude !
    Il ne reste sur le lit que quelques jupes et chemisiers ainsi que son vibromasseur télécommandé découvert dans un tiroir. Personne ne l'avait jamais vu, personne, pas même son mari.
    - Dites-moi Blanche, tu t’en sers souvent… ?
    - Uniquement lorsque mon mari est absent.
    - Et encore ?
    - Toutes les nuits, dit la pauvre Mme Blanche cramoisie…
    - Allez file sur le lit et montre-moi comment tu t’en sers...
    Les mains de Mme Blanche refusent de lui obéir, elle tremble !
    - Allez animal, allonge-toi ! Vite fait !
    - Branle-toi, chienne ! Montre ton cul. Oui, écarte !
    - S’il vous plaît Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela…
    -Tu ne veux pas, ou tu ne peux pas ? Tu veux la trique ? Tu le fais, ou bien je pars d’ici et tu connais les conséquences…
    Tremblante, Mme Blanche saisit le gode télécommandé et les cuisses serrées, le posa sur le sexe.
    - Allons Blanche, ouvre-moi ces jambes, je veux te voir en action, je suis sûre que tu sais y faire… une bonne jouisseuse comme toi !
    Elle écarte les jambes et l’introduit dans son intimité devenue si nue…
    Photo !
    La prof qui se masturbe comprend en un instant que son destin est scellé ! Elle commence à faire entrer et sortir le sexe de plastique, une onde de plaisir la parcourt. Avec son autre main, elle se caresse la poitrine, ses tétons sont en érection… Elle les pince…
    Photo !
    Son sexe rasé lui semble réagir différemment, les sensations sont plus fortes. Sa respiration se fait plus intense à mesure qu’elle se masturbe plus fort, que le gode vibrant entre de plus en plus loin dans sa chatte.
    Photo !
    Son corps se couvre de transpiration, elle oublie tout, plus rien ne compte que la jouissance de son corps que lui apporte ce jouet de plastique.
    Photo !
    Soudain Léa se lève et arrache le sexe factice de la chatte détrempée de sa prof.
    - Aaaaarrh ?
    - Blanche, je veux que tu comprennes vraiment la situation, tu es désormais sous mon contrôle, jouir, chier, pisser, tout ce que tu fais, tout est sous mon contrôle ! Je décide de ta jouissance, cela t'est interdit sans mon accord ! Je suis la propriétaire de tes trous, chatte, bouche, cul ! Tu me comprends bien ? Si je te dis, suce, tu suces, va le baiser, tu exécutes ! Tu ne sers qu’à te faire pénétrer et baiser pour faire jouir !
    - Je veux que tu deviennes une bonne et dévouée salope pour moi, compris ? À tout instant du jour et de la nuit, tu es disponible, avec n’importe qui !
    - Oui Mlle Fournier !
    Répond hâtivement Mme Blanche craignant une nouvelle dérouillée.
    - Ta bouche est faite pour satisfaire les passions de chacun et de chacune, tu dois sucer une queue bien à fond, malaxer, lécher les couilles du mâle qui te prend pour le faire bander… lui lustrer le gland en y mettant de la salive… tu le suces longtemps et bien fort pour qu’il rentre dans ta bouche, tu dois le prendre entièrement dans ta gorge goulument… baver pour encore lui astiquer la bite… Et s’il te bloque la tête, tu auras mal, c’est normal, tu es son jouet et s'il veut s'enfoncer et jouir au fond de ton gosier, laisse le venir et ouvre la gueule, le plus grand possible… pour qu’il gicle au fond, les hommes aiment défoncer les amygdales, éjaculer directement dans l’estomac de leur suceuse. La place de ton visage se situe exclusivement entre les cuisses de tes partenaires. Lorsqu’il a joui, tu lui nettoies la queue et avales tout le sperme pour ne rien laisser perdre… cela excite énormément un homme après s’être fait sucer de voir la langue de sa pute laper le sol pour ne pas laisser de traces… Toujours à genoux devant ton amant, sois souriante et heureuse d’avoir sucé comme une chienne, frotte tes miches sur sa jambe, laisse-le te flatter les seins, te caresser la tête en preuve de remerciement d’avoir été une bonne fille.
    Mme Blanche comprend soudain qu'elle doit oublier sa vie précédente... Tous ces mots l'excitent, les situations imaginées l'électrisent, attisent son désir bouillonnant, elle ne s’appartient plus, son corps veut jouir, elle veut branler son sexe en feu, sans prendre le risque de contrarier Léa, de la mettre en colère, car Léa n'est jamais compatissante. Elle fouette bien.
    - Allons, ne sois pas en peine Blanche, fais ce que j’ordonne et tout ira bien entre nous. Évidemment si tu ne m'écoutes pas, je serai contrainte de sévir... fouet... photos...
    - Je suis à vous Mlle Fournier, vous avez fait de moi votre propriété, je suis votre pute, s'il vous plait, ne laissez personne voir ces photos, sanglote la prof vaincue.
    - Approche-toi ma petite chienne, il ne faut pas pleurer,
    et Léa d'une main lui frôle doucement l'entre jambe, elle est trempée de plaisir et s’offre à la main en recherche de caresses plus appuyées, Léa lui bichonne la joue, Mme Blanche frisonne, se plaque au corps de Léa et offre ses seins à la caresse.
    - Je verrai mon animal, mais pour l'instant Blanche, je veux que tu nettoies la salle de bains et que tu jettes tous ces vêtements dans la cave avec ces pantalons, je ne veux plus les voir, ils te sont interdits. Tu restes nue, en talon et tu me fais à manger lorsque tu remontes. Tu ne mets qu’un seul couvert et une écuelle à côté de ma chaise,
    - Oui Mlle Fournier.
    - Encore une chose Blanche, n’essaie pas de te toucher en cachette ! Si tu désobéis tu es fouettée ! Tu seras matée ! Tu as compris je l’espère.
    Léa descend dans le salon, s’installe confortablement et allume la télévision. Mme Blanche, nettoie la salle de bains, va dans la chambre et ramasse tous ses vêtements jetés sur le sol et les descend à la cave. Elle fait plusieurs voyages et comme elle n’a rien pour les ranger les vêtements, elle les jette à même le sol.
    - Blanche ! Je commence à avoir faim !
    - Oui Mlle Fournier, je fais au plus vite pour vous servir,
    Après tous ces voyages en talons, les pieds de Mme Blanche sont en feu, mais elle se précipite quand même vers la cuisine, que peut bien vouloir manger Léa, se demande-t-elle ? Tous les jeunes aiment les hamburgers et les frites… Elle prépare deux hamburgers, des frites et se rend compte qu’elle a faim, elle aussi.
    Elle met la table, obéissante, ne met qu'un seul couvert et pose une gamelle près de la chaise de Léa,
    Lorsque le dîner est prêt, elle appelle Léa.
    - Mlle Fournier, votre repas est prêt.
    Lorsque Léa entre dans la cuisine, elle voit, debout près de la table, celle qui a été une prof respectable, désormais nue, en hauts talons, bas et porte-jarretelles, avec un collier de chien autour du cou et une laisse qui pend entre les seins, les jambes écartées, le sexe bien visible… Cela la fit sourire, Léa est ravi du spectacle.
    - Devant moi, à genoux, les mains sur la tête pendant que je mange,
    Affamée, assoiffée se met à genoux devant son élève et la regarde manger.
    - Tu as soif Blanche ? Tiens,
    Léa verse le contenu d'un verre dans la gamelle et dit,
    - tu lapes comme une chienne,
    Accroupie, Mme Blanche, le cul en l'air, lape,
    - Lape davantage, je veux voir ta langue,
    - C'est très bien, veux-tu des frites ?
    - Oui, s’il vous plait Mlle Fournier.
    - Ouvre tes jambes Blanche,
    Mme Blanche, sans comprendre, écarte les cuisses. Léa prend une frite et la fait tourner autour, puis dans la chatte de Mme Blanche... et la porte à hauteur de sa bouche,
    - On ouvre grand la gueule mon animal ! Allons, fais la belle !
    Mme Blanche commence à replier les bras, les mains, bomber le torse et lever la tête, pour mériter la faveur de Léa...
    - Maintenant mâche !
    Mme Blanche est morte de honte, elle essaye de ne pas recracher pendant qu’elle mâchonne la frite, trempée de sa mouille…
    - Maintenant Blanche, c’est à toi de continuer.
    Dans un état second, Mme Blanche, saisit une frite, la frotte sur sa chatte.
    Photo !
    Et la porte à sa bouche.
    Photo !
    - Tu veux du hamburger, Blanche ?
    Défaite, elle secoue la tête.
    - Non merci Mlle Fournier,
    - On le fait quand même ! dit Léa en lui tendant un gros morceau de hamburger.
    - Et on trempe avant, bien entendu.
    - Mme Blanche obéit mais elle est vraiment sur le point de vomir, le goût… et l’humiliation de la situation.
    - Allons, assez joué, nettoie la cuisine et ne traîne pas !
    Lorsque la cuisine est propre, Mme Blanche rejoint Léa dans le salon.
    - À genoux devant moi, tu baisses la tête, tes mains dans le dos !
    Léa prend les mesures de la prof, nue devant elle. Elle les note soigneusement.
    - Nous disons donc, trente centimètres… Désormais, tu ne porteras que des jupes arrivant trente centimètres au-dessus de tes genoux, d’autre part, tu couperas les trois premiers boutons de tes chemisiers.
    - Oui, Mlle Fournier.
    - Dites-moi, Blanche, as-tu aimé manger ?
    - Non, Mlle Fournier, je ne l’ai pas aimé.
    - Dommage,
    Puis sautant du coq-à-l'âne,
    - Dis-moi, ton mari est un bon amant ?
    - Oui Mlle Fournier.
    Mme Blanche est vraiment embarrassée de devoir parler de ses relations sexuelles avec une étudiante.
    - Est-ce qu’il t’encule ?
    - Absolument pas, je n’ai jamais eu ce type de relations avec lui.
    Léa sourit.
    - Est-ce que tu aimes le sexe ?
    La prof, nue devant son étudiante habillée, ne peut croire qu’elle répond à ces questions,
    - Oui Mlle Fournier.
    - As-tu déjà sucé le sexe de ton mari ?
    Mme Blanche devint pivoine.
    - Oui Mlle Fournier.
    - Tu as aimé, cela ?
    - Oui Mlle Fournier,
    - Tu as avalé son sperme ?
    - As-tu déjà trompé ton mari avant ton mariage ? Combien as-tu eu d’amants ?
    La prof à genoux, nue devant son élève, a la chatte maintenant très mouillée, compte mentalement...
    - Mlle Fournier, c’est vrai, j’ai toujours aimé le sexe depuis la perte de ma virginité, mais s’il vous plait, ne me posez plus ce genre de questions.
    - Trois,
    - Et tu as sucé leur sexe ?
    - Oui Mlle Fournier, je n’ai pas aimé mais ils le voulaient, je l’ai fait pour leur faire plaisir.
    L’interrogatoire dure plus d’une heure.
    - Bon mon animal, tu vas filer faire ta gym, voilà mes instructions et Léa lui tend une note,
    « Mon animal, tu enlèves ton plug anal, mais tu n’as pas le droit d’aller te cacher dans une salle. Exercices identiques à ceux d'hier et en plus quinze minutes pour raffermir ta poitrine. Après la douche, tu lubrifies ton cul et tu remets ton plug. Dehors dans deux heures, c'est un ordre » !
    Mme Blanche dans les vestiaires trouve un endroit tranquille et retire le plug, le range dans son casier, puis fait ses exercices dans un état de jouissance extrême ; le maillot trop court que lui a donné Léa agace sa chatte en feu. Après la douche, elle remet le plug et est heureuse de constater qu’il rentre maintenant sans douleur dans ses fesses. Elle a honte de constater que de le sentir dans ses fesses, lui procure du plaisir... qu'elle aime avoir ce monstre en elle.
    Elle sait, que peu à peu, elle sombre...
    Le temps de se coiffer, de se maquiller, elle rejoint Léa avec quinze minutes de retard. Elle demande de l'excuser, mais le regard noir de Léa, la terrifie. Léa les conduit au centre commercial et gare la voiture et dit à Mme Blanche d’aller réserver une table au restaurant. Dès qu'elle est de retour, hors de vue des consommateurs, elle gifle par deux fois, à toute volée, violemment Mme Blanche qui chancèle,
    - Salope, tu m’as fait attendre, je ne supporte pas cela, ce soir tu seras punie !
    Elles rejoignent le restaurant, Mme Blanche les joues enflammées, marquées de la main de Léa, attend qu'elle lui dise de s’asseoir. Léa glisse la télécommande des boules de Geisha dans sa poche, puis met en route le vibrateur,
    - tu peux t'assoir,
    Mme Blanche voit bien que les serveurs se doutent de quelque chose. Elle a passé le temps du repas à se trémousser face à Léa souriante et rouge comme une tomate à essayer de ne pas jouir. Elle mange tout son repas avec les doigts, sous le regard surpris des clients...
    - Et maintenant mon animal, ta surprise, j'ai décidé de t’offrir une coupe de cheveux, puisque tu veux changer de look, dit-elle en lui caressant la tête.
    Chez le coiffeur, Léa donne ses instructions, puis quitte le salon. La styliste se met à l’œuvre, taille, coupe, modèle la chevelure pour parvenir à lui faire un joli toupet sur le sommet du crâne. Lorsqu'elle se regarde dans la glace, Mme Blanche est surprise par cette coupe qui lui dégage la nuque et les oreilles.
    La coiffeuse lui dit que La demoiselle veut aussi que Mme Blanche se fasse aussi percer les oreilles. Mme Blanche qui aime les boucles d'oreilles pense que Léa veut juste un deuxième trou pour une autre boucle et accepte. Mais avant qu’elle puisse comprendre, la styliste lui a mis cinq nouvelles boucles, vulgaires, à grands anneaux, le type même de boucles de pouffiasses, des boucles évidemment très visibles avec sa coupe courte.
    De retour au salon, Léa souriante lui dit,
    - Voilà qui est très bien mon animal, avec ce toupet tous les hommes que tu suces ou qui te prennent par-derrière pourront facilement te tenir la tête et te diriger et pour moi, ce sera plus facile de te maintenir et te coincer entre mes jambes et t'administre une correction, pour te fouetter ton cul de salope jouisseuse !
    Ce soir je te fixe une autre boucle spécialement faite pour toi mon animal.
    Ayant décidé d'asservir plus encore sa prof, Léa va identifier Mme Blanche au moyen d’une large boucle en fer qui sera pendante au bout d'une longue chainette à l’oreille droite. Léa a fait graver en gros caractères gras « Suceuse » au recto et « Animal » au verso, une boucle facilement visible de tous… Une manière de signaler la pute... une sorte de traçage comme l'on trouve dans les fermes pour le bétail. Mme Blanche est honteuse d'être ainsi réduite par ce traitement...
    - Paye la facture !
    - Oui Mlle Fournier,
    et les deux femmes quittent le salon après avoir pris un rendez-vous pour une épilation complète la semaine suivante.
    Léa poursuivant ses achats conduit Mme Blanche dans une bijouterie et lui fait acheter un bracelet de cheville, marqué « Animal ».
    - À mettre ce soir, après ta punition lorsque je scellerai ta boucle d’identification.
    De retour à la maison Mme Blanche pense qu’elle va se faire punir comme une petite fille prise en faute et elle sait que la punition sera pénible,
    - Je vais prendre ma douche, tu attends dans la chambre sans te toucher, sinon je t'attache !
    Mme Blanche entre dans la chambre et se déshabille immédiatement. Nue, elle change de chaussures pour ses très hauts talons. Elle veut être belle pour plaire et ne pas s’attirer plus encore l’ire de sa propriétaire...
    Elle a pensé « propriétaire » en bouclant son collier autour de son cou. Elle veut tout faire pour la satisfaire...
    Ne jamais mentir à Léa, surtout lui obéir... pourquoi pas se dit-elle...
    Léa la rejoint un quart d’heure plus tard et la trouve qui l’attend debout, nue, jambes écartées, bouche ouverte, la langue sortie, en très hauts talons et portant son collier, la laisse pendante entre les seins et en main, en offrande, sa boucle d’identification. Heureusement surprise, Léa vêtue d'une grande serviette de bain, se dirige vers sa prof, s’approche, lui passe la main dans les cheveux, puis sur la joue. lui caresse la croupe chaleureusement, passe une main entre les cuisses chaudes et humides, lui pelote l'entrejambe liquéfié, Mme Blanche la tête posée sur l'épaule de Léa, agacée étouffe un râle, ronronne et se cambre nerveusement en proie à un désir foudroyant, des picotements dans le creux des reins, la serviette de bain se dénoue et Léa se retrouve nue, la poitrine écrasée, collée contre sa prof. La chaleur du corps de Léa et la fermeté de ses seins font frémir Mme Blanche.
    Mais Léa, implacable, saisit les tétons de sa prof, les tord violemment, la force à se mettre à genoux devant elle... Le visage de Mme Blanche est couvert de larmes.
    - Je vais riveter ta boucle d’identification ma petite grue, tourne la tête !
    et Léa pince sans douceur l’oreille de Mme Blanche enfonce le rivet dans l'un des trous faits dans le lobe par la styliste, le rentre dans l'anneau de la chainette et attrape une pince... Léa fixe définitivement la boucle d’identification.
    - Te voilà marquée ma salope,
    - Tu ne me fais plus jamais attendre, tu as compris ?
    - Oui Mlle Fournier, votre animal ne sera plus jamais en retard. Votre animal est désolé sanglote l'enseignante.
    Léa fut heureuse de voir que son animal de compagnie s'est si bien glissé dans son rôle de soumise. Sa chose apprend vite.
    La prochaine fois, dit-elle à Mme Blanche, je vais te faire tatouer au-dessus des fesses « Salope à enculer » et au dessus des seins « suceuse » en français, mais aussi en arabe, tu vas voir, ce sera fait d'une très belle écriture ! Ce sera très bien pour tes nouveaux clients...
    Pleurant, suppliant même, toujours en larmes,
    - Oh non Mlle Fournier ! Non, je vous en prie, pas de tatouage,
    Mme Blanche sait parfaitement qu'un tatouage est irréversible et confirme, scelle son destin, son état à vie...
    - Silence, enlève ton plug. Il est temps de te fouetter, si tu chougnes encore et je double la dose !
    Tremblante, Mme Blanche retire le plug de ses fesses.
    - Mets-le dans ta bouche,
    Elle lutte pour ne pas vomir. Sa bouche est remplie par son jouet anal
    - Baisse la tête, lève ton cul et écartes les cuisses et cambre-toi bien, creuse le dos ! Ordonne-t-elle sévèrement,
    - ne sais-tu pas encore qu’écarter les cuisses et cambrer le cul doit être une posture naturelle pour la salope que tu es !
    Tu vois, je veux contribuer à l’ouverture de ton trou du cul. Pour qu’il soit bien large et qu’ainsi tu puisses indistinctement être prise par tous tes orifices.
    Mme Blanche prit la position demandée.
    Léa lui coince la tête entre ses jambes,
    - Tu dois enregistrer une bonne fois ce que tu es et admettre cette position définitivement. Vu ma salope !
    - Oui Mlle Fournier, je vous le promets, je suis votre chienne et je veux que vous me dressiez.
    - Écarte-moi bien ces cuisses... On doit voir que tu t’offres par plaisir... ce ne doit pas être trop difficile comme tu as toujours envie de te branler, toujours envie de jouir, mais tu sais que pour obtenir ce bonheur, il faut te faire baiser, défoncer tous tes trous ! Il te faut cambrer le cul !
    D'une voix étouffée la tête coincée entre les jambes de Léa, Mme Blanche écarte encore plus ses cuisses, encore plus offertes, expose son cul ferme et sa chatte à son élève et répond,
    - Oui Mlle Fournier, je suis à vous,
    - Tu vas sentir le fouet animal.
    Léa prend sur la table, un martinet aux lanières nombreuses mais courtes et larges, en cuir noir,
    - Je vais limiter ta punition, à quinze coups. Un coup pour chaque minute de retard,
    Léa lui remet le plug, l'autorise aussi à se masturber avec le gros gode pendant la correction, mais avec interdiction de jouir dit Léa en regardant sa prof s'enfiler le gros gode vibrant dans la chatte. Mlle Fournier passe derrière elle et assène un premier coup violent en travers du dos. La peau rougit. Elle ne s’arrête pas. Mme Blanche geint entre chaque coup.
    Fuitiiiichh !
    Le fouet s’enroule autour de son buste pour venir finir sa course dans son dos, laissant à chaque fois une marque rouge. Le suivant coup claque, les lanières cinglent les fesses et terminent leur course au ras de la vulve.
    Mme Blanche pleure, les boursouflures rouges violacées traversent ses fesses. Les coups se suivent et la meurtrissent de sillons d’où perlent, au milieu du dos, quelques gouttes de sang. Le coup suivant vient entre ses cuisses et atteint les lèvres vaginales, elle se trémousse, écartant et refermant tour à tour les fesses, hurlant de douleur à chaque coup. Mme Blanche est larmoyante mais continue à se masturber avec le gode. Dès le début de la correction Mme Blanche a fait entrer en grande partie son jouet sexuel dans sa chatte. Léa la voit qui lutte pour ne pas jouir. Elle applique les autres coups rapidement sans faire de pause. Ils pleuvent à un rythme régulier et sont administrés de manière de plus en plus appuyée. Les téton ne sont pas épargnés.
    - Aïe !... Oh ! Nooooooon !... Arrêtez !... Je vous en supplie ! Mlle Fournier... Je vais vous obéir !... Pitié !
    Mais Léa ne se laisse pas émouvoir et redouble de force. Cette fois les fesses sont écarlates et les larmes inondent le visage de Mme Blanche. La tête bloquée, à genoux son cul danse pour éviter les brûlures, des plaintes s'échappent de ses lèvres et les grognements se sont transformés en sanglots.
    - Quinze, dit Mme Blanche, dans un souffle.
    On peut admirer de belles lacérations, à droite et à gauche de sa raie qui laisse entrevoir une motte déjà bien dégoulinante de jute. Pourtant, ce n’est pas uniquement du fouet que Mme Blanche pousse des grognements sourds,
    Léa a corrigé sa soumise arrivée en retard et Mme Blanche a le dos et les fesses déchiquetées et fortement colorées. Le tapis en dessous a deux taches humides, l'une de ses larmes et l'autre de sa mouille. Nue et à genoux Mme Blanche a supporté sa punition et au milieu de sa honte, apparaît un sentiment de fierté. Elle a réussi à subir cette douleur, en faisant honneur à sa propriétaire et toujours à genoux, elle vient rechercher le réconfort et la douceur de la cuisse de sa maitresse.
    Correction donnée, Léa la caresse puis lui lie les mains à son collier afin que la nuit elle ne se branle pas. Attrapant Mme Blanche par le toupet, elle lui ordonne,
    - Ouvre-moi grand la gueule animal, montre-moi que tu aimes avoir quelque chose de dur dans la bouche. Montre-moi quelle bonne suceuse tu es,
    La bouche est ouverte et Léa lui fixe une muselière gode dont le faux pénis s'enfonce profondément. Elle relie à la cheville de Mme Blanche une chaîne fixée au pied du lit, règle l'alarme du réveil et va se coucher.
    Le lendemain matin lorsque Mme Blanche se réveille, elle se débat pour se mettre à genoux et pousse sa propriétaire avec le nez pour la réveiller. Elle est épuisée et sa bouche distendue lui fait mal d’avoir porté toute la nuit la muselière gode.
    Les jours suivants sont semblables aux jours précédents. Tenue sexy, peu de nourriture et beaucoup d’exercices. Léa n’a pas abusé d’elle et si elle n'est pas fouettée, torturée aux seins, ce n'est pas pour autant qu'elle ne porte plus muselière, gode et plug. Le régime et les exercices portent leurs fruits, son corps est ferme là où il faut. Elle a pris l’habitude de marcher avec les talons hauts et ses fesses se chaloupent avec bonheur...

    Pour le principe
    - Blanche, demain nous avons à faire pour élargir ton expérience. Monte dans la chambre, il est temps de te coucher, tu te mets à poil, Mme Blanche se déshabille et nue regarde le sac avec les achats de cet après-midi, elle se doute bien que tout cela lui est destiné... Léa arrive,
    - Tu dormiras sur la descente de lit…
    Léa attrape une chaine, la fixe au pied du lit et à la cheville de Mme Blanche, puis lui ordonne de se mettre à genoux. Léa lui attache chaque poignet aux chevilles ce qui l'oblige à garder ses jambes largement ouvertes, grandes écartées, les fesses en l’air. Elle est soumise.
    Léa sort d'un sac un joli fouet en cuir noir torsadé au niveau du manche dont la mèche est constituée de très fines lanières en cuir souple.
    - Oh non ! Mlle Fournier, s'il vous plait ! pas le fouet, je ne veux pas être battue, je serai très obéissante,
    Blanche, nous avons une punition de retard, comprends-moi bien cette position, à deux avantages, elle t'empêche de te tripoter la nuit et me permet de te fouetter le cul pour te rappeler que tu dois toujours m'obéir sans discuter !
    - Oh non Mlle Fournier pas le fouet, je vous en prie ! Je suis toujours obéissante,
    Léa prit le fouet, Mme Blanche comprend que Léa va lui faire du mal... Sa Maîtresse va la fouetter, elle l'a vu et elle sait le plaisir évident que Léa que prend lorsqu’elle fouette Mme Blanche. Elle a peur !
    le coup est violent,
    - Aie ! Non ! s’il vous plait, Mlle Fournier, je vous en prie, NON !
    Ses fesses sont en feu, ses larmes coulent… la douleur est fulgurante, maintenant qu’il est commencé, elle a le sentiment que son calvaire ne s’arrête plus…
    Léa sourit en voya

tel rose voyeur

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Télephone rose récits érotiques
et fais-toi plaisir ;)
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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Redeggs :
Bonjour Tayyip,
Ton histoire est hyper bandante, tu m'as beaucoup fait fantasmer.
J'adore ton style de plume.
Je suis un homme dominant qui dresse de très jeunes femmes mais aussi déjà mûres et très salopes de 18 à 45 ans afin qu'elles deviennent mes objets sexuels grâce au bdsm. Actuellement je n'en ai plus depuis quelques années mais j'en ai plusieurs en vue à nouveau.
J'espère conclure vite ....
A bientôt et donne de nouvelles histoires !!! Merci !!
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